Les principaux intervenants de la mise en place d'une GPEC sont les suivants : Les membres de la direction et l'équipe RH assurent le pilotage du projet GPEC (dont l'implémentation éventuelle dans le SIRH). Les managers , à partir d'une stratégie, déclinent les besoins opérationnels en ressources.
En résumé Les acteurs clés de la démarche de GEPP seront : les dirigeants, les RH, les représentants du personnel, les managers et les salariés. Tout le monde devra s'impliquer et s'associer au changement !
France Assureurs et quatre organisations syndicales – CFDT, CFE-CGC, UNSA et CFTC – viennent de signer un nouvel accord portant sur la Gestion Prévisionnelle des Emplois et des Compétences (GPEC) et sur la Formation Professionnelle tout au long de la vie dans les sociétés d'assurance.
Section 3 Les acteurs de la gestion des carrières
Trois acteurs principaux peuvent être identifiés : les salariés, les managers et les DRH.
Ainsi par ces textes, la Gestion Prévisionnelle des Emplois et des Compétences est devenue la GEPP pour Gestion des Emplois et Parcours Professionnels. Il s'agit désormais d'adopter une gestion dynamique plutôt qu'une simple gestion prévisionnelle des compétences.
La GPEC permet d'harmoniser les compétences des salariés à l'activité de l'entreprise et à ses perspectives d'évolution. Pour cela, en identifiant les compétences clés qu'il faut conserver, développer, et/ou acquérir à court ou moyen terme, l'entreprise va concevoir et mettre en œuvre des plans d'actions adaptés.
La GPEC, petit rappel
Anticipation et planification font donc partie de cette méthode qui est basée sur le management des compétences. Le 18 janvier 2005, la loi de Programmation de Cohésion Sociale dite “ loi Borloo “ impose à certaines entreprises de négocier la mise en place d'un dispositif de GPEC.
Inconvénients : les risques d'erreurs sont élevés à cause de l'inexpérience. La pyramide de cette forme apparaît aux gens de nombreuses spécialités du management comme étant la pyramide idéale. AVANTAGES : une harmonieuse répartition des âges entre les jeunes et les vieux.
Les Ordonnances Macron de 2017 ont fait naitre la Gestion des Emplois et des Parcours Professionnels (GEPP) qui est en remplacement de la GPEC. Le cadre juridique a été modifié et l'appellation « compétences » est laissée aux oubliettes au profit de « parcours professionnel ».
La mise en place de la GPEC est obligatoire dans les entreprises de plus de 300 salariés, avec une négociation elle aussi obligatoire tous les 3 ans (article L 2242-20 du Code du travail).
La gestion prévisionnelle des emplois et des compétences (GPEC) est une méthode pour adapter – à court et moyen termes – les emplois, les effectifs et les compétences aux exigences issues de la stratégie des entreprises et des modifications de leurs environnements économique, technologique, social et juridique.
Pour la fonction RH, l'enjeu est donc de proposer une gestion prévisionnelle (voire prospective) des emplois, des effectifs et des compétences (GPEC) et/ou une Gestion des Emplois et Parcours Professionnels (GEPP), en réponse à la stratégie globale et en soutien aux transformations internes engagées.
Les enjeux de la GPEC
En cela, la GPEC se rapproche de la démarche de gestion des talents de l'entreprise : elle vise à optimiser l'intégration des employés à la stratégie d'entreprise tout en visant une meilleure performance et une meilleure productivité.
La Gestion des Ressources Humaines constitue une « fonction partagée », dès lors qu'elle requiert l'implication des spécialistes RH ; mais aussi de la Direction Générale, des managers, des collaborateurs et de manière croissante de prestataires extérieurs.
LES ACTEURS E-RH LES PLUS INFLUENTS
En interne, les acteurs les plus influents de la GRH sont logiquement les DRH, les responsables accompagnateurs de changement et les chefs et dirigeants d'entreprise.
Il s'agit d'une démarche globale qui repose sur quatre grandes fonctions génériques : piloter (fixer des objectifs et contrôler), organiser, animer et diriger.
III - Les limites de la GPEC
➊ La GPEC consiste à mettre en place un projet, des plans d'actions dans un avenir hypothétique, incertain du point de vue économique. Les mesures envisagées peuvent s'avérer inefficaces, non adaptées aux réalités que la PME rencontrera.