Il existe trois types de complétives : la proposition subordonnée conjonctive en que, la proposition subordonnée interrogative indirecte et la proposition subordonnée infinitive.
Une proposition subordonnée complétive a en général pour fonction d'être COD du verbe de la proposition principale. Exemple : Je te dis que c'est vrai. : la proposition subordonnée complétive que j'ai compris est COD du verbe crois.
Elles peuvent être conjonctives (introduites par que), interrogatives indirectes (introduites par un mot interrogatif) ou infinitives (sans mot subordonnant et avec un verbe à l'infinitif).
-> La complétive par 'que' complète un verbe. Exemple : J'ai su que vous viendriez. -> La relative par 'que' complète un nom. Exemple : La photo que je regarde est belle.
laure, la subordonnée complétive n'est autre qu'une conjonctive. Parmi les subordonnées conjonctives,introduites par la conjonction de subordination ''que', on a deux sortes de subordonnées: - la complétive: quand le complément est essentiel, important pour le sens de la phrase. Ce complément peut-être COD ou sujet.
Définition. La proposition conjonctive est une subordonnée introduite par une conjonction de subordination (que, lorsque, puisque, quoique, comme, si et quand) ou par une locution conjonctive (parce que, bien que…). Nous avons exigé qu'il soit présent à notre prochaine rencontre.
La proposition subordonnée conjonctive est introduite par une conjonction de subordination : que, quand, lorsque, comme, parce que, pour que… Les pêcheurs attendent pour sortir [que la tempête se calme].
Une proposition subordonnée complétive a en général pour fonction d'être COD du verbe de la proposition principale. Elle fait donc partie du groupe verbal et ne peut pas être supprimée. On peut distinguer les propositions subordonnées conjonctives en que, les subordonnées interrogatives et les subordonnées infinitives.
Si la proposition subordonnée se rapporte à un nom, ce sera une « relative ». Si elle se rapporte à un autre élément (à l'ensemble de la proposition ou à un verbe), ce sera une « conjonctive ».
3. La proposition indépendante. Sophie a une jolie robe. La proposition indépendante est celle qui ne dépend d'aucune autre et qui n'en détient aucune sous sa dépendance ; elle se suffit à elle-même car elle a une signification complète.
Règle générale : les propositions subordonnées sont introduites par un mot de liaison : pronom relatif, conjonction de subordination ou un mot interrogatif. Il pense étudier demain. Les cours l'ennuyant, il préfère rester à la maison. Exceptions : les propositions infinitives et participes dérogent à cette règle.
Remarque : Dans la proposition subordonnée relative, le pronom « que » remplace un nom (= c'est un antécédent). Remarque : Dans la proposition subordonnée complétive, « que » n'est pas un pronom : il ne remplace rien, il se trouve juste après le verbe : C'est une conjonction de subordination.
Remarque : les propositions subordonnées complétives peuvent avoir des natures différentes : conjonctive (comme ci-dessus), mais aussi interrogative (Je ne sais pas [quand il viendra]) ou infinitive (On entend [les chiens aboyer]).
Une proposition subordonnée relative est introduite par un pronom relatif simple : qui, que, quoi, dont, où, ou composé : lequel, auquel, duquel… Le chat [que l'on m'a donné] est un bon chasseur de souris. Elle complète un nom ou un pronom appelé antécédent et dont elle est une expansion.
Proposition principale : Une autre proposition dépend d'elle. Ex : Je mange parce que j'ai faim. Propositionsubordonnée : Elle dépend d'une autre proposition. Ex : Je mange parce que j'ai faim.
Adam part pour Anvers avec cent sous, entre derrière chez Decontre. Cette drôle de phrase-là que l'on entend moins fréquemment regroupe un certain nombre de prépositions : à, dans, par, pour, en, vers, avec, sans, sous, entre, derrière, chez, de, contre...
La proposition subordonnée circonstancielle est introduite par une conjonction de subordination qui lui donne son sens. Elle peut presque toujours être déplacée ou supprimée. C'est un complément de phrase. Exemple : Quand tu auras fini, tu pourras venir m'aider.
Une subordonnée complétive occupe une place essentielle dans la phrase : sans elle, la phrase n'a pas de sens. (Elle est l'équivalent du complément essentiel dans une phrase simple). Sa fonction dans la phrase est généralement celle d'un C.O.D., mais elle peut aussi être sujet ou sujet réel.
La proposition subordonnée conjonctive circonstancielle de but est introduite par pour que, afin que, de peur que. Ex. : Il s'adresse à un ami pour qu'il l'aide à trouver du travail. Il lui rappelle sa promesse de peur qu'il ne l'oublie.
La subordonnée de condition introduite par si est toujours à l'indicatif. Le mode de la principale, lui, varie : si la condition est considérée comme sûre, la principale est à l'indicatif (ou à l'impératif) ; Exemple : Si tu pars, je t'accompagnerai. si la condition est incertaine, la principale est au conditionnel.
Deux propositions indépendantes sont juxtaposées quand elles ne sont pas reliées par un mot de liaison. Elles sont juste séparées par une virgule ou un point virgule.
La conjonction de subordination est un mot invariable qui sert à introduire une proposition subordonnée. Ses parents sont très fiers qu'il ait réussi le concours (La conjonction qu' introduit la proposition il ait réussi). Les conjonctions à proprement parler sont : que, comme, lorsque, puisque, quand, quoique et si.
1 LA SUBORDONNÉE CIRCONSTANCIELLE DE CAUSE
Subordonnants : comme, du moment que, d'autant plus que, parce que, puisque, sous pré- texte que, etc. Comme il est malade, il ne s'est pas présenté à l'examen. L'élève est absent parce qu'il aurait la grippe.