Parmi les plus fréquentes, citons les maladies cardiovasculaires, les accidents vasculaires cérébraux, le cancer, le diabète, l'arthrite, les maux de dos, l'asthme et la dépression chronique.
L'asthme, l'embolie pulmonaire répétitive ou encore l'ulcère chronique font partie des affections « hors liste ». Ces pathologies peuvent aussi être prises en charge à 100 % par la Sécurité sociale.
Maladie de Parkinson, d'Alzheimer, diabètes de type 1 et 2, insuffisances cardiaques graves… ces maladies font partie de la liste des 30 affections de longue durée (ALD) exonérantes reconnues par le ministre de la Santé.
Quelques exemples : le diabète, les hépatites, le cancer, la maladie de Parkinson, la maladie d'Alzheimer, le sida, les rhumatismes, la sclérose en plaques, les allergies, la narcolepsie, l'épilepsie, l'asthme, les maladies « rares » ou « orphelines » …
Bien qu'elles soient souvent invisibles, la plupart des maladies chroniques handicapent la vie privée et professionnelle et ouvrent droit à une Reconnaissance de la Qualité de Travailleur Handicapé (RQTH).
Maladies respiratoires et ORL : asthme, bronchite chronique, emphysème, apnée du sommeil, pneumopathie, rhinite chronique, sinusite chronique… Maladies digestives : ulcère gastro duodénal, gastrite chronique, reflux gastro œsophagien, côlon irritable, maladie cœliaque, rectocolite hémorragique, cirrhose…
Les maladies chroniques évolutives (MCE) recouvrent des pathologies très diverses (cancer, diabète, sclérose en plaques, maladies cardio-vasculaires, maladies psychiques, sida...), et se caractérisent par des épisodes plus ou moins longs, avec des évolutions plus ou moins favorables.
Une position que partage d'ailleurs l'Organisation mondiale de la santé, qui classe le cancer parmi les maladies chroniques. L'OMS définit celles-ci comme « des affections de longue durée qui, en règle générale, évoluent lentement ».
Les maladies inflammatoires chroniques de l'intestin, maladie de Crohn (MC) et rectocolite hémorragique (RCH), se caractérisent par l'inflammation de la paroi d'une partie du tube digestif, due à une dérégulation du système immunitaire.
La Sécurité sociale ne rembourse pas l'intégralité des frais médicaux, une partie des dépenses de santé peut rester à la charge de l'assuré : le ticket modérateur, les dépassements d'honoraires, la franchise médicale et la participation forfaitaire.
Une ALD 31 doit réunir cumulativement les 2 conditions suivantes : Le malade est atteint soit d'une forme grave d'une maladie ou d'une forme évolutive ou invalidante d'une maladie grave, soit de plusieurs affections entraînant un état pathologique invalidant.
La RQTH est un dispositif dont vous pouvez bénéficier si vous souffrez d'un handicap, d'une maladie chronique (asthme, diabète, insuffisance cardiaque, sclérose en plaques, hépatite) ou d'un problème de santé ayant des répercussions au travail (problème de vue, troubles auditifs, dépression, rhumatisme, allergie à ...
Les patients souffrant d'une forme d'arthrose comme la coxarthrose ou l'arthrose des doigts, peuvent demander le statut de travailleur handicapé. Pour se faire, ils doivent s'adresser à la maison départementale des personnes handicapées (MDPH) dont ils dépendent.
Pour y prétendre, le demandeur doit être dans l'une des situations suivantes : Avoir un taux reconnu de handicap au moins égal à 80%. Ce taux est déterminé auprès de la Maison Départementale des Personnes Handicapées, consulter ce lien pour savoir où se trouve la MDPH la plus proche de chez vous.
Il peut s'agir de psychoses (schizophrénies, la paranoïa..), de névroses comme les troubles obsessionnels compulsifs (TOC), les phobies ou les troubles anxieux (dont les addictions) ou encore de troubles de l'humeur (dépressions, troubles bipolaires).
Classée parmi les dix maladies les plus invalidantes, l'arthrose est la forme d'arthropathie la plus courante dans le monde : près de 18% des femmes âgées de 60 ans et 10% des hommes (plus de 60 ans) présentent les symptômes de l'arthrose causant limitations fonctionnelles et douleurs – 25% des personnes atteintes ont ...
En rhumatologie, ce sont en effet 72 soins qui sont prescrits par le médecin thermal sur 18 jours de cure : une eau à température satisfaisante pour un impact thérapeutique, quatre soins quotidiens, des massages, des bains, des vapeurs, des exercices en bassin rempli d'eau thermale, des applications de boues…
Votre médecin traitant (ou votre spécialiste) doit vous prescrire la cure en remplissant le formulaire officiel (télécharger un spécimen de formulaire de prise en charge) au plus tard au cours du trimestre qui précède la date souhaitée pour votre cure. Il prescrit votre cure en fonction de votre état de santé.
Dans ces types de situation, la cure thermale psychosomatique est une très bonne solution. D'une part, elle permet au patient de sortir de son environnement douloureux, d'autre part parce-que la cure est « anti-stress », elle détend, fait dormir et sort la personne de son isolement.