Les symptômes physiques se résument surtout à des tensions musculaires, des problèmes digestifs et intestinaux, des troubles du sommeil (insomnies), des manques d'appétit, des migraines, des vertiges et de la fatigue.
Le stress est un phénomène d'adaptation du corps qui nous permet de réagir à notre environnement. Notre organisme répond à un contexte stressant par une réaction en 3 phases (alarme, résistance, épuisement).
Dans le présent article, les principales sources de stress sont réparties en cinq catégories : travail, inquiétudes financières, famille, manque de temps et problèmes personnels et autres.
Le stress est lié à un processus d'envahissement émotionnel, conséquence d'une pression externe ou interne, ressentie comme une tension à réduire. Le mot stress appartient au vocabulaire de la psychologie de la santé.
On distingue les symptômes physiques (troubles du sommeil, problèmes digestifs, maux de tête, extrême fatigue…), les symptômes mentaux/émotionnels (anxiété, dépression, baisse de la concentration…) et les symptômes comportementaux (absentéisme, isolement, consommation excessive de tabac, d'alcool, d'aliments sucrés…)
Du côté du cortex préfrontal, le stress chronique ralentit l'activité et vient altérer la prise de décision, la résolution de problèmes, la concentration et la planification. L'activité dans l'amygdale quant à elle, augmente en conséquence au stress. La régulation des émotions s'en trouve alors affectée.
Lorsque nous percevons quelque chose de stressant, il s'ensuit une cascade d'événements biologiques. Il en résulte la sécrétion d'hormones du stress, tels l'adrénaline et le cortisol.
Stress aigu : phase d'alarme
Le cerveau est stimulé et induit la libération d'adrénaline par des glandes situées au-dessus des reins, les surrénales. Cette hormone favorise l'afflux de sang et d'oxygène vers les muscles, l'organisme se prépare ainsi à réagir face à l'agresseur.
une pression routinière, au travail, à l'école, dans la famille ou encore pour tout autre responsabilité ; un stress provoqué par un changement soudain et imprévu, tel qu'un divorce, un changement de travail ou encore l'apparition d'une maladie ; un épisode traumatique : une catastrophe naturelle, un attentat, etc.
Le stress provoque très souvent des douleurs musculaires et articulaires. Les maux de ventre sont aussi très fréquents. Le stress peut également entraîner des symptômes neurologiques ou, autrement dit, des maux de tête (migraines, céphalées de tension).
Une réponse physiologique est l'ensemble des réactions automatiques d'un corps (tout ou partie) à un stimulus. Par exemple, lorsque l'organisme est placé dans une situation stressante, une réponse au stress peut être de commencer à transpirer.
Un stimulus entraîne une réponse de l'organisme s'il est capable de déclencher, chez les Métazoaires évolués, une succession de processus dont les trois étapes essentielles sont : l'ébranlement du récepteur, l'activité du système nerveux central et l'activité de l'effecteur.
physiologique
1. Relatif à la physiologie. 2. Se dit des fonctions et des réactions normales de l'organisme.
En santé, le stress – réaction permettant l'adaptation aux différentes conditions externes ou internes – est pourtant le facteur protecteur de l'organisme. Il participe aux différents systèmes destinés à préserver nos fonctions vitales et par extension, nos organes vitaux et donc notre cerveau.
Les glandes surrénales libèrent des catécholamines, dont le cortisol, l'adrénaline et la noradrénaline. Leur présence dans le sang entraîne une réaction en chaîne dans tout le corps. La fréquence cardiaque augmente. La respiration devient plus fréquente et profonde.
Quelles sont les hormones du bonheur ? Il en existe 4 principales : la dopamine ; la sérotonine ; l'endorphine et l'ocytocine.
Le stress devient négatif quand il se répète. On parle alors de stress chronique qui se révèle pathologique quand il entraîne des symptômes psychosomatiques comme l'anxiété, des troubles du sommeil, l'asthénie, des migraines, des troubles cardio-vasculaires, des douleurs abdominales ou articulaires, etc.”
Le stress s'apparente alors à une relation de cause à effet : quelque chose se produit dans l'environnement et cela génère du stress. L'anxiété est une vague et parfois intense sensation de danger et de malaise. La personne anticipe de façon négative un évènement qui pourrait survenir dans le futur.
Notez que le stress positif est toujours à court terme, ce qui signifie que les facteurs de stress positifs peuvent n'avoir qu'un effet limité sur une personne. Cependant, le stress négatif peut être à court et/ou à long terme, selon vos capacités d'adaptation.
L'organisme entre alors dans une phase d'épuisement : les hormones produites pour contrer le stress le sont en permanence, ce qui est très coûteux en énergie. L'une de ces hormones, le cortisol, bloquerait alors la production de neurones dans l'hippocampe, conduisant potentiellement à la dépression.