Il peut être également introduit par les locutions prépositives grâce à, à cause de, faute de, à force de, étant donné, vu, compte tenu de, par suite de, sous prétexte de (si la cause invoquée est fausse).
1 LA SUBORDONNÉE CIRCONSTANCIELLE DE CAUSE
Subordonnants : comme, du moment que, d'autant plus que, parce que, puisque, sous pré- texte que, etc.
Les adverbes et locutions adverbiales "c'est pourquoi", "à cause de cela", "c'est pour cela", "aussi", "ainsi", "par conséquent", "en conséquence", et la conjonction de coordination "donc" introduisent l'expression de la conséquence.
Les conjonctions de subordinations des causes se composent de quinze conjonctions, ce sont : comme, parce que, puisque, étant donné que, vu que, du fait que, du moment que, dès lors que, attendu que, d'autant que, surtout que, sous prétexte que, ce n'est pas que, non que, et soit que… soit que.
La cause est la raison d'un fait, on la trouve souvent derrière « car », « à cause de », « parce que », etc. La conséquence est le résultat d'une cause, on la trouve souvent derrière « donc », « par conséquent », « si bien que », etc.
Pour la cause, on a le terme « parce que », qui est une conjonction de subordination qui introduit une proposition subordonnée de cause.
Pour exprimer la cause, on peut également utiliser des expressions telles que « par » et « en raison de ». Pour la conséquence, l'expression « jusqu'à » est courante, tandis que pour le but, on utilise « en vue de » ou « afin de » suivis d'un verbe à l'infinitif ou d'un nom.
Pour exprimer une cause, une raison, une motivation, on utilise « pour » ou « parce que/qu' ».
« La différence entre une raison et une cause peut être explicitée de la façon suivante : la recherche d'une raison entraîne comme une partie essentielle l'accord de l'intéressé avec elle, alors que la recherche d'une cause est menée expérimentalement ».
« Mais », « ou », « et », « donc », « or », « ni », « car » : voilà quelles sont, en langue française, les conjonctions de coordination.
Quand comme exprime : la cause, tu peux le remplacer par parce que ; le temps, tu peux le remplacer par lorsque ou quand ;`
L'expression à cause de, qui signifie « en raison de, en considération de, par la faute de », implique généralement l'idée d'un résultat fâcheux, même si elle peut aussi avoir le sens plus neutre de « du fait de ». Plusieurs automobilistes ont eu peur à cause de la chaussée glissante.
Pour faire une mise en relief, on peut utiliser la structure suivante : C'est + [ mot/groupe de mots sur lequel on insiste ] + pronom relatif … Exemple : Paul achètera une baguette au supermarché demain.
Elles peuvent être conjonctives (introduites par que), interrogatives indirectes (introduites par un mot interrogatif) ou infinitives (sans mot subordonnant et avec un verbe à l'infinitif).
Une proposition subordonnée conjonctive circonstancielle de cause est introduite par une conjonction de subordination exprimant la cause et est complément circonstanciel de cause de la proposition principale. Les feuilles tombent parce que l'automne arrive.
Pour exprimer un but à éviter à l'écrit dans un langage soutenu, tu peux utiliser les prépositions de peur de, de crainte de, de peur que ou de crainte que. Par exemple : Laura ne mange pas beaucoup de peur de prendre du poids.
Dans le domaine militaire, la "butte" était un tas de terre sur lequel devait être placé le canon. Le "blanc" quant à lui désignait la cible à atteindre. "De but en blanc" signifiait donc qu'il fallait tirer d'après la trajectoire qui serait la plus courte.
Synonyme : agent, explication, facteur, fondement, germe, mobile, moteur, motif, origine, raison, source, sujet. – Littéraire : principe, ressort.
Une cause présente la raison de quelque chose, c'est un élément qui en produit un autre, c'est un fait qui en entraîne un autre, etc. Une conséquence explique ce qui arrive (l'effet), c'est le résultat de quelque chose (les répercussions).
Exprimer une opposition, c'est évoquer un fait dont la réalisation est contraire à un autre fait. Pour s'opposer, on emploie souvent un complément circonstanciel d'opposition. Il peut s'agir : d'une proposition subordonnée conjonctive introduite par bien que, quoique, alors que, tandis que, quand bien même, etc.
La subordonnée conjonctive circonstancielle de cause est introduite par les conjonctions parce que, puisque, comme, vu que, sous prétexte que, etc. Il est arrivé en retard parce que sa voiture est tombée en panne. Il est arrivé en retard sous prétexte que sa voiture est tombée en panne.