Une consommation à long terme entraîne de sérieux troubles psychiques, une grande instabilité d'humeur et des délires paranoïdes, des attaques de panique et de sévères dépressions.
Les effets, les risques et les dangers des drogues varient suivant les substances et l'usage qu'on en fait. Risques psychiques : – Difficultés de concentration, – Troubles de la mémoire, – Déformation de la perception de la réalité, – Nervosité, agressivité, – Anxiété, dépression, – Risque de suicide.
À fortes doses, la drogue peut aussi occasionner des maladies mentales, telles que la schizophrénie, la paranoïa et la psychose. Elle rend aussi les personnes qui en consomment plus agressives, en plus de détruire un nombre considérable de neurones dans leur cerveau. La drogue peut causer la mort lors de surdose.
En général, ces drogues causent de la désorientation (difficulté à se situer dans l'espace ou le temps). De plus, elles modifient le fonctionnement des sens (par exemple, la vue, le toucher), ce qui déforme les perceptions.
Parfois, les comprimé d'ecstasy peuvent contenir d'autres drogues et substances. Effets: Sous l'influence de l'ecstasy, on peut se sentir plus alerte et plus en harmonie avec son environnement. On se sent heureux, calme et l'on éprouve des sentiments chaleureux envers les autres.
Une autre drogue, la phencyclidine (PCP), appelée « angel dust » ou « poudre d'ange », puissante substance hallucinogène, a aussi la réputation de conduire à des actes auto ou hétéro-agressifs qui peuvent être d'une extrême violence.
Le classement final (méfaits cumulés) est : 1) alcool ; 2) héroïne et 3) cocaïne crack. Le tabac se trouve à la sixième place, le cannabis à la huitième.
Effets du cannabis sur la santé: fumer un joint par jour pendant 20 ans n'endommagerait pas les poumons. SANTE - Fumer un joint par jour pendant 20 ans ne causerait rien de dommageable aux poumons, contrairement au tabac.
La désomorphine ou drogue "crocodile" : ce produit de synthèse qui abîme la peau. La drogue "crocodile" (ou "krokodil") est considérée comme "la drogue la plus dangereuse au monde" : elle réduit l'espérance de vie de ses consommateurs à trois ans.
La consommation de MDMA est souvent associée un effort physique prolongé comme la danse dans les milieux festifs. C'est pourquoi il est très important de bien penser à s'hydrater régulièrement en buvant de l'eau et en gardant une bouteille avec soi, même si la sensation de soif n'est pas présente.
L'héroïne
L'étude de Nutt démontre que l'héroïne est la drogue la plus addictive de toutes, avec un score maximal de 3/3. Il s'agit d'un opiacé qui entraîne une augmentation de 200 % du niveau de dopamine dans le système de récompense du cerveau comme l'ont prouvé les expériences menées sur des animaux de laboratoire.
Dépendance psychologique
Excepté les opiacés, famille de drogues dont fait partie l'héroïne, le sevrage de drogues est plus difficile sur le plan psychologique, puisque c'est à ce niveau que l'addiction se crée.
L'alcool se range dans la catégorie des drogues les plus dangereuses, avec l'héroïne et la cocaïne. Le tabac se situe quant à lui à des niveaux intermédiaires, et le cannabis fait partie des drogues les moins dangereuses.
Le sentiment d'euphorie produit par l'héroïne peut être accompagné de rougeurs de la peau et de démangeaisons, ainsi que d'une bouche sèche, d'yeux larmoyants et d'une rhinorrhée. Les héroïnomanes ont souvent la peau sèche, facilement irritée et prurigineuse.
Une prise en charge globale est essentielle, la consommation de drogue n'étant jamais un problème isolé dans la vie d'une personne. Prendre appui sur votre entourage peut être précieux. L'associer à votre décision peut vous aider à ne pas affronter seul les nombreux changements occasionnés par l'arrêt.
L'anxiété, les problèmes relationnels, les traumatismes du passé et le mal-être ressenti sont souvent à l'origine de ces usages. Ces consommations sont propices à ce qu'une dépendance s'installe et que la situation de l'usager se dégrade.
Les signes de manque apparaissent le plus souvent dès l'arrêt, leur intensité est maximale pendant les trois premiers jours, ils diminuent ensuite pendant trois semaines en moyenne et disparaissent généralement après 6 à 8 semaines en fonction de l'importance de votre dépendance.
Le toxicomane va se débrouiller pour trouver le désir et le plaisir dans un objet qui reste totalement contrôlable et à sa merci : ainsi croit-il qu'il n'en dépendra pas puisqu'il le contrôle : l'objet inerte, non désirant, sera la drogue. Le toxicomane se pense donc auto-suffisant avec son produit.
La vie doit continuer. Il est primordial de vous recentrer sur vous-même et de vous extraire de la problématique de dépendance. Mentionnez-lui votre impuissance, votre frustration et toutes les émotions qui vous grugent de l'intérieur.
Quand il est consommé de manière récréative, en particulier avec de l'alcool ou d'autres drogues, il peut être extrêmement dangereux. Le GHB est un dépresseur du système nerveux central, c'est-à-dire qu'il a un effet sédatif et qu'il ralentit la respiration et le rythme cardiaque.
La cocaïne peut également nuire directement aux reins en réduisant la quantité d'une molécule antioxydante importante appelée glutathion.
Les addictions les plus fréquentes sont celles relatives aux substances psychoactives réglementées (tabac, alcool...), détournées de leur usage (médicaments, poppers, colles, solvants…) ou illicites (cannabis, cocaïne, ecstasy...).
La dépendance à la cocaïne peut s'installer rapidement, seulement après quelques consommations. Elle ne dépend pas de la quantité ou de la qualité du produit, mais plutôt de l'état du consommateur, de son environnement et des effets qu'il ressent lorsqu'il consomme.