1- La situation initiale :
La situation initiale d'un récit constitue le moment où le narrateur introduit son sujet. Dans cette première partie du texte, on présente le personnage principal et le contexte dans lequel évolue celui-ci AVANT que l'action ne débute.
Un récit est construit en suivant une structure déterminée par l'auteur. Traditionnellement, une séquence narrative suit cinq mouvements : la situation initiale, l'élément perturbateur ou déclencheur, les péripéties ou les actions, l'élément de résolution et la situation finale.
Le schéma narratif d'un récit est le déroulement chronologique de l'action. On parle de schéma narratif pour les histoires tels que les contes. Au primaire, il n'est pas toujours évident pour un élève de comprendre la chronologie d'une histoire.
L'épilogue (du grec "ἐπίλογος", lui-même étant issu des mots ἐπί (epi) : sur, au-dessus et λόγος (logos) : discours) est la dernière partie, la conclusion d'une œuvre (discours, roman, film, pièce théâtrale, etc.). Il désigne plus particulièrement au théâtre classique un discours récapitulatif à la fin de la pièce.
Il est fortement recommandé de commencer le récit par une introduction. Celle-ci va nous permettre de « planter le décor » : nous informer du lieu et de l'endroit où se passe l'action, nous présenter le personnage central, nous donner le ton général du récit. Exemple : C'était l'hiver, nous étions en 1948.
Un récit est une narration : un narrateur raconte des événements réels ou fictifs qui se déroulent généralement dans le passé. Pour faire un récit, il faut suivre plusieurs étapes qui se réunissent sous un seul schéma appelé le schéma narratif.
Temps du récit
La plupart des récits ont comme temps de narration le passé simple (seulement à l'écrit) ou le passé composé (écrit et oral) ; le passé antérieur, variante du passé simple, peut notamment apparaître dans des subordonnées temporelles. Certains récits ont comme temps de narration le présent.
Un texte narratif (ou récit) est une histoire, réelle ou fictive, racontée par un narrateur à la 1re ou 3e personne, selon qu'il est impliqué ou non dans l'histoire. Il se déroule dans l'ordre de la narration. Il peut s'agir d'un récit d'aventures, d'un récit historique, d'un récit merveilleux, etc.
L'élément perturbateur met fin à la stabilité de la situation initiale. Il est l'élément qui permet le passage d'une situation stable à une situation instable. Si la situation stable initiale était négative, l'élément déclencheur est alors une force qui va pousser les personnages à se libérer de cette oppression.
Le rythme du récit correspond à la différence entre le temps de la fiction et le temps de la narration. Ainsi, il peut être accéléré (ellipse et sommaire) ou au contraire ralenti (scène, pause).
Le schéma narratif est un concept de narratologie. C'est l'ensemble des blocs sémantiques qui composent un récit.
Le narrateur omniscient est parfois appelé narrateur absent ou narrateur dieu. Le narrateur omniscient, contrairement aux narrateurs personnages, ne fait pas partie de l'histoire. Le narrateur omniscient raconte le récit à la 3e personne. Il a accès à toutes les connaissances et à l'intériorité de tous les personnages.
Le récit est le texte, la forme orale ou écrite qui présente une histoire. L'histoire est ce que le récit raconte : l'intrigue, les évènements, etc. La narration est l'acte de mettre l'histoire en récit, c'est l'action de raconter l'histoire.
Il utilise le pronom "je" pour faire parler son personnage principal. Le récit à la 1ère personne permet au lecteur de découvrir les sentiments du héros et d'entrer dans sa vie. Pour écrire à la 1ère personne, il faut se mettre dans la peau de son personnage et imaginer ses sentiments, ses réactions comme au théâtre.
L'introduction se divise en trois parties : sujet AMENÉ, sujet POSÉ, sujet DIVISÉ. Les premières lignes de l'introduction doivent présenter, dans un contexte général, la nature du sujet qui sera traité. Le lecteur est ainsi fixé, dès le départ, en voyant que tu as choisi d'aborder tel thème.
– choisir un narrateur (« je » ou « il ») ; – respecter le schéma narratif (situation initiale, élément transformateur, péripéties, résolution, situation finale) ; – enchaîner les idées de manière logique et relier les faits à l'aide de termes exprimant le temps et le lieu ; – utiliser les temps du passé ou du présent.
Ces premières phrases, également appelées des incipit, sont essentielles. Elles servent à capter l'attention du lecteur et lui donnent envie de continuer sa lecture… ou pas. On parle souvent de la phobie de la page blanche mais il peut être encore plus difficile de trouver comment commencer son roman.
Un récit est un texte qui raconte une histoire (un enchaînement d'événements). Celle-ci peut être fictive (c'est-à-dire imaginée, inventée, comme dans le conte, la nouvelle ou le roman) ou vraie (comme dans l'autobiographie, les mémoires ou le récit historique).
On appelle conteur ou conteuse, celui qui raconte oralement une histoire sans support autre que ses connaissances, son imaginaire et ses talents d'improvisation. L'art du conteur se différencie donc à la fois de celui de l'écriture, de la lecture à voix haute, et de la simple récitation.