Inondations, mouvements de terrains, incendies de forêt, avalanches, tempêtes, submersions marines, gonflements ou retraits des sols argileux, séismes, éruptions volcaniques, à des fréquences et à des degrés divers sont des évènements à l'origine de dommages plus ou moins importants, voire de catastrophes.
On y distingue principalement : les avalanches, les feux de forêt, les inondations, les mouvements de terrain, les cyclones, les tempêtes, les séismes et éruptions volcaniques mais aussi les raz de marées, les invasions d'insectes nuisibles, les sécheresses prolongées...
Les régions Hauts-de-France, Nouvelle-Aquitaine, Pays de la Loire et Normandie sont les plus exposées vis-à-vis de l'aléa inondation par submersion marine, chacune contribuant pour plus de 10 % au nombre total de personnes résidant dans cette EAIP.
Ces aléas, où événements naturels potentiellement dangereux, regroupent les inondations et les submersions marines, l'érosion côtière, les tempêtes et les cyclones, les mouvements de terrain, les feux de forêt, les avalanches, les éruptions volcaniques et les séismes.
"Les failles qui existent encore sont des accidents géologiques. La tectonique des plaques s'accumule de façon préférentielle sur ces accidents de la croûte terrestre", complète Yann Klinger. Dans l'est de la France, les autres zones à risque se trouvent dans les Alpes, dans la plaine d'Alsace ou dans les Vosges.
Les Antilles (Guadeloupe, Martinique, Saint-Martin et Saint-Barthélemy) sont les régions de France où l'aléa et le risque sismiques sont les plus forts.
La Bretagne, qui sera la plus épargnée en termes de chaleur, en raison de sa proximité avec l'Océan Atlantique. Une région qui, selon l'EAA, pourrait être la plus peuplée d'ici 30 ans ; La Normandie, dont le climat restera agréable.
La localisation et la géographie de l'Asie en font le continent le plus sujet aux catastrophes naturelles.
Inondations, mouvements de terrains, incendies de forêt, avalanches, tempêtes, submersions marines, gonflements ou retraits des sols argileux, séismes, éruptions volcaniques, à des fréquences et à des degrés divers sont des évènements à l'origine de dommages plus ou moins importants, voire de catastrophes.
Zones les plus exposées : pays se situant entre le tropique du Cancer (nord) et le tropique du Capricorne (sud) : riverains de l'Amérique centrale et de l'Amérique du Nord ; riverains de l'Afrique de l'Est, de l'Inde, du sud-est asiatique (Philippines, Indonésie, Vietnam) et du Japon.
Le préfet du département
Le préfet de département élabore le dossier départemental des risques majeurs (DDRM) pour sensibiliser les élus et les citoyens.
Le risque peut être latent (il n'est pas encore manifeste), apparent (il se manifeste) ou disparu (il ne peut plus se manifester).
Les inondations sont les catastrophes les plus fréquentes. Même les pays des zones tempérées ne sont pas épargnés et peuvent rencontrer des difficultés pour faire face à ce genre de phénomènes particulièrement violents.
L'avalanche de Val d'Isère (1970) : une énorme coulée de neige se détache à 3206m d'altitude sur le versant de la Sassière.
Avec un indice de vulnérabilité de 0,08%, le Qatar est officiellement le pays le plus sûr du monde en terme de catastrophes naturelles. Ce qui ne l'empêche pas d'essuyer des tempêtes de sable, comme en 2015.
La pollution atmosphérique, les pluies acides, la pollution chimique des sols (pesticides, métaux lourds…) sont également les conséquences des activités humaines.
1. Marseille, la ville du soleil. Avec 2 900 heures de soleil par an au total, la cité phocéenne est sur la plus haute marche du podium des villes qui profitent le plus de l'ensoleillement.
Pour autant, la France est inscrite dans une zone de sismicité faible à "modérée, rappelle le professeur Frédéric Masson, géophysicien à l'université de Strasbourg. D'une façon générale, elle n'est pas confrontée à des séismes très forts.
La France métropolitaine et de nombreux territoires d'outre-mer sont en effet relativement éloignés de la frontière des plaques tectoniques.