L'évaluation de l'impact environnemental de la croissance est délicate, notamment parce que cet impact est multidimensionnel : émissions de gaz à effet de serre (principaux responsables du réchauffement climatique), épuisement des ressources naturelles non renouvelables (pétrole, gaz et autres), épuisement par ...
Bien que l'intensification de la production alimentaire ait jusqu'ici suivi le rythme de croissance de la population, elle a conduit à des coûts importants en termes de dégradation des terres, de pollution par les engrais et les pesticides, et de surexploitation des réserves d'eau.
La croissance du PIB s'accompagne de la hausse d'émissions de gaz à effet de serre (GES), et plus généralement de celle de la pression sur les ressources et sur les pollutions[1].
Certaines conséquences de la croissance économique comme la pollution et les atteintes à l'environnement, l'accentuation des inégalités sociales ou l'épuisement des ressources naturelles (pétrole, métaux notamment) sont souvent considérés comme des effets pervers qui obligent à distinguer croissance et progrès.
La croissance engendre également de dégâts environnementaux. Elle est source de nombreuses externalités négatives : l'utilisation d'énergies fossiles entraîne des émissions croissantes de gaz à effet de serre (GES) à l'origine de la pollution de l'air et du réchauffement climatique.
La croissance économique présente des aspects positifs quant aux problèmes du chômage et de la pauvreté. Elle permet en effet, par le biais de la productivité, d'accroître les quantités de bien et services disponibles et réduire les inégalités. Le développement peut à son tour favoriser la croissance.
En général, les activités humaines ont des répercussions sur l'environnement lorsque : elles produisent des rejets (émission de polluants, eaux usées, production de déchets, etc.); elles modifient (dégradent) le sol et l'habitat; elles utilisent et font disparaître les ressources.
acidification de l'air ; formation d'ozone troposphérique ; appauvrissement de la couche d'ozone ; particules et effets respiratoires des substances inorganiques.
souterraines, émission de gaz à effet de serre, production de déchets ménagers, diffusion des produits chimiques, pollution atmosphérique due aux particules fines, érosion des terres, production de déchets radioactifs, sont tous en augmentation constante depuis 1980.
La croissance se heurte à des limites sociales (les inégalités) et écologiques (les externalités négatives, les gaz à effets de serre, l'épuisement des ressources naturelles). Une externalité est un effet non voulu de la production.
La croissance économique se heurte à des limites écologiques telles que l'épuisement des ressources, l'augmentation des gaz à effet de serre, etc. La prise en compte de ces limites aboutit à la notion de développement durable.
La croissance économique a des conséquences négatives sur l'environnement. Elle est responsable de l'augmentation de la pollution et des risques d'épuisement du capital naturel (car les ressources sont non-renouvelable ou que l'utilisation intensive de ces ressources ne permet pas leur renouvellement).
Les liens entre croissance économique et qualité de l'environnement se concentrent en fait sur cinq éléments: (i) le degré de substituabilité entre actifs naturels et actifs artificiels, (ii) la prise en compte du changement dans les technologies et le capital humain, (iii) le commerce international des ressources ...
La croissance modifie partiellement des conditions de vie en modifiant l'environnement économique. D'une part, les gains de productivité permettent, sur une longue période, de réduire la durée du travail. D'autre part, l'augmentation du revenu réel des parents permet l'augmentation de la durée des études des enfants.
Ces pollutions ont plusieurs conséquences écologiques. Elles altèrent les milieux et affectent les espèces qui y sont exposées. La modification des milieux entraîne l'apparition ou la disparition d'espèces, ce qui a souvent pour conséquence l'appauvrissement de la biodiversité du milieu touché.
En effet, toute croissance du PIB n'entraîne pas forcément de développement ; de plus certains auteurs (notamment « tiers-mondistes ») montrent que la croissance ne se traduit pas, dans les pays du Sud, par des progrès sociaux ou économiques, mais par un dualisme de l'économie, une monopolisation des richesses créées ...
Le progrès technique a pour effet de substituer du capital au travail et entraîne une destruction d'emplois. Dès lors, une part plus importante des gains de productivité obtenus grâce aux innovations rémunère la propriété du capital au détriment des salaires, augmentant ainsi les inégalités de revenus.
Or la croissance économique, dans sa forme actuelle, nuit à l'environnement : elle épuise le capital naturel en détruisant des ressources non renouvelables comme les matières premières, les sources d'énergie. Elle dégrade les écosystèmes, appauvrit la biodiversité et perturbe le climat.
Utilisation d'énergies renouvelables, innovations techniques pour consommer moins, recycler les déchets, ne plus polluer… l'économie qui prend soin de l'environnement est un nouveau modèle qui permet de répondre aux besoins de tous les humains dans l'immédiat, et tout en assurant l'avenir. C'est la green economy.
Qu'est-ce que l'impact négatif sur l'environnement ? Les impacts environnementaux négatifs sont les altérations de l'environnement qui nuisent à la fois à l'environnement naturel et à la santé humaine.
Selon une étude du WWF, le sucre est l'une des cultures les plus nocives pour la planète. En détruisant des habitats riches en vie animale, végétale et en insectes, le sucre serait la plantation qui détruit le plus de biodiversité dans le monde.
Déforestation : la surexploitation de l'industrie du bois, ainsi que les incendies visant à détruire des territoires pour les utiliser ensuite pour l'agriculture ou l'élevage extensif sont les principaux problèmes à l'origine de la déforestation.
L'extension des surfaces agricoles (par déforestation, assèchement de zones humides, etc.) détruit les écosystèmes. L'utilisation d'engins motorisés très lourds détruit la structure du sol. Les engrais et les pesticides non naturels polluent l'eau et le sol.
Les activités humaines fragilisent le sol : appauvrissement de la biodiversité, destruction de la matière organique, contamination, imperméabilisation, érosion, tassement, salinisation etc.