Symptômes de la colite. Toutes les colites se manifestent par des troubles du transit (diarrhée ou constipation), des douleurs abdominales, plus ou moins importantes, permanentes ou non, souvent un ballonnement (météorisme abdominal).
Les médicaments de première intention demeurent les antispasmodiques pour agir sur les troubles de la motricité intestinale, les pansements gastro-intestinaux à base d'argile, ou le citrate d'alvérine qui agit aussi sur l'hypersensibilité intestinale existant chez plus de 50 % des patients.
La cause de la colite ulcéreuse est inconnue, mais les recherches suggèrent fortement que des interactions entre les facteurs environnementaux, les bactéries intestinales, un dérèglement immunitaire et une prédisposition génétique en sont responsables.
Le symptôme le plus généralement répandu est la douleur. Celle-ci peut irradier dans le dos ou à la racine des cuisses et occasionner une simple gêne ou une sensation très violente.
Le mal de ventre est le symptôme le plus fréquent dans le syndrome du côlon irritable. La douleur abdominale se caractérise par une sensation de spasme ou de crampe et se situe habituellement au niveau des fosses iliaques droite et gauche ou dans la région de l'ombilic.
En l'absence de prise en charge rapide, une colite aiguë peut durer plusieurs jours ou plusieurs semaines, mettant parfois en danger la vie du patient. Si une prise en charge médicale est proposée rapidement, les symptômes diminuent en général en quelques jours.
La banane est aussi un excellent remède contre la colite. Riche en fibres solubles, elle limite la diarrhée.
La colite désigne une inflammation de la muqueuse du gros intestin : il s'agit d'un syndrome (un ensemble de symptômes) et non d'un simple signe clinique comme la colique. On désigne aussi souvent la colite spasmodique par l'appellation : syndrome du côlon irritable. A ne pas confondre avec la gastro-entérite !
Environ la moitié des personnes qui en souffrent se décrivent comme stressées et rattachent les crises de colopathie à des périodes de fatigue ou de stress intense. De plus, le repos et les vacances semblent réduire la fréquence et l'intensité des crises.
La colite est un motif de consultation particulièrement fréquent, que ce soit chez le médecin traitant ou le médecin gastro-entérologue. Il ne s'agit pas d'une maladie à proprement parler mais d'un "syndrome" c'est à dire d'un ensemble de manifestations liées à une inflammation du côlon.
Habituellement, le cancer du côlon évolue silencieusement, parfois des années durant, avant de provoquer le moindre symptôme. Lorsque les symptômes apparaissent, il s'agit essentiellement de douleurs abdominales, d'une modification du transit intestinal et de la présence de sang dans les selles.
les adsorbants intestinaux (diosmectite, attapulgite, charbon végétal, crospovidone) sont utilisés en cas de ballonnements ou de diarrhée.
- La sauge a des bienfaits digestifs : Après le repas, elle aide à digérer, surtout après un gros repas. Antispasmodique, elle permet également de calmer les crampes. - Le fenouil soulage les troubles digestifs. Il permet entre autre de stimuler les muscles du côlon.
Misez sur : les céréales à base d'avoine (gruau et son) le quinoa (pâtes et flocons) le seigle (pain ou farine) qui regorgent de fibres solubles.
Le fenouil, l'anis vert, le carvi ou le cumin sont carminatives, autrement dit, elles aident à expulser l'air bloqué dans les intestins tout en réduisant les douleurs. Les tisanes de thym, de romarin, d'anis vert, de mélisse, de menthe poivrée, ou encore de camomille sont recommandées de façon traditionnelle.
Mieux : ces bonnes bactéries (les probiotiques) soulageraient le syndrome du côlon irritable et les diarrhées. Il faut l'acheter le plus basique possible (nature) : privilégiez les brassés ainsi que les yaourts au lait entier en pot de verre, mais ni les yaourts aromatisés, ni les sucrés.
La colopathie est un trouble intestinal qui peut s'accompagner de : douleurs importantes qui peuvent irradier dans le dos ou la racine des cuisse, dyspepsie (douleurs et malaise dans la région supérieure de l'abdomen), brûlures d'estomac, crampes, ballonnements, et perte de poids inexpliquée.
Cette dernière présente ainsi des lésions et a tendance à davantage saigner au contact d'aliments. Le sang dans les selles peut être rouge clair ou au contraire rouge très foncé. "La présence de sang dans les selles est un symptôme d'alerte et doit pousser à consulter un médecin, insiste l'experte.
La maladie diverticulaire peut être liée à une alimentation pauvre en fibres. Une alimentation pauvre en fibres peut causer de la constipation, ce qui rend les selles dures et difficiles à évacuer. Le fait de pousser fort lorsque l'on va à la selle peut aussi entraîner une pression dans le côlon.
Des spasmes, des brûlures, des ballonnements, des diarrhées et/ou de la constipation... Parfois aussi des symptômes extradigestifs, comme des maux de tête, des douleurs musculaires ou une grande fatigue...