Les maladies endocriniennes peuvent toucher différentes glandes (thyroïde, hypophyse...) qui libèrent alors trop ou pas assez d'hormones dans l'organisme. Les maladies métaboliques affectent le métabolisme qui permet aux cellules de se nourrir et de produire de l'énergie.
Les troubles endocriniens sont souvent traités en remplaçant une hormone qui est déficiente ou en diminuant les taux excessifs d'une hormone. Cependant, parfois la cause du trouble peut être traitée. Par exemple, une tumeur impliquant une glande endocrine peut être retirée.
Les hormones dérivées d'acides aminés sont hydrosolubles : ce sont les catécholamines, polypeptides et protéines et les glycoprotéines. Les hormones dérivées de lipides sont liposolubles : ce sont les hormones stéroïdes et les hormones thyroïdiennes T3 et T4.
Le système endocrinien coordonne le fonctionnement des différents organes par le biais d'hormones, composés chimiques directement libérés dans la circulation sanguine à partir de différents types cellulaires spécifiques des glandes endocrines (sans canaux excréteurs).
Les hormones sexuelles féminines sont de deux types : les estrogènes (estradiol, estrone et estriol) et la progestérone. Elles sont sécrétées par les ovaires selon un cycle, dit "cycle menstruel", dont les règles sont la manifestation.
Le cerveau , la glande surrénale et l"hypophyse sont au centre de la réaction au stress . L'agression va produire sur l'organisme des réactions complexes impliquant à la fois : - Le cerveau et en particulier l'hypothalamus. - Des glandes hormonales comme l'hypophyse et les glandes surrénales.
Les maladies des glandes surrénales
La maladie d'Addison, lorsque la production de cortisol est stoppée. L'insuffisance rénale. La maladie de Cushing, lorsque le cortisol est produite en trop grande quantité. La maladie de Conn provoquée lorsque l'aldostérone est en excès.
Le stress, le tabac et l'exposition aux métaux lourds jouent les trublions en contrariant l'activité des glandes endocrines. Leur impact est particulièrement délétère sur les ovaires, la thyroïde, le pancréas et les glandes surrénales.
Le bilan hormonal (ou bilan endocrinien) est un examen biologique qui consiste à doser dans le sang, et parfois dans les urines, des hormones. L'objectif : le dépistage de certaines atteintes hormonales responsables de maladies ou de troubles plus ou moins importants.
Ensemble, l'hypophyse et l'hypothalamus contrôlent le système endocrinien et les taux d'hormones.
Limiter les aliments sous emballages plastiques et abandonner les plats préemballés micro-ondables. Préparer un maximum ses propres plats. Ne pas boire de boissons chaudes dans des tasses avec revêtement plastique. Utiliser des biberons en verre pour bébé
"Endocrinologue : quand et pourquoi consulter ?" Spécialiste des problèmes hormonaux, l'endocrinologue s'occupe des maladies liées à un dérèglement des hormones, souvent dues à la thyroïde. Il peut également assurer le suivi des patients diabétiques, avec ou sans des problèmes de surpoids ou d'obésité.
Une consultation chez un endocrinologue débute par un interrogatoire médical qui permet au patient d'exposer ses symptômes, son histoire médicale et ses antécédents familiaux. Vient ensuite l'examen clinique au cours duquel le spécialiste ausculte la personne malade.
LES PLANTES AMIES DES FEMMES, pour l'équilibre hormonal
La sauge officinale : c'est une plante oestrogène-like, elle à une activité emménagogue (provoque les règles) et antalgique (diminue la douleur des règles). Elle a également une action sur les leucorrhées mycosiques.
Un cancer est hormonodépendant ou hormonosensible lorsque des hormones jouent un rôle dans la prolifération des cellules cancéreuses. Les principaux cancers hormonodépendants sont les cancers du sein et de la prostate, qui sont sensibles aux hormones sexuelles.
Quelles sont les hormones du bonheur ? Il en existe 4 principales : la dopamine ; la sérotonine ; l'endorphine et l'ocytocine.
Le stress est lié à l'action d'hormones comme l'ACTH (ou hormone corticotrope), le cortisol, l'adrénaline, l'ocytocine et la vasopressine.
La testostérone au niveau du cuir chevelu se transforme par le biais d'une enzyme : la 5 alpha réductase en dihydrotestostérone : DHT. C'est cette DHT qui est la cause de la chute des cheveux.
Les hormones femelles ou œstrogènes : participent à la croissance du cheveu en prolongeant la phase anagène. Parmi celles-ci, on retrouve la progestérone. Les hormones mâles ou androgènes : dans certaines problématiques , par leur mutation, accélèrent le cycle capillaire en provoquant une chute plus rapide du cheveu.
DHEA : l'hormone de jeunesse pour une belle peau.