La spéciation résulte de la dérive génétique et de la sélection naturelle, qui sont les deux moteurs de l'évolution.
Les principaux moteurs ou facteurs de l'évolution (appelés aussi forces évolutives ou forces sélectives) sont, au niveau individuel, les mutations ponctuelles et les recombinaisons génétiques soumises au filtre de la sélection naturelle, et au niveau des populations, les flux et la dérive génétique.
La dérive génétique et la sélection naturelle sont deux mécanismes évolutifs. Au sein d'une espèce, tous les individus possèdent les mêmes gènes mais leur combinaison d'allèles est unique. Ceci est à l'origine de la diversité génétique.
La théorie de l'évolution suggère que toutes les espèces vivantes sont en perpétuelle transformation et subissent au fil du temps et des générations des modifications morphologiques comme génétiques. Ce concept a été présenté par Charles Darwin dans son ouvrage L'origine des espèces publié le 24 novembre 1859.
Au sens strict, l'évolutionnisme est un ensemble de théories élaborées dans la seconde moitié du XIX e siècle par les fondateurs de l'anthropologie dont Lewis Henry Morgan, Edward Tylor, Herbert Spencer et James George Frazer.
Sur son aire de répartition une espèce est généralement divisée en sous populations dans lesquelles les individus se reproduisent facilement entre eux. Les différentes sous-populations ne sont pas isolées car des individus peuvent passer de l'une à l'autre en assurant des croisements.
L'évolution, un processus par lequel les espèces se transforment. Ce sont les mécanismes par lesquels les populations varient, les espèces se transforment, naissent, s'adaptent.
On la définit comme le mécanisme qui fait que les individus d'une espèce présentant les caractères les plus avantageux pour survivre dans un environnement, seront ceux qui vont plus facilement se reproduire.
Les économistes divisent traditionnellement les facteurs de production en quatre catégories : la terre, le travail, le capital et l'entrepreneuriat.
On distingue parfois deux formes de croissance : la croissance extensive est proportionnelle à l'augmentation des quantités des facteurs de production alors que la croissance intensive est liée à l'augmentation de la productivité du travail et/ou du capital.
La théorie de Darwin est une partie d'une théorie scientifique, celle de l'évolution des espèces. Selon lui, les espèces animales et végétales ont dû changer pour survivre, elles ont dû s'adapter aux variations de leur environnement.
SPÉCIATION, subst. fém. BIOL. ,,Formation, au cours de l'évolution biologique, d'espèces distinctes, génétiquement isolées les unes par rapport aux autres`` (L'Hér.
La biodiversité passée s'étudie grâce aux fossiles. On constate ainsi de grands changements de biodiversité particulièrement au moment de crises biologiques comme la crise Crétacé-Paléogène. La crise de biodiversité actuelle repose sur la diminution rapide du nombre d'espèces dans différents écosystèmes.
Dérive génétique : processus par lequel les fréquences alléliques changent dans les populations à cause de biais aléatoires d'échantillonnage dans la transmission des allèles d'une génération à l'autre.
La grande théorie de Charles Darwin, "L'Origine des espèces", est parue il y a tout juste 160 ans. L'oeuvre est considérée comme la pièce maîtresse qui articule la biologie et, évolution après évolution, elle résiste au temps : décryptage du darwinisme et de ce que l'on a appris depuis.
Darwin, le père de l'évolutionnisme.
Il s'agit de Jean-Baptiste de Lamarck (1744-1829). Il naît à Bazentin (Somme) dans une famille picarde peu fortunée.
Les Innovations évolutives évoquées lors du chapitre précédent, sont liées à : - La création de nouveaux allèles par mutations ponctuelles, - La création de nouveaux gènes par duplication d'un gène ancestral/transposition de la copie du gène ancestral par mutations ponctuelles.
ne participe qu'à la reproduction de l'espèce. La communication intraspécifique est la transmission d'un message entre un organisme émetteur et un organisme récepteur appartenant à une même espèce. Elle présente des modalités variées (chimique, sonore, visuelle…).
L'émergence d'une espèce suppose qu'un isolement reproducteur se soit installé dans des populations auparavant interfécondes. Le processus le plus simple est celui provoqué par l'installation d'une barrière géographique.
L'évolutionnisme paraît pencher plutôt du côté du matérialisme, tout provenant par évolution d'un donné matériel homogène initial. En réalité, il est très ambigu. Il ne présuppose aucune forme, mais peut difficilement se passer d'une finalité interne.
ÉVOLUTIONNISME, subst. masc. Doctrine philosophique selon laquelle tout le monde réel et, notamment, les sociétés se développent selon une loi d'évolution; théorie biologique de l'évolution (synon. transformisme).
Doctrine ou théorie explicative de l'évolution des espèces au cours des âges. (S'oppose au fixisme.) 2. Doctrine anthropologique et sociologique qui considère que toute culture est le résultat d'un processus constant d'évolution.