Revu en 2021, l'indice ATMO se rapproche de l'indice européen de la qualité de l'air en prenant en compte les mêmes 5 polluants : l'ozone, le dioxyde d'azote (NO2), le dioxyde de soufre (SO2) et les particules en suspension (PM10 et PM2. 5).
Créé en 1994, l'indice ATMO actuel est un indicateur journalier de la qualité de l'air calculé sur les agglomérations de plus de 100 000 habitants, à partir des concentrations dans l'air de quatre polluants réglementaires : dioxyde de soufre (SO2), dioxyde d'azote (NO2), ozone (O3) et particules de diamètre inférieur à ...
Nous pouvons distinguer 4 grandes familles de polluants de l'air : les gaz à effet de serre, les métaux lourds, les polluants organiques et biologiques ainsi que les particules fines.
Il s'agit par exemple des oxydes d'azote (NOx), du dioxyde de soufre (SO2), des composés organiques volatiles (COV), des hydrocarbures, et de certains métaux (plomb, cadmium…) ; ou secondaires : créés dans l'atmosphère via des réactions chimiques entre des polluants.
La production d'énergie et d'électricité est la championne des secteurs polluants. Elle est à l'origine de 31,5 % des émissions de GES.
Les polluants primaires sont principalement émis dans l'atmosphère. Ils sont issus des sources de pollution comme le trafic routier, les industries, le chauffage, l'agriculture, etc. Il s'agit par exemple : Des oxydes de carbone.
calculé quotidiennement, à partir des concentrations de 5 polluants réglementés : > les particules fines dont le diamètre est inférieur à 10 micromètres (PM10) ; > les particules fines dont le diamètre est inférieur à 2.5 micromètres (PM2. 5) ; > le dioxyde d'azote (NO2) ; > l'ozone (O3) ; > le dioxyde de soufre (SO2).
Les polluants chimiques qui suscitent les plus fortes préoccupations en termes de santé publique sont les particules, notamment les particules fines (constituées d'une multitude de composants chimiques), l'ozone (O3), le dioxyde d'azote (NO2), les composés organiques volatils[1] (benzène, formaldéhyde, 1,3-butadiène…), ...
Les principales méthodes utilisent les données scientifiques générées par des études de cohortes épidémiologiques, montrant les relations existant entre les niveaux de concentration moyens relevés dans un air pollué à long terme et les risques de mortalité dans les populations exposées.
Les sources humaines de pollution atmosphérique comprennent les activités qui reposent sur l'utilisation de combustibles à base de carbone (par exemple, le transport, les véhicules hors route et l'équipement mobile, ainsi que la production d'électricité), les procédés industriels comme ceux liés à la production de ...
Les principales activités contributrices aux émissions de polluants en France sont les activités industrielles, les transports (routiers et non routiers), le secteur résidentiel (chauffage en particulier), les activités humaines liées à l'agriculture et la sylviculture, etc.
Un polluant primaire est un polluant de l'air émis directement par une source donnée. Un polluant secondaire n'est pas émis directement en tant que tel, mais se forme lorsque d'autres polluants (polluants primaires) réagissent dans l'atmosphère.
De nombreuses substances classées parmi les polluants atmosphériques sont d'origine naturelle et proviennent de sources comme les forêts de conifères, les incendies de forêt, l'érosion des sols, les volcans, les tempêtes de sable et les embruns.
Les polluants organiques persistants (abrégés en POP) sont des composés persistants, bioaccumulables, toxiques et mobiles. Ils comprennent en particulier les dioxines, les polychlorobiphényles (PCB), les hydrocarbures aromatiques polycycliques (HAP) et les pesticides.
Il s'agit du monoxyde d'azote (NO) mais surtout du dioxyde d'azote (NO2), principalement formé lors des processus de combustion, notamment dans les moteurs de voiture ou dans les centrales électriques. Le NO2 est le plus nocif des deux oxydes pour la santé humaine.
Face à cet enjeu de santé publique, les associations agréées de surveillance de la qualité de l'air (AASQA) calculent et publient quotidiennement un indice de qualité de l'air. Il s'agit de l'indice Atmo qui intègre aussi, depuis le 1er janvier 2021, la mesure des particules fines PM2,5 inférieures à 2,5 micromètres.
Les indicateurs d'impact environnemental d'une FDES sont regroupés en trois catégories. La première catégorie concerne ces indicateurs : Potentiel de réchauffement global (GWP) mesure les émissions de CO² et de gaz à effet de serre. Acidification (AP) mesure les gaz acides.
La biodégradabilité est la capacité d'un polluant à être dégradé biologiquement c'est-à-dire par l'action d'organismes biologiques. La biodégradabilité est très variable selon les conditions du milieu (température, humidité, pH, etc.) et selon la nature du composé.