Ce sont les premiers droits à être reconnus en France. Ces droits peuvent être individuels (comme la liberté d'expression ou la liberté d'opinion) ou collectifs (comme la liberté de réunion ou d'association).
Une liberté individuelle peut s'exercer par chacun séparément des autres citoyens. Une liberté collective est un droit que l'on peut exercer dans le cadre de la vie collective en société.
le droit à la vie, à la liberté et à la sécurité d'une personne. le droit au respect de la vie privée et familiale. la liberté d'expression. la liberté de pensée, de conscience et de religion.
Les libertés publiques sont des libertés individuelles et collectives garanties par les textes. Elles constituent un sous-ensemble des droits fondamentaux. D'autres libertés ne sont pas des droits et ne sont pas protégées par les textes.
Les libertés individuelles sont des libertés que l'individu exerce seul (Liberté d'aller et venir, liberté d'opinion, le droit de disposer de son corps, le droit à la vie privée, à la sureté), les libertés collectives sont celles que l'individu exerce en groupe (Liberté de réunion, d'association, liberté de la presse, ...
Les libertés collectives garantissent la place de chacun dans la société. Le droit de vote, la liberté de manifester, la liberté syndicale, la liberté d'expression, le droit de grève et la liberté d'association sont autant de moyens d'exercer ce type de liberté.
le droit de vote, la liberté syndicale et le droit de représentation, le droit de grève, la liberté de culte.
la libre circulation des biens, la libre circulation des capitaux, la libre circulation des services, la libre circulation des personnes.
La liberté d'opinion (ou liberté de conscience) assure à toute personne la liberté de penser comme elle l'entend. La liberté d'opinion fait partie des droits fondamentaux consacrés dès 1789 dans la Déclaration des droits de l'homme et du citoyen.
On admet habituellement trois catégories principales: 1) les droits civils et politiques (également appelés libertés et droits fondamentaux), 2) les droits économiques, sociaux et culturels (également appelés droits sociaux) et 3) les droits collectifs.
Il appartient à l'autorité judiciaire, gardienne de la liberté individuelle, de le faire (art. 66 de la Constitution).
Ainsi : La « liberté consiste à pouvoir faire tout ce qui ne nuit pas à autrui » (art. 4 de la Déclaration des droits de l'homme), ce qui implique la possibilité de « faire tout ce qui n'est point interdit, comme ne pas faire ce qui n'est point obligatoire » (art.
"La liberté des uns s'arrête là où commence celle des autres" professe John Stuart Mill, dans son célèbre opus sur La Liberté. Le concept est alors étroitement associé à celui de "Droit", jusqu'à se confondre même le plus souvent.
Les différentes formes de liberté :
Liberté civile : en respectant les lois. Liberté politique : pouvoir exercer une activité politique, adhérer à un parti, militer, élire des représentants... Liberté individuelle : droit de chacun d'agir librement sans encourir de mesures arbitraires.
Les libertés protégées par la plupart des États démocratiques : liberté de conscience. liberté de pensée. liberté de religion.
Le droit naturel, qui comprend notamment, le droit à la vie, et à la santé, le droit à la liberté, comme le droit de propriété ; il est inhérent à l'humanité, universel et inaltérable, alors même qu'il n'existe aucun moyen concret de le faire respecter.
Parmi les droits qui nous intéressent ici, on citera la liberté d'expression, la liberté de la presse, la liberté religieuse, la liberté de l'enseignement, la liberté de réunion, la liberté d'association, le droit de vote et l'éligibilité et, en faveur des ressortissants étrangers, le droit d'asile.
À travers son préambule et ses dix-sept articles , elle définit des droits « naturels et imprescriptibles » que sont la liberté, la propriété, la sûreté, la résistance à l'oppression, elle reconnaît l'égalité devant la loi et la justice, et elle affirme le principe de la séparation des pouvoirs.
La liberté est le pouvoir qui appartient à l'homme de faire tout ce qui ne nuit pas aux droits d'autrui; elle a pour principe la nature, pour règle la justice, pour sauvegarde la loi; sa limite morale est dans cette maxime : Ne fais pas à autrui ce que tu ne veux pas qu'il te soit fait.
Car "droit" et "liberté" sont deux notions bien différentes. "La liberté est une 'capacité de faire', alors que le droit est presque une obligation qui incombe à l'interlocuteur", explique Anne-Charlène Bezzina, maître de conférences en droit public et constitutionnaliste, à Europe 1.
La liberté d'opinion est un principe de liberté fondamentale permettant la communication d'opinion personnelles sans entrave de l'État. La liberté d'opinion fait l'objet de l'article 19 de la Déclaration universelle des droits de l'homme.
Y a-t-il des limites à la liberté individuelle? La réponse connue est simple : la liberté de chacun s'arrête là où commence celle des autres, c'est-à-dire que nos actes ne doivent pas causer directement, ou indirectement, des dommages à autrui, collectivité comprise.
Il s'agit notamment des libertés d'association, de réunion pacifique, la liberté syndicale et le droit de grève. Ces libertés sont absolues mais peuvent faire l'objet de certaines restrictions.