On distinguera deux types différents de clonages : -Le clonage reproductif : son but est de créer entièrement un individu identique à la base à un autre individu, mais qui pourrait se développer de manière différente. -Le clonage therapeutique qui consiste à reproduire des cellules distinguées aux fonctions précises.
Seule la dernière étape diffère, dans le cas du clonage thérapeutique, les cellules souches sont prélevées et servent aux recherches, dans le cas du clonage reproductif, l'embryon entier est implanté dans l'utérus d'une mère porteuse.
Le clonage reproductif vise à donner naissance à un individu génétiquement identique à un autre. Le clonage thérapeutique, encore à l'état de projet, consiste à cloner des cellules d'un patient et à utiliser celles de l'embryon résultant pour recréer des cellules, tissus ou organes pour soigner ce patient.
Une copie génétique d'un animal est produite en remplaçant le noyau d'un ovule non fécondé (cellule-œuf) par celui d'une cellule du corps (cellule somatique) de l'animal pour former un embryon. L'embryon est ensuite transféré dans l'utérus d'une mère porteuse, où il se développe alors jusqu'à la naissance.
Le Dr Ian Willmut et son équipe de l'Institut Roslin à Edinburgh annonçaient la naissance du premier mammifère cloné à partir de cellules adultes.
En Corée du Sud, l'équipe du professeur Hwang Woo-Suk est la première à cloner un embryon humain pour la recherche scientifique en février 2004. Ces résultats ont été partiellement contestés en décembre 2005 par une étude indépendante, une partie des résultats ayant été falsifiée.
Malformations, vieillissement et mort prématurés, utilisation de femmes comme cobayes et dérives mercantiles, le clonage d'un bébé humain comporte risques médicaux et éthiques, selon les spécialistes.
Par exemple, en France, la loi de 2004 interdit formellement le clonage thérapeutique. Le clonage thérapeutique est également interdit en Allemagne. En revanche, il est autorisé en Angleterre et en Belgique.
De plus à la naissance le clone développe souvent de nombreux problème immunitaires et cardiaques à la naissance l'espérance de vie d'un clone est donc limitée. Enfin le clonage pose des problèmes éthiques dans la mesure où le clone est souvent considéré comme un objet pour des expériences.
Pourquoi le clonage est une mauvaise chose ? Le clonage reproductif d'un humain est une mauvaise chose, car ce n'est pas naturel, de plus les clones ne seraient que des rats de laboratoire. Cependant le clonage thérapeutique d'un organe serait une bonne chose pour la médecine.
Le clonage dit non reproductif, encore appelé thérapeutique ou plutôt à visée thérapeutique, consiste à transférer le noyau d'une cellule somatique adulte dans un ovule énucléé avec pour objectif d'engendrer des cellules souches embryonnaires dont la culture in vitro pourrait fournir des lignées de cellules ...
Un clone est un individu génétiquement identique à un autre, mais c'est aussi un ensemble d'individus génétiquement identiques. Une bactérie qui réplique un morceau d'ADN fait du « clonage de gènes ». Les vrais jumeaux (« jumeaux monozygotes ») sont des clones naturels : ils sont génétiquement identiques.
Clonage naturel
Le clonage peut être naturel chez les plantes (fraisier, ail, etc.); il est dans ce cas le plus souvent appelé multiplication végétative. Il a lieu par émission de rejets, par marcottage naturel, par division naturelle de rhizomes ou de stolons, par création d'organes spécialisés bulbilles, etc.
Technique permettant d'obtenir en laboratoire des lignées de cellules ou des embryons à partir d'une cellule, sans qu'il y ait fécondation.
Le clonage est la reproduction à l'identique d'un individu. Chez les végétaux, les boutures sont des clones. Il est possible d'obtenir un individu entier à partir de fragments de tissus prélevés sur une plante.
Il est possible qu'on ne puisse jamais cloner un être humain, a-t-il ajouté. Il ressort en effet du clonage des animaux qu'il est très difficile d'arriver à un clone en bonne santé. Parmi les animaux qui naissent de cette façon, beaucoup sont malades et meurent prématurément.
Le clonage reproductif d'un humain est une mauvaise chose, car ce n'est pas naturel, de plus les clones ne seraient que des rats de laboratoire. Cependant le clonage thérapeutique d'un organe serait une bonne chose pour la médecine. Seulement, un clone humain entier serait une erreur, de plus ce serait très malsain.
Aucun être humain n'a encore été cloné, même si certaines personnes essaient d'y parvenir. Le premier mammifère cloné a été la brebis Dolly, morte au début de 2003. Depuis, on a créé des clones de moutons, de vaches, de lapins, de cochons… Quand on clone un animal, on en réalise une copie.
La limite scientifique se situerait plutôt dans l'âge des organes des clones : les clones ont en quelques sortes le « même âge » que leurs parents. Cela ne provoque pas le décès des animaux mais des douleurs intenses au niveau de certains organes et des articulations.
— L'utilisation du clonage pour reproduire des êtres humains «n'est pas acceptable sur le plan éthique car elle violerait certains des principes fondamentaux de la procréation médicalement assistée», selon le directeur général de l'Organisation mondiale de la santé, le Dr Hiroshi Nakajima.
STATUT SOCIAL. Le clonage reproductif humain remet en cause les notions-même de famille, d'hérédité, de paternité/maternité, de reproduction sexuée etc. En effet, un clone ne pourrait être considéré ni comme le fils, ni comme le frère de ce donneur, ni comme le donneur lui-même.
Définition : Ensemble de cellules de même patrimoine génétique, obtenu in vitro par mitoses successives, à partir d'une seule cellule somatique originelle. Note : Le patrimoine génétique d'un clone cellulaire est difficile à maintenir en raison des mutations qui l'affectent au fur et à mesure des divisions.
Les vrais sosies, les «monozygotes» –issus d'une même cellule oeuf– représenteraient 0,35% des naissances à l'échelle sur la planète. La probabilité de rencontrer un clone génétique de soi sans lien de parenté est infime, pour ne pas dire inexistante.
Les cellules souches se trouvent dans la moelle osseuse, le sang périphérique (sang circulant) et le sang du cordon ombilical.