Le commerce international se justifie par les gains obtenus lors de l'échange : prix plus faible, plus grande diversité. Les fondements du commerce international font l'objet de différentes analyses, dont la théorie des avantages comparatifs et la dotation factorielle.
Les opérations du commerce international se sont beaucoup multipliées durant ces dernières décennies. Les échanges internationaux se sont développés grâce à la mondialisation, les nouvelles technologies, les coûts et les moyens de transport.La vente de marchandises occupe une place très importante dans ces échanges.
Les dix principaux importateurs et exportateurs de marchandises sont restés inchangés en 2018; la Chine, les États-Unis et l'Allemagne dominent toujours le classement (voir le graphique 5.1). Collectivement, les dix premières économies représentaient 53,3% du commerce mondial.
Le commerce extérieur est un moteur de la croissance : il crée des emplois, réduit la pauvreté et ouvre des perspectives économiques. Le Groupe de la Banque mondiale aide ses pays clients à améliorer leur accès aux marchés des pays développés et à accroître leur participation à l'économie mondiale.
Les accords du GATT apparaissent comme l'instrument majeur de la libéralisation contemporaine des échanges; ils sont fondés sur deux grands principes, celui de la non discrimination et celui du désarmement douanier.
Qu'est-ce qu'un numero de référence maître (MRN) ? Le numéro de référence maître (MRN) est un numéro d'enregistrement unique octroyé à chaque déclaration de transit, par le système informatique, pour identifier le mouvement.
Au titre de chaque exercice social, les entreprises doivent établir et conserver un certain nombre de documents comptables : les pièces justificatives, le document d'inventaire, le livre-journal, le grand-livre et les comptes annuels (bilan, compte de résultat et annexe).
Indicateurs. Le commerce international se mesure par les flux (exportations et importations) de marchandises et de services. Ces flux peuvent s'appréhender à différents niveaux : entre un pays et le reste du monde, entre des zones, au sein d'une même zone.
Alors que le GATT régissait principalement le commerce des marchandises, l'OMC et ses Accords visent aujourd'hui le commerce des services ainsi que les échanges d'inventions, de créations et de dessins et modèles (propriété intellectuelle).
L'Accord général sur les tarifs douaniers et le commerce (GATT) régit le commerce international des marchandises. C'est le Conseil du commerce des marchandises, composé de représentants de tous les pays Membres de l'OMC, qui veille au fonctionnement du GATT.
L'Organisation mondiale du commerce prend la suite du GATT, celui-ci s'avérant incapable de répondre aux enjeux de la fin du XXe siècle. Créée à l'issue de l'Uruguay round, par les accords de Marrakech, l'OMC entre en fonction en 1995. À l'instar du GATT, l'OMC cherche à réduire les obstacles au libre-échange.
Pour les économistes théoriciens, la question centrale est de savoir si les gains de ceux qui profitent de l'ouverture aux échanges internationaux sont suffisants pour compenser les pertes de ceux qui sont lésés, de façon à vaincre leur réticence face au libre échange et à répartir équitablement les bénéfices résultant ...
En participant au commerce international, les entreprises peuvent accroître encore davantage leur production en offrant des produits différenciés aux consommateurs des autres pays, ce qui contribue aussi à réduire leurs coûts moyens et leurs prix.
Le commerce international peut limiter la croissance d'un pays : certaines industries n'ont pas la chance de grandir parce qu'elles font face à la concurrence d'entreprises étrangères plus établies, comme les nouvelles industries naissantes qui peuvent avoir de la difficulté à s'établir.
On distingue généralement quatre structures de marché (la concurrence, le monopole, l'oligopole et la concurrence monopolistique).
En dépit d'une chute de 17 % de ses exportations totales, notamment textiles, la Chine détrône l'Allemagne et devient le premier exportateur mondial grâce à une hausse de 17,7 % des commandes en décembre.