Les fonctions motrices désignent les différentes structures qui participent à la mise en mouvement d'une partie du corps ainsi qu'au contrôle et à la régulation de ce mouvement. Les fonctions motrices sont à la fois nerveuses (moelle épinière, cortex cérébral et cervelet), musculaires et tendineuses.
Résumé Le chapitre « Fonctions motrices » traite de l'ensemble des structures, réseaux et voies qui interviennent dans le contrôle et la régulation du mouvement et/ou de la locomotion. Ainsi sont impliqués les grands secteurs à compétence motrice : cortex, sous-cortex, cervelet et moelle épinière.
La motricité volontaire dépend du faisceau pyramidal qui représente la liaison directe entre le cortex cérébral moteur et les motoneu- rones se trouvant dans le tronc cérébral (premier motoneurone) et dans la moelle épinière (deuxième motoneurone).
Le cortex moteur
Le contrôle des mouvements volontaires des différentes parties de notre corps y revient au « cortex moteur », situé dans le lobe frontal.
Il est constitué de trois parties principales: Le cerveau proprement dit remplit une très grande partie de la boîte crânienne. Il contrôle la mémoire, la résolution de problèmes, la pensée, les sensations ainsi que les mouvements.
Motricité fine à la naissance : le réflexe d'agrippement ou grasping. Motricité fine à 1 mois : premiers mouvements désordonnés. Motricité fine à 3 mois : la préhension au contact. Motricité fine à 4 mois : le début de la préhension volontaire.
Pleins d'idées pour développer la motricité fine :
Faire une grosse boule de pâte à modeler, la garder dans la main et l'écraser simultanément avec tous les doigts. Tordre des éponges à une main ou à deux mains. Faire avancer des boules de ouates en les soufflant avec une poire à jus, pompée avec les doigts.
Les exemples abondent : au basket, c'est mettre la balle dans le panier ; en natation, en athlétisme, en aviron, c'est aller le plus vite possible ; au football, c'est être précis dans les passes ou dans les tirs ; en danse classique, c'est reproduire fidèlement une forme gestuelle.
QUELLES QUALITES DEVELOPPER ? Au cours de sa formation, le sportif qu'il soit footballeur ou tennisman devra acquérir les qualités physiques suivantes : l'endurance, la résistance, la force, la vitesse, la souplesse et la capacité de coordination. L'important est de savoir quand il faut développer ces qualités.
Définition "force motrice"
Action de propulser, de pousser en avant, de mettre en mouvement. Propulsion mécanique.
5 fonctions vitales, sang, cœur, poumons, reins et tube digestif pour 5 disciplines : Hématologie ; Cardiologie ; Pneumologie ; Néphrologie et urologie ; Gastro-entérologie. Pour chacune d'entre elles, l'ouvrage répond aux questions essentielles : Pour chaque appareil, quel est son rôle au sein de notre organisme ?
Pourquoi développer la motricité fine ? Dès le plus jeune âge, la motricité fine chez l'enfant va lui permettre de : Découvrir son corps, ses sens et ses fonctions. Participer aux activités de la vie quotidienne.
La motricité globale permet d'offrir à l'enfant une expérience psychomotrice diversifiée, qui est à la base de tous les apprentissages subséquents essentiels à son développement global (moteur, intellectuel, social et affectif).
Le principal objectif de la motricité libre est de permettre à l'enfant de développer seul ses capacités motrices, il expérimente de nouvelles positions et peut ainsi identifier et tester les limites de son corps. Cela lui permet de progresser à son rythme, en prenant confiance en lui.
La gymnastique, pour l'équilibre
En multipliant les divers sauts et déplacements latéraux, la gymnastique est un bon moyen de développer la motricité des enfants.
porter bébé le plus souvent possible à la maison ; bercer votre enfant dès qu'il en ressent le besoin ; poser le sur le dos pour qu'il joue avec son corps ; éviter de le mettre trop longtemps dans un transat, un siège-auto ou un Youpala.
Le cerveau est l'organe le plus complexe du corps et il est impossible de le remplacer lorsqu'il subit des dommages. Avec des milliards de cellules nerveuses, le cerveau permet de contrôler à peu près toutes les fonctions corporelles.
L'encéphale représente la partie majeure du cerveau humain et est associé à des fonctions supérieures comme le contrôle des comportements volontaires. Penser, percevoir, planifier, et comprendre un langage, toutes ces fonctions sont sous le contrôle des hémisphères cérébraux.
Le tronc cérébral est le centre de commande des mouvements involontaires. C'est lui qui reçoit les informations des nerfs sensitifs, les traite et qui envoie des signaux aux différents muscles du corps par les nerfs moteurs.