Le pamplemousse ou encore le pomélo sont connus pour être des sources importantes de flavonoïdes. 4 verres de jus de pamplemousse par semaine suffiraient ainsi à nettoyer efficacement vos poumons.
Augmenter les apports en fibres (légumes, fruits, céréales complètes, légumineuses) a un effet bénéfique sur le contrôle de l'asthme et permet également de réduire l'inflammation des voies respiratoires. Cela permettrait également de freiner le développement de la BPCO et une amélioration des débits bronchiques.
Toujours en phytothérapie, l'infusion de gingembre est recommandée pour nettoyer naturellement vos poumons et les fortifier. Elle les aide à se débarrasser du mucus, des toxines et de divers allergènes. Il suffit de laisser infuser 1 g de gingembre en poudre dans 250 ml d'eau bouillante pendant une dizaine de minutes.
Chez les participants dont les taux de vitamine B6 (pyridoxine) étaient les plus élevés, le risque de souffrir d'un cancer du poumon chutait de 44 % par rapport à ceux dont les taux de vitamine B6 étaient les plus bas. La réduction du risque était de cette ampleur tant chez les fumeurs que chez les non-fumeurs.
2. Pour leurs antioxydants. Le citron et la lime contiennent beaucoup d'antioxydants, entre autres des flavonoïdes, qui sont des agents anti-cancer bien connus. Des études cliniques ont démontré l'effet positif de la limonène sur les cancers de la bouche, du sein, des poumons, de l'estomac et du côlon.
La consommation de lait à pleine teneur en gras, mais pas de lait à faible teneur en gras, était liée à une réduction du risque de respiration sifflante; Un apport plus élevé en vitamine D pendant la grossesse était aussi associé à un risque réduit de respiration sifflante pendant l'enfance.
La consommation d'ail pourrait diminuer les risques de cancer du poumon de moitié. Une étude conduite par des chercheurs chinois, dont on parle sur Daily Mail (UK), révèle qu'en consommant de l'ail cru, ne serait-ce que 2 fois par semaine, on réduirait de plus de 44 % les risques de développer un cancer pulmonaire.
Le thym provoque peu d'effets indésirables. Un surdosage peut entraîner des réactions allergiques, voire des troubles de la digestion comme des brûlures d'estomac ou des diarrhées "et en huile essentielle, s'il est mal dilué, la solution peut être irritante pour les muqueuses" souligne la naturopathe.
8/9 Le gingembre
En infusion dans de l'eau bouillante, le gingembre est un excellent remède contre les maux de gorge et des bronches. En effet, il agit comme un anti-inflammatoire au niveau des poumons.
Les papayes, oranges, mandarines et mangues sont riches en bêta-cryptoxanthine qui «neutralise les radicaux libres destructeurs de cellules, et peut-être aussi les radicaux libres destructeurs générés par la fumée de cigarette».
Faire de l'exercice
Marche, vélo, jardinage... l'activité physique améliore les capacités respiratoires. Le yoga ou l'apnée aident à ralentir et à contrôler le souffle. Pour les activités d'intérieur, bien aérer avant, pendant et après.
L'oignon est un puissant antioxydant qui élimine les toxines, notamment celles accumulées dans les poumons. Riche en soufre, il nettoie également les voies respiratoires et soulage l'asthme.
Dans un premier temps, émincez très finement l'oignon. Placez les tranches dans un bol et versez dessus deux cuillères à soupe de miel (ou recouvrez-les de sucre). Mélangez bien le tout pour que le miel s'étale bien sur les tranches d'oignon. Laissez reposer ce mélange pendant environ 12 heures.
Mesurer sa fréquence respiratoire
Inspirez puis expirez et comptez le nombre de cycles sur une minute. Si vous dépasser 20 cycles par minute, vous êtes en "polypnée" et vous devez alors contacter rapidement un médecin pour évaluer votre situation.
Lorsqu'il s'agit d'une pneumopathie d'origine bactérienne, un traitement antibiotique est prescrit (par exemple amoxicilline pour les pneumonies à pneumocoque), voire en association en cas de tuberculose notamment. La pneumopathie liée à une légionellose sera traitée avec des antibiotiques type macrolides ou quinolone.
Marche, vélo, jardinage… l'activité physique améliore les capacités respiratoires. Le yoga ou l'apnée aident à ralentir et à contrôler le souffle. Pour les activités d'intérieur, bien aérer avant, pendant et après.
Pour faire travailler vos poumons, rien de mieux que la pratique d'une activité physique modérée (marche rapide, footing, vélo...) pendant 30 minutes 3 fois par semaine. Le but ? Être légèrement essoufflée, pour mettre sa réserve respiratoire à contribution.
Selon une étude parue dans Nature : nos poumons ont la capacité de se régénérer après l'arrêt du tabac. Cela confirme un vieil adage : il n'est jamais trop tard pour arrêter de fumer.
Le thym s'utilise depuis des millénaires autant en cuisine que pour ses bienfaits sur de nombreux maux. Tonique, puissant antiseptique, stimulant de l'immunité, c'est la plante incontournable et efficace contre les troubles respiratoires.