Les 4 piliers scientifiques du développement industriel et économique. Au cours du siècle dernier, la France, comme tous les autres pays ayant connu un fort développement industriel et économique, s'est appuyé sur quatre piliers scientifiques : les mathématiques, la physique, la chimie et la biologie.
Le pilier économique : limiter les externalités négatives liées au développement économique. Agir pour une répartition plus égalitaire des richesses. Être attentif aux conséquences de la production et de la consommation. Le pilier social : lutter contre la pauvreté et les inégalités entre les pays dans le monde.
Contrairement au développement économique, le développement durable est un développement qui prend en compte trois dimensions : économique, environnementale et sociale. Les trois piliers du développement durable qui sont traditionnellement utilisés pour le définir sont donc : l'économie, le social et l'environnement.
Les critères environnementaux, sociaux et de gouvernance (ESG), ou environmental, social and governance en anglais, sont les 3 piliers que les investisseurs analysent dans leurs décisions d'investissement lorsqu'il s'agit de la performance extra-financière des entreprises.
Le développement durable est « un développement qui répond aux besoins du présent sans compromettre la capacité des générations futures à répondre aux leurs », citation de Mme Gro Harlem Brundtland, Premier Ministre norvégien (1987).
Toutefois, il faut attendre 1992 pour que le Sommet de la Terre qui se tient alors à Rio (sous l'égide des Nations Unies) officialise cette notion et celle de ses trois piliers : économique, écologique et social.
L'accent sera mis sur l'intégration des trois piliers du développement durable (économique, développement et protection de l'environnement), l'accélération de la mise en œuvre et le renforcement de la cohérence entre tous les acteurs, y compris les diverses parties du système de l'ONU.
Ce sont d'abord les ONG (Organisations Non Gouvernementales) telles que Greenpeace, les Amis de la Terre, le WWF, Amnesty International… Elles jouent un rôle vital pour faire avancer les prises de conscience et les débats vers des choix écologiquement rationnels et socialement responsables.
Selon l'approche de Solow, le développement économique s'explique par trois facteurs : l'augmentation des deux principaux facteurs de production (travail et capital), et le troisième le progrès technologique, générateur de gains de productivité.
Agir pour une transition juste, en luttant contre toutes les discriminations et inégalités et en garantissant les mêmes droits, opportunités et libertés à toutes et à tous.
Le développement durable réconcilie trois champs de l'activité humaine – la société, l'économie et l'environnement – en proposant une notion de développement qui répond aux besoins de la génération actuelle sans compromettre la capacité des générations futures de répondre à leurs propres besoins.
En adoptant une démarche de développement durable, votre entreprise est amenée à réduire ses coûts d'approvisionnement en énergie et en ressources naturelles. Ainsi, elle parvient à mieux gérer ses dépenses et à éviter de payer deux fois pour l'achat et le rejet d'une même ressource.
Changer ses modes de consommation ou de déplacement, voter pour des projets durables dans des budgets participatifs, signer et relayer des pétitions, proposer des initiatives sur son lieu de travail, ou même juste aborder des sujets avec ses proches, les moyens sont nombreux !
Au vu de la définition ci-dessus, nous pouvons voir que la RSE se caractérise par trois piliers : le pilier économique, le pilier environnemental et le pilier social.
La RSE peut se définir comme tout ce l'entreprise met en place pour limiter les impacts négatifs de son activité et améliorer son environnement, qu'il soit humain, social ou naturel. Cette responsabilité se pratique sur une base volontaire.
En d'autres termes, la RSE c'est la contribution des entreprises aux enjeux du développement durable. Une entreprise qui pratique la RSE va donc chercher à avoir un impact positif sur la société tout en étant économiquement viable.
Les critères ESG (pour Environnementaux, Sociaux et de Gouvernance) permettent d'évaluer la prise en compte du développement durable et des enjeux de long terme dans la stratégie des acteurs économiques (entreprises, collectivités, etc.).
L'ESG (Environnement, Social et Gouvernance), l'alter ego de la RSE qui permet l'analyse extra-financière d'une entreprise. Environnement, social, gouvernance, des notions qui forment également l'acronyme ESG, dont on entend souvent parler lorsqu'on évoque la RSE.