Le vin rosé contient un certain nombre de composés bénéfiques avec des propriétés antioxydantes et anti-inflammatoires potentielles. Les polyphénols contenus dans le vin rosé peuvent aider à abaisser le LDL, ou mauvais cholestérol, tandis que le potassium peut abaisser la tension artérielle.
Comme tout alcool, le rosé n'est pas bon pour la santé. C'est une boisson qui doit être consommée occasionnellement, et en petite quantité (gare au coma éthylique !). D'ailleurs, il n'y a pas de niveau "minimum" d'alcool qui soit sans danger pour la santé.
Parce que le rosé est un vin facile à vivre
Il s'accorde parfaitement avec les repas simples, et peut accompagner tous les plats légers et frais, depuis l'entrée jusqu'au dessert. Il se marie tout particulièrement bien avec la cuisine du Sud.
Il peut réduire le taux de mauvais cholestérol
Le vin rosé contient de nombreux composés utiles aux propriétés anti-inflammatoires et antioxydantes potentielles. Par exemple, les polyphénols présents dans le vin rosé peuvent contribuer à réduire le taux de LDL ou mauvais cholestérol.
Avec modération… Pour les cardiologues, le vin est l'ami de nos artères… à condition d'être consommé avec modération. En effet, n'oublions pas qu'un verre de vin apporte 100 kcal et 10 g d'alcool en moyenne et une alimentation trop riche en vin avec des excès chroniques favorise au contraire l'hypertension artérielle.
Ce gaz incolore est nécessaire mais peut provoquer des maux de tête et des migraines", explique Michel Esteban. En petite quantité, il ne pose pas de problème. Généralement, un très bon vin a besoin de peu de sulfites et c'est pour cela qu'il a moins d'effets indésirables.
Le vin rouge permettrait donc un plus grand flux dans les artères et les vaisseaux sanguins sans en modifier les capacités coagulantes. Ces bienfaits ont aussi été observés chez les buveurs de bière et de vin blanc, mais dans une moindre mesure. Le whisky et l'eau n'ont provoqué aucune modification.
D'autres études ont montré que le vin rouge aide à prévenir les dépôts dans la paroi artérielle, et des chercheurs de Johns Hopkins University aux États-Unis ont récemment découvert que le vin «protège le cerveau des lésions à la suite d'une attaque».
Si vous devez boire du vin, il semble évident que le vin rouge est nettement plus sain - ou moins mauvais - que le vin blanc. En d'autres termes, le vin rouge est le grand gagnant en matière d'effets sur la santé.
Mais il en favorise l'apparition… L'alcool est en effet un puissant vasodilatateur qui agit très rapidement sur les petits vaisseaux du visage. C'est donc l'une des raisons pour lesquelles le rhinophyma est majoritaire (95%) chez les hommes de plus de 50 ans - les hommes consomment plus d'alcool que les femmes.
La consommation d'un verre de vin quotidien serait non seulement sans danger pour le foie mais en plus pourrait lui être bénéfique en diminuant la prévalence de certaines maladies non alcooliques hépatiques (non-alcoholic fatty liver disease, NAFLD).
Le rosé se consomme idéalement pendant la période des beaux jours et accompagne à merveille un assortiment de bouchées salées et de charcuteries. Véritable boisson des barbecues, le rosé se marie très bien avec de la grillade de viande, de volaille et de poissons.
En consommant un verre de vin rouge par jour, on peut considérer qu'il n'y a pas de danger pour la santé, car peu d'alcool consommé et qu'une telle consommation (sans la dépasser) peut être bénéfique pour le cœur.
Les vrais coupables du mal de tête sont les sulfites, des composés chimiques provenant du souffre utilisés par certains vignerons pour compenser le manque de tanins, des anti-oxydants présents dans le vin rouge, afin de stabiliser le vin et améliorer sa conservation.
Le vin rosé contient légèrement plus de calories que le vin blanc et le vin rouge. En moyenne, un verre de vin rosé sec représente 90 calories. Si vous choisissez un vin rosé doux alors ce chiffre augmente encore.
THÉ VERT. Les feuilles de thé regorgent d'un certain polyphénol qui possède d'importantes propriétés médicinales et antioxydantes. Il a été démontré qu'elles protègent contre les maladies cardiaques, le cancer, les lésions cellulaires dues au stress oxydatif et qu'elles favorisent la santé du cerveau.
Ainsi, chez les hommes qui buvaient principalement du vin, le risque de cirrhose était 1,2 fois supérieur pour une consommation de 14 à 28 boissons par semaine par rapport à une consommation de moins de 14 boissons par semaine.
Le vin «désalcoolisé» arrive gagnant
Pour les auteurs, aucun doute: la consommation quotidienne de vin rouge désalcoolisé pourrait être utile pour prévenir ou lutter contre les hypertensions faibles et modérées.
"Le vin blanc peut effectivement engendrer certains calculs rénaux. La bière également car elle est très riche en purines, donc en acide urique. On déconseille aussi le champagne.
Le vin protégerait ainsi le mauvais cholestérol de l'oxydation, le rendant ainsi moins toxique. Par ailleurs, il pourrait diminuer la formation des caillots sanguins et fluidifier le sang, à la manière de l'aspirine.
Comment l'alcool agit-il ? Une consommation modérée d'alcool, (soit 2 à 3 verres par jour au maximum) peut faire diminuer la tension artérielle, en particulier chez les personnes âgées. Par contre, à partir de 4 verres ou plus, la tension augmente.
Consommé en excès et sur au moins cinq ans, il peut par exemple engendrer de la rigidité artérielle. Cela fait en sorte que les artères perdent leur capacité à se dilater ou à se contracter en réaction aux fluctuations de pression sanguine, exerçant ainsi une pression indue sur le muscle cardiaque.
Le vin rouge a des vertus santé que le blanc ou le rosé n'ont pas. On parle souvent des antioxydants qui contribuent à la prévention de certaines maladies cardio-vasculaires.
En grande quantité, l'alcool augmente le risque
Les symptômes comprennent des palpitations cardiaques, un essoufflement et une faiblesse musculaire.