Les symptômes de la neuropathie périphérique dépendent des nerfs affectés et de la gravité de la lésion. Les symptômes comprennent ceux-ci: engourdissement, picotements ou sensation de brûlure dans les mains ou les pieds. douleur moyenne ou intense.
La douleur neuropathique (encore appelée douleur neurogène) est secondaire à une atteinte du système nerveux (central ou périphérique), c'est-à-dire touchant le cerveau, la moelle èpinière ou les nerfs. La douleur est mixte quand elle associe ces deux mécanismes (nociceptif et neuropathique)
La neuropathie peut être causée par différents troubles comme le diabète, le cancer et certaines carences nutritionnelles. Elle peut également être provoquée par la prise de certains médicaments et l'exposition à des produits chimiques. Elle peut entraver les sens, les mouvements ou la fonction des organes internes.
Dans les douleurs neuropathiques localisées, des traitements topiques, en général très bien tolérés, peuvent aussi être utilisés. Il s'agit soit d'un emplâtre médicamenteux d'anesthésique local (lidocaïne, VERSATIS) ou d'un patch cutané de capsaïcine, molécule du piment rouge (QUTENZA).
Dans les douleurs chroniques neuropathiques, bien souvent la cause initiale a disparu, pourtant la personne continue à souffrir. Ainsi la cicatrisation est terminée après l'opération, ou bien l'infection est guérie, ou encore le traitement anti-cancéreux est achevé.
Le médecin fonde le diagnostic sur les résultats de l'électromyographie, des études de conduction nerveuse et des analyses de sang et d'urine. Si le traitement du trouble sous-jacent ne soulage pas les symptômes, la kinésithérapie, des médicaments et d'autres mesures peuvent être utiles.
Traitements médicamenteux en cas de neuropathie
antidépresseurs de la classe des inhibiteurs de la recapture de la sérotonine et de la norépinephrine, tels que la duloxétine et la venlafaxine, et des tricycliques, tels que la nortriptyline et la desipramine ; analgésiques opioïdes, tels que la morphine.
La clinique Mayo suggère de prendre des analgésiques anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS) pour soulager vos symptômes bénins. D'autres médicaments comme les anticonvulsivants et les antidépresseurs peuvent être prescrits pour minimiser la douleur névralgique.
En première intention, la prescription en monothérapie d'un antidépresseur tricyclique (exemple : amitriptyline 25—150mg/j) ou d'un antiépileptique gabapentinoïde (gabapentine 1200—3600 mg/j ou prégabaline 150—600mg/j) est recommandée dans le traitement de la douleur neuropathique.
Une sensation de picotements, d'engourdissement, une douleur avec sensation de brûlure et une perte du sens de vibration et de position (incapacité de déterminer la position des bras et des jambes dans l'espace) sont les symptômes les plus classiques.
Certaines preuves indiquaient que les exercices de musculation amélioraient modérément la force musculaire des patients atteints de neuropathie périphérique.
Classiquement, la polyneuropathie est d'évolution lente et progressive, avec une prédominance de symptômes sensitifs (engourdissement, fourmillements des extrémités, trouble de l'équilibre ou de la coordination= ataxie). Parfois, il s'associe un tremblement d'attitude et d'action.
Quand la douleur persiste, ces réactions s'épuisent, et le stress se chronicise : les troubles du caractère, la fatigue, la perte d'envie, la perte d'énergie s'installent. L'inactivité physique, le retrait de la vie professionnelle et sociale, la perte de contact avec ses amis dépriment la personne souffrante.
La vitamine B12 (méthylcobalamine) est utilisé pour régénérer les neurones et la gaine de myéline qui protège les nerfs. Elle est bénéfique dans le traitement et la prévention des troubles neurologiques et, des neuro-pathies périphériques.
Le diagnostic est établi devant une douleur disproportionnée en regard de l'atteinte tissulaire, une dysesthésie (p. ex., des brûlures, des picotements) et des signes de lésion nerveuse mis en évidence à l'examen neurologique.
La douleur chronique peut être le résultat d'une blessure; d'une intervention chirurgicale ayant pu causer une lésion nerveuse; d'une affection de la colonne vertébrale; d'une lésion des nerfs à la suite d'une infection; ou d'autres causes.
Un bain à l'eau tiède, les compresses chaudes et les bouillottes contribuent à apaiser les douleurs et spasmes musculaires et la raideur articulaire. Demandez au médecin de vous fournir des directives sur l'utilisation de la chaleur. N'appliquez pas de chaleur sur les nouvelles blessures ou plaies chirurgicales.
La VITAMINE B3 prévient la neuropathie périphérique induite par la chimio. C'est peut-être un espoir pour les patients qui souffrent de douleur « nerveuse » ou neuropathique en raison de leur chimiothérapie.
Le neurologue est un médecin spécialiste de toutes les pathologies touchant le système nerveux, en particulier les maladies atteignant le système nerveux central que ce soit au niveau du cerveau ou de la moelle épinière.
Causes de la neuropathie périphérique
Les médicaments de chimiothérapie peuvent nuire à ces nerfs. Parmi les médicaments présentant le risque le plus élevé de cancer pédiatrique, on peut citer : Vincristine.
signes sur le visage (froncement des sourcils, mâchoires serrées, visage figé, grimaces, etc.) ; • signes au niveau du regard (regard inattentif, fixe, pleurs, yeux fermés, etc.) ; • signes auditifs (plaintes, gémissements, cris, etc.) ; • signes corporels ou comportementaux (agitation, agressivité, difficulté à rester ...
La douleur neuropathique peut être perçue comme une sensation de brûlure ou de picotements, ou, parfois, comme une hypersensibilité au toucher ou au froid. L'hypersensibilité au toucher est appelée allodynie. Même un contact léger peut être douloureux. Parfois, la douleur neuropathique est profonde et intense.
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