La radiothérapie peut être à visée curative, pour guérir le patient, ou à visée palliative, pour soigner le patient en le soulageant des symptômes provoqués par la tumeur, dans le cas de métastases osseuses douloureuses par exemple.
Les rayons détruisent les cellules cancéreuses en endommageant leur matériel génétique. Ainsi, les cellules ne peuvent plus se multiplier et la tumeur se réduit. Malheureusement, la radiothérapie peut aussi affecter les cellules saines qui se trouvent autour de la zone irradiée.
La radiothérapie se montre efficace pour lutter contre 50 % des cancers, notamment les cancers ORL, les cancers des testicules ou les mélanomes.
La perte d'appétit peut apparaître au cours des premières semaines de radiothérapie et se prolonger après le traitement. Des effets secondaires comme une douleur dans la bouche, la sécheresse buccale, la difficulté à avaler ou les nausées et vomissements peuvent causer une perte d'appétit.
Eviter les boissons trop chaudes ou trop fraîches qui peuvent provoquer des douleurs. Eviter les aliments agressifs (épices, moutarde, pain sec, croûte du pain, biscottes…) et les aliments acides (vinaigre, agrumes, tomates, cornichons…). Faire des repas fractionnés et faciles à avaler, éviter de manger trop chaud.
Ces effets secondaires engendrent alors un amaigrissement, voire une cachexie (maigreur extrême) avec non seulement une fonte graisseuse, mais aussi une perte de la masse musculaire, ce qui rend le patient encore plus sensible aux effets secondaires de la thérapie.
Non seulement le taux de récidive ne diffère pas entre les deux groupes, mais en outre, les effets secondaires sont moins importants. Les femmes n'ayant eu « que » 15 séances de radiothérapie sont moins fatiguées, elles souffrent moins d'œdème du sein ou encore de dilatations des petits vaisseaux (télangiectasies).
Tout comme la chimiothérapie, la radiothérapie n'affecte pas seulement les cellules cancéreuses mais également les cellules saines. Cependant, contrairement aux cellules cancéreuses, les cellules saines peuvent se réparer et se renouveler entre les séances de radiothérapie.
Ce que permet la radiothérapie ciblée est de vivre plus longtemps avec une maladie chronique, d'espérer guérir de nombreuses métastases, et de guérir de plus en plus de cancers de façon non invasive.
Il arrive également souvent que le système immunitaire des personnes atteintes de cancer soit affaibli. C'est le cas quand le cancer même ou son traitement, comme une chimiothérapie ou une radiothérapie, affecte la moelle osseuse.
La fatigue est l'un des effets secondaires les plus fréquents qui apparait au cours des séances de radiothérapie. Elle n'est pas systématique, mais apparaît habituellement après quelques semaines de radiothérapie et peut s'intensifier au fil du traitement.
Les métastases se développent de préférence dans les poumons, le foie, les os, le cerveau. Ce n'est pas un autre cancer, mais le cancer initial qui s'est propagé. Par exemple, une métastase d'un cancer du sein installée sur un poumon est une tumeur constituée de cellules de sein ; ce n'est pas un cancer du poumon.
Le cout est estimé à environ € 3000, ce qui est inférieur au cout d'une irradiation complète classique qui, en fonction des techniques utilisées, varie de € 3000 à € 10 000.
La radiothérapie consiste à diriger des rayons sur la tumeur. Les cellules cancéreuses sont des cellules qui se divisent rapidement et prolifèrent de manière incontrôlée ; elles sont sensibles à la radiothérapie.
Peut-on en guérir ? "Dans des cas très exceptionnels, il est possible de guérir d'un cancer métastatique, mais cela reste très rare, précise l'experte. La maladie n'est pas curable mais traitable. On arrive à faire régresser les métastases et à contrôler la maladie pour éviter ses complications.
Typiquement le cancer du poumon, du pancréas ou encore du foie.
En règle générale, la radiothérapie est pratiquée dans les douze semaines qui suivent la chirurgie, sauf si une chimiothérapie est pratiquée après la chirurgie, auquel cas la radiothérapie, si elle est nécessaire, aura plutôt lieu quatre à six semaines après la fin de la chimiothérapie.
Les mois suivants, il est possible de développer une inflammation au niveau du poumon se manifestant par une toux et des difficultés respiratoires. Parfois combinée à de la chimiothérapie, la radiothérapie peut provoquer l'apparition de mycoses dans la bouche, la gorge ou l'œsophage, selon le champs d'irradiation.
Radiothérapie et cancer du sein
Ce traitement n'est pas obligatoire dans le cadre du cancer du sein et dépend de multiples facteurs. Votre médecin, en concertation avec une équipe pluridisciplinaire, juge des bénéfices et risques de chaque traitement pour ses patientes.
Le miel d'arbousier inhiberait la prolifération des cellules cancéreuses, selon l'étude européenne publiée dans le Journal of Functional Foods. Les chercheurs ont analysé des cellules tumorales en laboratoire et ont incorporé des échantillons de miel d'arbousier dans certaines d'entre elles.
L'hormonothérapie provoque rarement une chute de cheveux. "Là encore, il s'agit d'une question de terrain, argue le spécialiste. Rappelons que, comme pratiquement toutes les cellules du corps, celles du bulbe pileux sont dépendantes des hormones (la chevelure de homme n'est pas la même que celle de la femme).
La plupart des symptômes disparaissent avec la fin du traitement. La radiothérapie peut parfois laisser des séquelles.
Le goût revient habituellement à la normale plusieurs semaines ou mois après le traitement. Les personnes qui éprouvent des changements du goût après une radiothérapie verront les choses s'améliorer graduellement et lentement, possiblement sur une période de plusieurs années.