Selon les grammairiens, la liste des compléments circonstanciels diffère, mais ceux qui sont le plus couramment représentés sont les compléments circonstanciels de temps, de lieu, de manière, de moyen, de cause, de conséquence, de but, d'accompagnement, de comparaison, d'opposition, de concession et de condition.
Les compléments circonstanciels de temps répondent aux questions : quand ?, combien de temps ? Ils peuvent donc préciser : une date, un moment précis ou une période précise : Je dois tout régler avant le 12 avril / avant son arrivée.
Pour reconnaître un complément circonstanciel, on pose les questions « quand ? », « pendant combien de temps ? », « où ? », « comment ? », « dans quel but ? », « pour quelle raison ? », etc.
Les compléments circonstanciels de manière répondent aux questions : comment ?, de quelle manière ? Ils indiquent donc la manière dont se déroule l'action : Tu parles trop vite.
Le complément circonstanciel de cause répond aux questions : « pourquoi, pour quelle cause ? » posées après le verbe. Il indique ce qui se passe d'abord. Observons : Pierre est puni à cause de son ami, à cause de Jean.
On le repère en se posant la question "au moyen de quoi", "à l'aide de quoi" ou "grâce à quoi". Exemple : Je travaille avec ma tablette. Le complément circonstanciel de manière (noté CCm) indique de quelle manière se fait une action. On le repère en se posant la question "de quelle manière" ou "comment".
Dans une phrase simple, le complément circonstanciel d'opposition ou de concession peut être un groupe nominal prépositionnel introduit par : "malgré", "en dépit de", "excepté", "avec", "sans". Émilie n'est pas partie en dépit des supplications de son mari.
🔷Complément circonstanciel de temps, CCT, qui répond à la question « quand ? » 🔷Complément circonstanciel de lieu, CCL, qui répond à la question « où ? » 🔷Complément circonstanciel de manière, CCM, qui répond à la question « comment ? »
Les compléments circonstanciels de cause répondent aux questions : pourquoi ?, à cause de quoi ? Ils indiquent donc la raison pour laquelle se déroule l'action : À cause de toi, j'ai tout perdu !
Le complément circonstanciel de temps (C.C.T.) répond aux questions « quand ?», « pendant combien de temps ? » posées après le verbe.
Les classes grammaticales des compléments circonstanciels
Le complément circonstanciel peut être : Un adverbe • Un groupe nominal • Un groupe prépositionnel : en forêt, dans le jardin, à minuit… Un verbe au gérondif (préposition en + verbe en -ant) : en sautant, en dansant…
Un complément circonstanciel de conséquence indique le résultat, l'effet d'une action. Ex : Jean est tellement malade qu'il est absent.
Complément circonstanciel
Ce groupe de mots complète le sens de la phrase et l'enrichit par une indication sur le moment : l'action a eu lieu le matin. Un complément circonstanciel peut être introduit par une préposition. Pendant trois jours, il a plu.
Le complément circonstanciel de conséquence (CC de conséquence) exprime le résultat d'une action. Il répond à la question « avec quel résultat ? ». Il est introduit par : à, pour, au point de, de manière à, si bien que … Il est souvent suivi d'un verbe à l'infinitif.
L'extension du champ d'application a pour effet de rendre une CCT applicable à tous les employeurs et tous les travailleurs d'une branche économique ou d'une profession, y compris ceux qui n'appartiennent à aucune organisation de travailleurs.
Les compléments circonstanciels (CC), aussi appelés compléments de phrase, sont des compléments de la phrase. Ils précisent les circonstances dans lesquelles se déroule l'action exprimée par le verbe.
→ L'opposition permet de confronter deux faits ou deux arguments indépendants, qui ne se contredisent pas ou dont l'un n'empêche pas l'autre. Exemple : Alors que tout le monde est levé, il dort encore. → La concession intervient entre deux idées étroitement liées et opposées, dont l'une devrait empêcher l'autre.
Notre discours est ponctué de relations logiques : on explique la cause ou la conséquence d'une action, on oppose une ou plusieurs idées tandis qu'on accepte d'en concéder certaines, on impose des conditions, on formule des comparaisons… Or, il existe différentes façons d'exprimer ces relations logiques.
Une proposition subordonnée circonstancielle est une proposition qui joue le rôle d'un complément circonstanciel. Elle constitue donc un groupe facultatif et peut être supprimée de la phrase. Je travaillerai [ pendant que tu dormiras ]. La subordonnée pendant que tu dormiras est c.
Le COD complète directement le verbe (transitif direct). Exemple : Zoé aime beaucoup les animaux. Le COI est relié au verbe (transitif indirect) par une préposition : les plus courantes sont à, de, en, sur. Exemple : Elle parle souvent de son chien.
Le complément d'objet direct (COD) permet de répondre à la question « sujet + verbe + qui / quoi ? ». Le complément d'objet indirect (COI) permet de répondre à la question « sujet + verbe + à / de / par / (autre préposition) + qui / quoi ? »
Le complément d'objet désigne l'objet, la personne ou la chose, sur lequel ou laquelle s'exerce l'action exprimée par le verbe. Il est indispensable au sens de la phrase. Il complète directement le verbe, sans préposition. Pour le reconnaître, on peut poser la question Quoi ?
Elles peuvent être conjonctives (introduites par que), interrogatives indirectes (introduites par un mot interrogatif) ou infinitives (sans mot subordonnant et avec un verbe à l'infinitif).