Un contrat de prévoyance doit être souscrit en fonction de vos besoins. Cela vous permettra de faire le bon choix et d'éviter les mauvaises surprises. Il faut également prendre en compte le délai de carence, la durée du contrat et les exclusions éventuelles.
Il existe pour les professionnels deux types d'assurances : la prévoyance collective pour les salariés et la prévoyance individuelle (TNS, profession libérale etc..). Pour les professionnels, la prévoyance individuelle (arrêt de travail, invalidité) est facultative mais très recommandée.
Un contrat de prévoyance couvre les risques liés à la maladie, aux accidents et aux décès.
Quelles sont les garanties offertes par l'assurance prévoyance ? Un contrat de prévoyance prend en charge différents types de risques, à savoir : l'invalidité partielle ou totale (IPT), les maladies ou les accidents, les décès, les arrêts de travail, la dépendance, les incapacités permanente, etc.
Les garanties de prévoyance sont maintenues pendant une durée égale à celle du dernier contrat de travail ou, le cas échéant, des derniers contrats de travail lorsqu'ils sont consécutifs chez le même employeur.
Une assurance prévoyance sert à se protéger financièrement, ainsi que ses proches contre les aléas de la vie. Les bénéficiaires de cette assurance perçoivent ainsi un capital ou une rente en cas du décès ou de la maladie d'un proche afin de pouvoir faire face financièrement.
La prévoyance individuelle offre une couverture contre les aléas de la vie. En cas d'arrêt de travail, d'invalidité, ou encore de décès, elle vous apporte une protection financière à vous et à vos proches. L'assurance prévoyance individuelle vient pallier la perte de revenu.
Le caractère obligatoire des contrats de prévoyance pour les cadres concerne la garantie décès. L'employeur verse par priorité une cotisation de 1,50 % de la tranche A du salaire, dans la limite du plafond de la Sécurité sociale.
la complémentaire ou mutuelle santé couvre la maladie et plus généralement la santé, la prévoyance couvre les aléas de la vie (invalidité, incapacité et dépendance, décès).
Prévoyance salaire : part de la Sécurité sociale
Au-delà des 3 jours de carence, les absences sont indemnisées à hauteur de 50 % du salaire brut (66 % pour les salariés qui ont plus de trois enfants à charge). Depuis le 1er mai 2022, cette indemnité ne peut dépasser 48,69 €/jour.
Afin de pouvoir continuer à bénéficier d'une prévoyance après son départ en retraite, le retraité doit s'acquitter des cotisations de prévoyance, celles-ci étant entièrement à sa charge. La gestion des cotisations s'effectue entre la caisse de prévoyance et le retraité.
Le montant minimum est fixé à 297,20 € pour 2022, tandis que le maximum ne dépasse pas 1 714 € (+ 1 126,41 € de majoration pour tierce personne au 1er avril 2021).
Elle couvre ainsi les risques liés au décès, à l'incapacité ou encore à une hospitalisation et apporte des garanties pour soi-même et ses proches. Si elle est primordiale pour les ménages fragiles, elle est également importante pour les hauts revenus et en particulier pour les chefs d'entreprise.
Il est possible de cumuler plusieurs contrats de prévoyance, cependant dans tous les cas, les prestations perçues suite à un événement ne peuvent pas dépasser le montant des sommes restant en charge après versement des prestations de la sécurité sociale.
Les cotisations d'un salarié à une prévoyance collective, rendue obligatoire par une convention collective, un accord de branche, un accord d'entreprise ou une décision de l'employeur, ne sont pas imposables : elles ne sont donc tout simplement pas prises en compte dans le calcul du revenu imposable.
Concrètement : elles ne doivent pas dépasser 6 % du plafond annuel de Sécurité sociale ou PASS (2468,16 euros en 2021) + 1,5 % de la rémunération annuelle brute du salarié, dans un maximum de 12 % du PASS (4 936,32 euros en 2021).
Le capital décès est alors versé selon l'ordre suivant : au conjoint survivant, non séparé(e) de droit ou de fait, ou au partenaire lié par un PACS ; ou, à défaut, aux descendants ; ou, à défaut, aux ascendants.
En relais du maintien de salaire employeur, soit au 41ème jour, au 61ème jour ou au 91ème jour, l'organisme de prévoyance verse à l'employeur des indemnités journalières complémentaires (IJC) aux IJSS afin que le salarié en arrêt perçoive 95% de son salaire net pendant toute la durée de l'arrêt.
Si l'assurance vie est un contrat d'épargne, un placement financier, le contrat de prévoyance, à l'inverse, est un contrat permettant au souscripteur de se prémunir, ou de prémunir sa famille, contre les conséquences financières liées à un problème de santé faisant suite, par exemple, à un accident ou une maladie.
La prévoyance sert à se protéger contre tous les aléas de la vie liés à la personne, à titre particulier comme professionnel, si le contrat est souscrit à titre collectif. La prévoyance couvre les risques liés au décès, à l'incapacité, à l'invalidité, et à la dépendance.
La garantie de prévoyance maintien de revenu se déclenche lorsque l'assuré est en maladie ou à la suite d'un accident professionnel ou non professionnel, selon ce que prévoit le contrat. En deux mots, elle joue en cas d'incapacité de travail, laquelle entraîne une perte de revenus professionnels.
911-2), la prévoyance regroupe l'ensemble des garanties collectives dont bénéficient les salariés, les anciens salariés et leurs ayants-droit en complément des prestations servies par la Sécurité sociale en couverture des risques liés à l'intégrité physique (maladie, accident), la maternité, l'incapacité de travail ...
C'est le médecin conseil de l'Assurance maladie qui évalue l'incapacité. Il examine à son tour l'assuré et peut demander l'avis d'un médecin expert. Le médecin-conseil examine l'état des séquelles par rapport au barème indicatif d'invalidité de l'Union des Caisses Nationales de Sécurité Sociale (UCANSS).
Bon à savoir :
Quoi qu'il en soit, le fait de prendre sa retraite n'annulera certainement pas la rente, puisque celle-ci est versée à vie.