Son objectif est double : assurer la protection, la sauvegarde du patrimoine et la qualité de l'information ; assurer la conformité par rapport aux lois et aux règlements ; et également d'assurer l'application des instructions de la direction en vue d'améliorer les performances de l'entreprise.
La gouvernance est quant à elle la partie la plus complexe et la plus ramifiée des systèmes de contrôle interne. Dans l'idéal, les mesures doivent se dérouler de façon automatique.
composant le système de contrôle interne. Le cadre COSO indique : « Pour atteindre ses objectifs, l'organisation peut s'appuyer sur cinq composantes du contrôle interne, à savoir : L'environnement de contrôle, l'évaluation des risques, les activités de contrôle, l'information et la communication et Le pilotage.
Le reporting est présenté par le responsable d'une entreprise ou d'une fonction à des personnes physiques ou morales concernées par les activités et les résultats. La communication de données peut, dans certains cas, être imposée par un groupement d'associés, de clients ou de fournisseurs.
Les outils de pilotages sont des méthodes qui permettent d'aider à la décision. Quelques exemple d'outils de pilotage : Plan d'action Qualité : Le Plan d'Action Qualité aide ainsi à répondre à la question "Comment mieux satisfaire nos clients en contribuant à assurer la performance de l'organisation?".
Le contrôle interne est un processus interne à l'entreprise et continu, mis en place au sein de toutes les activités d'une entreprise. Il ne s'agit pas d'un service ou d'une activité à part entière. L'audit interne en revanche est une activité qui a lieu à postériori et de façon ponctuelle.
Tous les acteurs de l'entité sont impliqués dans le système de contrôle interne : les organes de surveillance (ministre et cabinet, comités exécutifs, de direction, des risques, d'audit…), les organes exécutifs (la direction générale, les directeurs et tous les agents).
Le contrôleur interne traque les risques qui pèse sur l'entreprise et nuisent à ses résultats. Il apporte ainsi un certain regard sur l'efficacité des systèmes de gestion des risques et de contrôle interne et sur son amélioration continue.
Elle s'appuie sur les trois leviers du contrôle interne : - la définition et l'organisation des tâches, des acteurs et des contrôles ; - la documentation des procédures ; - la traçabilité des opérations.
la mise en place de la procédure de gestion et des règles opératoires. le suivi des résultats. le choix des indicateurs clés des tableaux de bord. la production et la diffusion des outils de pilotage.
Schématiquement, le processus de management peut se décrire en trois phases : finalisation, pilotage, postévaluation ou évaluation de la performance. Ce sont ces trois phases que le contrôle de gestion doit organiser et optimiser.
Alors qu'un tableau de bord fournit les données brutes, un reporting apporte des renseignements détaillés sur la situation d'un service ou d'une entreprise. Un reporting est donc beaucoup plus long qu'un tableau de bord. Non seulement dans la quantité de détails, mais aussi visuellement.
Un outil de reporting est une solution qui permet de suivre son activité à l'aide de tableaux de bord personnalisés. Il fonctionne grâce à une collecte de données automatisée et au report de ces dernières dans des tableaux de bord prévus à cet effet, bien souvent directement intégré à Excel.
A.
Le contrôle est effectué par les inspecteurs de la récupération. Dans le cas des contrôles de pièces, l'affectation est confiée à un contrôleur de collecte. Ils sont assermentés et disposent d'une carte d'identité professionnelle, que l'employeur peut demander la production avant tout contrôle.
Dans la définition du contrôle de gestion qu'il nous livre, Anthony (1965) rappelle à juste titre qu'il s'agit d'un ensemble de processus par lesquels les managers s'assurent de l'atteinte efficace et efficiente des objectifs de l'organisation. Ce sont donc les managers qui exercent cette fonction.
Le contrôleur de gestion sert un client interne, le manager. Les interactions entre ces deux acteurs conditionnent le résultat du processus final. Une catégorie d'acteurs souvent oubliés sont les contrôlés, ceux qui vivent, voire subissent, le processus de contrôle de gestion.
Un risque de contrôle est un risque lié à un dysfonctionnement du dispositif de contrôle interne (risque qu'une erreur significative ne soit ni détectée, ni corrigée en temps voulu par le dispositif de contrôle interne) : soit que sa conception est inopérante, soit que sa mise en œuvre est lacunaire.
COSO ERM (Committee of Sponsoring Organizations of the Treadway Commission Entreprise Risk Management) est très utilisé pour le contrôle interne et la gestion des risques. Il reste au programme actuel de la certification CISSP, inclus dans le domaine 1 des connaissances à maitriser pour réussir l'examen.