L'eau contaminée et le manque d'assainissement entraînent la transmission de maladies comme le choléra, la diarrhée, la dysenterie, l'hépatite A, la fièvre typhoïde et la poliomyélite.
Les pénuries d'eau sont directement corrélées au développement de conditions de vie sanitaires précaires qui entraînent l'apparition de maladies comme la diarrhée, le choléra, la dysenterie, le typhus ou encore la polio.
Le saviez-vous? La pénurie d'eau touche actuellement près de 700 millions de personnes dans 43 pays. En 2025, 1,8 milliard de personnes vivront dans des pays ou régions touchés par une pénurie d'eau complète et les deux tiers de la population mondiale pourrait vivre dans des conditions de stress hydrique.
Le manque de gestion durable des ressources d'eau peut amener à une dégradation de l'hygiène dans les abris (humidité, insectes, rongeurs), voire à leur destruction qui peut même toucher des communautés entières (dans les cas d'inondations ou de glissement de terrain par exemple).
Elle provoque des maladies : la consommation d'eau contaminée peut entraîner de graves problèmes de santé. De la diarrhée, du choléra, de l'hépatite A, de la typhoïde, à la mort. On estime qu'environ 5 millions de personnes meurent chaque année en buvant cette eau.
L'impact de l'eau polluée sur les écosystèmes
En conséquence, la vie animale et végétale dans les rivières, les lacs, les mers et les océans est menacée. De nombreuses espèces sont en voie d'extinction. La pêche intensive aggrave encore cette situation. L'eutrophisation des milieux aquatiques.
Les pays de l'extrême nord semblent rester à l'écart de ces préoccupations d'ici 2040 : le Canada, la Russie, les pays scandinaves, le Groenland mais aussi ceux de la grande muraille verte de l'Afrique et le Brésil utiliseront moins de 19 % de leurs ressources en eau.
Les pressions exercées sur l'eau ont pour conséquence non seulement une détérioration des ressources en eau mais aussi une dégradation de la qualité de l'eau : La surexploitation et les épisodes de sécheresse de plus en plus fréquents et intenses réduisent considérablement les quantités d'eau douce.
Les facteurs de risque de l'eau comprennent le stress hydrique (lorsque la demande locale en eau dépasse la disponibilité d'eau douce dans la région), la sécheresse, les précipitations insuffisantes, les inondations et la pollution.
L'eau, une source de conflits entre nations. Les perspectives en matière d'eau douce ne sont pas réjouissantes puisque, de l'avis général, sa raréfaction semble inéluctable. Or, un pays qui manque d'eau est un pays qui ne peut ni nourrir sa population, ni se développer.
Ces réservoirs sont alimentés par la pluie, et sont vidés par l'évaporation ou par la consommation humaine. Si les humains consomment trop d'eau, ces réservoirs peuvent se tarir, donc l'eau peut y disparaître. Avec le changement climatique, les pluies risquent d'augmenter ou de diminuer selon les régions.
Gardez une bouteille d'eau potable au réfrigérateur. Ne laissez pas couler le robinet jusqu'à ce que vous obteniez de l'eau froide. Vérifiez régulièrement les accessoires des robinets, des tuyaux, des raccords et des lave-vaisselle et des machines à laver pour détecter des fuites.
Elle concerne les nitrates et les phosphates contenus dans les pesticides, les médicaments humains et vétérinaires, les produits ménagers, la peinture, les métaux lourds (mercure, cadmium, plomb, arsenic…), les acides, ainsi que les hydrocarbures utilisés dans l'industrie.
Les transports, première source de gaz à effet de serre
Selon cet inventaire, les transports sont la première source de gaz à effet de serre en France métropolitaine (29,7 % des émissions en équivalent CO2 en 2017), devant l'industrie et le secteur tertiaire (25,8 %) ou l'agriculture (18,9 %).
L'élevage plus polluant que l'aviation
On y découvre qu'en 2019, l'agriculture était le deuxième poste d'émissions de GES du pays, représentant à elle seule "19% du total national", soit 83,1 mégatonnes d'équivalent CO2. Et la quasi-majorité d'entre elles proviennent de l'élevage (48%).
Pesticides en tête
Dans les cours d'eau français, les pesticides et leurs produits de dégradations sont les premières substances détectées. Peu étonnant dans un pays où la surface agricole utile représente 29 millions d'hectares, soit plus de la moitié du territoire.
Pollution plastique, surpêche, acidification, zones mortes… Les mers souffrent des conséquences de l'activité humaine.
acidification de l'air ; formation d'ozone troposphérique ; appauvrissement de la couche d'ozone ; particules et effets respiratoires des substances inorganiques.
La présence des polluants dans l'eau peut conduire à des effets néfastes sur la santé tels que l'hépatite, l'encéphalite, la gastro-entérite, la diarrhée, les vomissements, les maux d'estomac ; et également des problèmes de reproduction et des troubles neurologiques.