1. Les États-Unis. Les États-Unis sont les principaux producteurs de pétrole au monde avec 11,5 millions de barils produits par jour.
Le Maroc est désormais doté d'une importante raffinerie de pétrole, dont la construction a été achevée en 1961 dans des délais rapides. La Société anonyme marocaine italienne de raffinage (S.A.M.I.R.) est née de l'initiative commune du B.E.P.I.
“La Chine et l'Inde ne sont pas les seuls pays à acheter du pétrole russe”, commente Le Temps. La semaine dernière, l'Asie était encore la principale destination des exportations de brut russe, avec 50 % (1,71 million de barils), mais l'Europe en achetait 45 % (1,55 million de barils).
Selon le même rapport, « l'OPEP » a attribué le prix élevé du pétrole brut africain en général et du pétrole brut algérien en particulier, au fait que ce dernier est de faible densité et a une faible teneur en soufre, ce qui est très important pour les raffineries de pétrole. .
Pétrole : premier forage par Drake
Le 27 août 1859, l'Américain Edwin L. Drake extrait pour la première fois du pétrole par forage, à une profondeur d'une vingtaine de mètres, à Titusville, en Pennsylvanie. Il s'inspire pour cela des techniques de forage des puits de sel.
Le pays africain disposant des plus importantes réserves de pétrole est la Libye avec 48,4 milliards de barils, illustrant 39,6% des réserves prouvées des dix pays disposant des réserves les plus larges. La part des réserves libyennes dans les réserves mondiales se situe à 3,3%.
Le Nigeria s'impose, une fois encore, comme le pays africain le plus riche du monde, d'après le Fonds monétaire international, avec un PIB de 574 milliards de dollars en 2023. Un chiffre en hausse de 3% sur un an et qui permet au pays d'occuper la 29e place du palmarès des nations les plus riches du monde.
Le Nigeria, premier producteur de pétrole d'Afrique, confronté à une grave pénurie d'essence.
Classé au premier rang des fabricants de vin, l'Italie produit un volume grandiose de vin plus que tous les autres pays. Avec 54,8 millions d'hectolitres de volume de vin, il bat le record et juste derrière lui se trouve la France.
Ainsi, l'étude démontre que la France est le 7ème plus gros importateur de pétrole russe ces 100 derniers jours, avec 4,3 milliards d'euros.
La Norvège demeure le principal fournisseur de la France (36 % du total des entrées brutes), devant la Russie (17 %), l'Algérie (8 %), les Pays-Bas (8 %), le Nigeria (7 %) et le Qatar (2 %).
En 2021, sur des exportations russes totales de 489 milliards $, près de 178 milliards $ provenaient du pétrole, dont 104 milliards $ vendus aux pays européens, et 54 milliards $ du gaz naturel, plus 7 milliards $ du GNL, dont 43 milliards $ à destination de l'Europe.
La Russie fournit à l'Ukraine environ 60 % du gaz que ce pays consomme, soit 30 à 35 milliards de mètres cubes par an sur un total de 55 milliards [2] 4.. Conséquence d'une telle dépendance, la dette ukrainienne à l'égard de Gazprom a atteint des proportions considérables.
Environ 90 pour cent du gaz consommé annuellement en Allemagne sont importés de la Russie, de la Norvège et des Pays Bas. Le gaz naturel arrive en Allemagne par des gazoducs et est ensuite injecté dans le réseau de transport, puis dans le réseau de distribution.
Le Nigeria, la Libye, l'Algérie, l'Angola, le Soudan et douze autres pays d'Afrique disposent de réserves de gaz naturel en grande ou modeste quantité.
Ainsi, la Russie vend désormais près d'un million de barils par jour à l'Inde à prix cassé, en moyenne de -20%. Ce pétrole brut russe passe alors dans les raffineries indiennes où il est transformé en carburant. Ce dernier est ensuite vendu par l'Inde aux distributeurs français et finit donc dans votre réservoir.
En 2020, 55 % des importations de gaz naturel en Pologne provenaient de Russie, selon Eurostat. Le gouvernement s'est néanmoins montré rassurant, affirmant que l'approvisionnement en énergie n'était pas menacé et que les réserves de gaz étaient remplies à 76 %.
Si de nombreux pays d'Europe centrale ou orientale dépendent entièrement de la Russie pour leur approvisionnement en gaz, comme la Slovaquie ou les Pays Baltes, la part du gaz russe est de 80 % en Pologne, 65 % en Autriche, 37 % en Allemagne et en Italie et 24 % en France.