perte d'appétit, fatigue, nausées, fièvre, léthargie) puisque votre corps a besoin de temps pour recommencer à produire du cortisol. Dans de très rares cas, l'arrêt subit d'un traitement de prednisone peut causer une crise surrénalienne, une affection grave qui requiert des soins médicaux immédiats.
En raison de cet effet secondaire, ils sont utilisés avec une grande précaution en cas d'infection. L'administration par voie orale et intraveineuse peut entraîner une hypertension artérielle, une insuffisance cardiaque, un diabète, des ulcères peptiques et une ostéoporose, ou aggraver ces affections.
Les effets indésirables les plus fréquents de ce traitement sont l'apparition de bleus, l'élévation de la tension artérielle, la rétention d'eau et de sel pouvant entraîner une insuffisance cardiaque, des troubles de l'humeur et/ou du sommeil, une prise de poids, un gonflement et une rougeur du visage, une poussée ...
L'action anti-inflammatoire de la cortisone se diffuse pendant une quinzaine de jours.
– Éviter les aliments salés : charcuteries, fromages, conserves de poissons (sardine, thon…), plats cuisinés, biscuits apéritifs, bouillon de cube, fonds de sauce, olives… – Attention à certaines eaux gazeuses riches en sel : la quantité de sodium pouvant aller jusqu'à plus de 1 500 mg par litre.
Augmenter les aliments riches en Potassium, pour limiter la rétention d'eau : Bananes, figues, abricots secs, autres fruits secs et graines oléagineuses, légumes-racines.
La pratique du sport est très efficace dans le processus d'élimination de la cortisone du corps. En effet, lorsque vous faites des exercices physiques quels qu'ils soient, vous transpirez. Cette transpiration est un excellent moyen pour évacuer les déchets se trouvant dans votre corps.
La prednisone est un stéroïde utilisé dans le traitement des formes d'arthrite de type inflammatoire, comme la polyarthrite rhumatoïde, l'arthrite psoriasique, le lupus et la pseudopolyarthrite rhizomélique. La prednisone n'est pas recommandée dans la prise en charge de l'arthrose.
Sur un traitement à long terme (au moins 5 semaines), une alimentation équilibrée, limitée en sel et en glucides est donc indispensable. Et pour éviter les reflux gastriques accrus par la prise de cet anti-inflammatoire, il faut aussi limiter les aliments acides, le thé, le café, les boissons gazeuses.
un anticoagulant ; de l'aspirine ou un AINS ; un médicament contenant de la carbamazépine, du phénobarbital, de la phénytoïne, de la primidone, de la rifampicine, de la ciclosporine, de l'interféron alfa ou de l'isoniazide.
une action régulatrice du glucose sanguin, qui permet de prévenir la survenue d'un diabète ; cette hormone est aussi celle de l'éveil et du stress, elle nous permet d'avoir l'énergie nécessaire particulièrement le matin ; enfin, elle permet la dégradation des protéines et des graisses dans les tissus.
Toute personne ayant un jour pris de la cortisone (cortisol de synthèse anti-inflammatoire) a constaté que cette molécule fait gonfler. C'est la même chose avec le cortisol naturel. Le gros défaut du cortisol qui nous intéresse ici, c'est qu'il favorise la rétention hydro-sodée et la fabrication de graisse abdominale.
Effets indésirables ophtalmologiques
Description : les corticoïdes augmentent le risque de glaucome (=augmentation de la pression dans l'œil) et de cataracte.
Non, ce n'est pas un effet direct du médicament.
Après un traitement de longue durée par la prednisone, l'abandon soudain du médicament peut entraîner des symptômes de sevrage cortisonique, entre autres des nausées, de la fatigue, une perte d'appétit, une fièvre, des douleurs musculaires ou articulaires, et un malaise généralisé.
L'insomnie est un effet secondaire fréquent des corticoïdes, mais pas systématique. Les effets secondaires dépendent de la dose et de la durée du traitement.
Au cours des maladies inflammatoires graves, la posologie varie de 0,75 à 1,2 mg/kg/jour. A titre indicatif : 2 à 4 comprimés par jour pour un adulte de 60 kg. Des situations très exceptionnelles peuvent requérir des doses plus élevées. La posologie doit être adaptée à l'affection et au poids de l'enfant.
Syndrome de sevrage aux stéroïdes Léthargie, dépression, anorexie, nausées, myalgies et arthralgies.
Une prescription courte de corticoïdes ne pose pas de problème de prise de poids.
Envisager un sevrage particulièrement lors des situations suivantes: traitement de l'herbe à puces, traitement pour une maladie auto-immune, patient très malade ou à l'état fragile, traitement d'une récidive pour un patient déjà sous corticothérapie, patient avec symptômes cushingoïdes.
Il est utilisé dans le traitement de certaines maladies graves (cancer, sclérose en plaques, rhumatisme articulaire aigu par exemple), mais également de maladies plus bénignes (allergie, crise d'asthme, sinusite aiguë, otite). Dans ces derniers cas, le traitement est souvent court.
Le gonflement du visage est lié à une modification de la répartition des graisses. Il n'existe malheureusement pas de mesure pour lutter contre cette conséquence heureusement rare, observée pour des doses importantes. L'hypertension artérielle et les œdèmes des jambes peuvent être diminuées par un régime pauvre en sel.
Car, les IEC vont accélérer l'accumulation de la bradykinine. Or la bradykinine contribue fortement aux actions des IEC puisqu'elle est fabriquée grâce aux enzymes. Ce qui va donc générer une accumulation du peptide ou substance P et des œdèmes. Gonflant ainsi le visage.
Par ailleurs, les corticoïdes induisent fréquemment des crampes, notamment en début de traitement. Cet effet indésirable est moins connu des médecins mais est bien connu des patients. Ces crampes sont souvent nocturnes et touchent souvent les mains et les pieds.