− Le manque de moyens financiers qui fait que les organismes atteignent rarement leurs objectifs ; − L'absence d'une monnaie commune qui freine l'intégration économique ; − Les difficultés de circulation des personnes et des biens ; − La fragilité des économies qui dépendent de l'aide des pays riches.
Le bilan de l'intégration régionale en Afrique est pour l'instant peu réjouissant, et beaucoup d'alliances régionales se caractérisent par des initiatives non coordonnées, des conflits politiques et de faibles échanges commerciaux intra-régionaux.
En combinant ces deux dimensions, quatre types d'intégration professionnelle sont distingués : l'intégration assurée, l'intégration incertaine, l'intégration laborieuse et l'intégration disqualifiante.
− Le manque de stabilité politique dans les États (tentatives de coup d'États, guerre interethniques...) − L'absence d'une monnaie forte : le non-respect et les problèmes d'application des accords régionaux sociaux. − Les problèmes de circulations des personnes et des biens Les différentes frontières entre les États.
En effet, l'inconvénient majeur à l'échelle d'un pays reste l'abandon d'une partie de ses instruments de politique économique — par exemple le taux de change dans le cadre d'une intégration monétaire, les contraintes budgétaires ou la gestion des flux migratoires dans le cadre d'une intégration économique — pour mener ...
l'objectif d'intégration fera appel à des savoir-être et des savoir-devenir orientés vers le développement de l'autonomie. Dans le cas où toutes les caractéristiques ne peuvent être présentes, il faut qu'au moins la première d'entre elles le soit pour qu'on puisse parler d'objectif d'intégration ».
Leur péché : n'être pas du nord Cameroun, n'être pas musulman. Voilà qui leur attire la foudre du rejet, les animosités d'individus qui refusent d'admettre la diversité linguistique et la liberté religieuse.
Une autre sombre illustration du manque d'intégration africaine se trouve dans les éruptions presque continues de violence qui ont lieu sur le continent africain et qui s'inscrivent en contraste avec la « communauté de sécurité » qu'est devenue l'Union européenne, au sein de laquelle la guerre a non seulement disparue, ...
C'est un processus résultant d'une démarche volontaire de deux ou de plusieurs États différents en vue d'une mise en commun d'une partie ou de l'ensemble de leurs ressources.
Au sens général, l'intégration est un processus d'incorporation d'un élément dans un autre, accompagné d'une transformation réciproque de ces éléments tendant vers l'unité. Le latin integrare, rendre complet, rappelle ainsi que l'intégration opère un geste vers l'achèvement.
Les inconvénients de la stratégie d'intégration
Cette stratégie qui consiste à tout faire soi-même rend l'activité de l'entreprise beaucoup moins fluide, et beaucoup plus lourde pour elle-même.
Le concept d'inclusion accepte que tout le monde entre dans la société et puisse s'y retrouver avec ses différences sans jamais laisser quelqu'un seul ou en difficulté. L'intégration, quant à elle, ne veut pas faire changer la société.
Il vise à accroître la compréhension des aspects du vieillissement liés aux politiques afin d'améliorer la qualité de la fin de vie, de réduire les inégalités et d'assurer le caractère durable du développement social.
L'intégration passe par l'abolition partielle ou totale des restrictions tarifaires (taxes, droits de douane) et non tarifaires sur le commerce. Béla Balassa en énumère plusieurs formes : zone de libre-échange, union douanière, marché commun, union économique, union économique et monétaire.
Les experts conviennent que l'intégration régionale élargit les marchés et les échanges, améliore la coopération, atténue les risques et promeut la coopération socioculturelle et la stabilité régionale.
Le terme "intégration" est ambigu : il recouvre à la fois une politique publique concernant les immigrés et les différentes formes de participation - professionnelles, linguistiques, comportementales, civiques, etc. - de ces derniers à une société globale.
L'objectif de la CEA est de transformer les cinquante-trois économies africaines en une union économique et monétaire unique, avec une monnaie commune, la libre circulation des capitaux et des travailleurs.
L'intégration sous-régionale a pour but de mettre en place un espace économique supra-étatique. Il s'agit de créer, faire fonctionner, maintenir et approfondir cet espace aux fins de renforcer la solidarité économique et politique entre des Etats.
Faible niveau d'échanges intracommunautaires (12 – 15 %). Les troubles sociopolitiques liés aux coups d'état, aux élections et modifications constitutionnelles anti-démocratiques affaiblissent les efforts d'intégration de la CEDEAO. Les tensions inter-étatiques perturbent les programmes d'intégration régionale.
La politique de la concurrence définie par la CEDEAO fait de la concurrence un moyen efficace pour atteindre un niveau de compétitivité acceptable pour les activités économiques dans la région en vue d'une intégration profitable dans l'économie mondiale.
En effet, l'intégration nationale traduit la situation dans laquelle les individus participent de manière solidaire à la construction durable de leur nation tout en s'y sentant membres à part entière.
L'intégration nationale est un processus dont l'aboutissement induit le sentiment commun d'appartenance et de construction solidaire de la nation par l'ensemble de ses populations.
Le principe d'intégration doit également s'adapter aux contraintes économiques, notamment externes (maintien de la compétitivité internationale communautaire, neutralité des mesures communautaires). Il doit, dans le même ordre d'idées, composer avec les obligations ou objectifs sociaux (sauvegarde de l'emploi, etc.).