Il existe trois sortes de propositions subordonnées : – les propositions subordonnées complétives ; – les propositions subordonnées circonstancielles ; – les propositions subordonnées relatives.
de distinguer 3 types de phrases complexes : juxtaposées, coordonnées et subordonnées ; de transformer une phrase simple en phrase complexe à l'aide d'un mot lien donné.
Proposition indépendante : Elle ne dépend d'aucune autre proposition et aucune ne dépend d'elle. Proposition principale : Une autre proposition dépend d'elle. Ex : Je mange parce que j'ai faim. Propositionsubordonnée : Elle dépend d'une autre proposition.
A, après, avant, avex, chez, concernant, contre, dans, de depuis, derrière, dès, devant, durant, en, entre, envers, hormis hors, jusque, malgré, moyennant, nonobstant, outre, par, parmi pendant, pour, près, sans, sauf, selon, sous, suivant, sur, touchant, vers, via.
Une proposition est un groupe de mots ayant pour noyau un verbe dont le sujet est exprimé ou sous-entendu. Une phrase contient donc autant de propositions que de verbes dont le sujet est exprimé ou sous-entendu. Si une phrase ne contient qu'une seule proposition, il s'agit d'une phrase simple.
Quand deux propositions (ou phrases) sont coordonnées, elles sont reliées par une conjonction de coordination ou un adverbe de liaison : adverbe de liaison : en effet, puis, aussi, alors, par conséquent, enfin, cependant... conjonction de coordination : mais, où, et, donc, or, ni, car.
- Lorsqu'il y en a plusieurs dans une phrase, elles sont juxtaposées si elles ne sont pas reliées par un mot de liaison. - Elles sont coordonnées lorsqu'un mot de liaison les relie. Il s'agit la plupart du temps d'une conjonction de coordination : mais, ou, est, donc, or, ni, car.
Une phrase complexe est composée de plusieurs phrases simples. Elle exprime donc plusieurs idées et indique clairement les liens qui les unissent. Pour former une phrase complexe, deux phrases simples peuvent être liées par une conjonction. Ex. : Les enfants jouaient dans le jardin et ils riaient aux éclats.
- délimite les propositions par des crochets [ … ] - donne en dessous de chaque proposition, sa nature : dis si c'est une proposition indépendante, principale ou subordonnée. - indique comment elles sont associées : dis si c'est par un lien de juxtaposition, de coordination ou de subordination.
Les propositions indépendantes fonctionnent en autonomie, et ne dépendent donc d'aucune autre proposition, c'est-à-dire qu'elles ont un sens même si l'on ne lit pas le reste de la phrase. Il en existe deux types : la juxtaposition et la coordination.
Par juxtaposition
Les propositions sont séparées par un signe de ponctuation dit « faible », c'est-à-dire une virgule, un point-virgule ou deux-points : Viens m'aider, j'ai besoin de toi. Je ne me souviens pas d'elle ; je ne pense pas l'avoir rencontrée. Les bateaux ne sortent pas : la mer est trop mauvaise.
Si la phrase ne contient qu'une seule proposition, elle est simple. Si elle comprend plusieurs propositions, mais indépendantes, elle est composée. Une phrase complexe comprend plusieurs propositions, dont au moins une subordonnée.
Exemple : Les deux phrases simples « Tu habites dans une maison. Cette maison est une ancienne ferme. » deviennent la phrase complexe « Tu habites dans une maison qui est une ancienne ferme. ».
Deux propositions indépendantes sont juxtaposées quand elles ne sont pas reliées par un mot de liaison. Elles sont juste séparées par une virgule ou un point virgule. Par exemple : Alma m'a expliqué; je sais comment rapper, tu fais des phrases ponctuées pour la fluidité...
Re: Les propositions coordonnées et subordonnées.
Ces phrases sont toutes les deux des phrases complexes qui expriment la cause mais de deux façons différentes, l'une par la coordination, l'autre par la subordination (il s'agit d'une subordonnée conjonctive circonstancielle de cause).
Une proposition subordonnée relative est introduite par un pronom relatif simple : qui, que, quoi, dont, où, ou composé : lequel, auquel, duquel… Le chat [que l'on m'a donné] est un bon chasseur de souris. Elle complète un nom ou un pronom appelé antécédent et dont elle est une expansion.
Proposition subordonnée complétive conjonctive. Une proposition subordonnée complétive conjonctive est un type de proposition subordonnée introduite : soit par la conjonction de subordination « que » soit par les locutions conjonctives, « ce que », « à ce que, de ce que », quelquefois « en ce que » ou « sur ce que ».
Une proposition infinitive se compose d'un infinitif ayant un sujet propre, qui peut être un nom (différent du sujet de la principale) ou un pronom (« je le vois rire »).
Elle est constituée d'autant de propositions qu'il y a de verbes conjugués. Ces propositions peuvent être reliées de différentes manières : la juxtaposition, la coordination et la subordination. La subordination est le moyen de relier deux propositions entre elles en établissant un lien de dépendance.
Pour découper le texte en propositions, il faut s'aider du sens de la phrase. Une proposition est composée d'un verbe conjugué et de tous les mots qui y sont rattachés. Dans la phrase "Je suis déçu, j'ai perdu mes billes alors que la récréation n'était pas terminée", il y a trois propositions : "Je suis déçu,"
La proposition relative est une subordonnée introduite par un pronom relatif (qui, que, quoi, dont, où, lequel, quiconque). a) C'est le bureau dans lequel il a toujours travaillé. b) Vous compléterez le dossier que vous avez reçu. c) Je l'aperçois qui arrive en toute hâte.
« Mais », « ou », « et », « donc », « or », « ni », « car » : voilà quelles sont, en langue française, les conjonctions de coordination. Invariables, elles font partie des coordonnants et ont pour fonction d'unir deux éléments de même fonction syntaxique (c'est-à-dire ayant le même rôle dans la phrase).