La victime est dans l'incapacité de parler ou de pleurer ; Elle ne produit aucun son de respiration ; Elle a la peau rouge ; Elle a les lèvres et les gencives bleues ; Elle a un regard paniqué ; Elle porte ses mains à sa gorge : c'est le signe universel d'étouffement.
Penchez-la vers l'avant en soutenant sa poitrine d'une main, ce qui permettra à l'objet obstruant les voies aériennes de ne pas s'enfoncer davantage dans la trachée. Administrez un maximum de 5 claques entre les omoplates. Chaque claque a pour but de provoquer un mouvement de toux permettant de déloger l'objet.
La personne ne peut plus s'exprimer, La personne ne peut pas tousser, La personne ne respire plus, La personne est cyanosée, a un faciès érythémateux, La personne est agitée, se débat, Possible perte de conscience si pas de désobstruction.
Pour ce faire, penchez la victime de l'étouffement en avant tout en soutenant sa poitrine d'une main. Appliquez cinq claques entre les omoplates. Entre chaque claque, vérifiez si l'élément est sorti ou non. Si c'est le cas, inutile de continuer à administrer les claques.
Vous ne devez surtout pas taper dans le dos. Cela risquerait d'aggraver la situation, le corps étranger pourrait se déplacer et bloquer complètement l'arrivée de l'air dans les poumons. Laissez la victime tousser jusqu'à l'expulsion de l'objet obstruant.
"Il peut avoir un risque d'infection pulmonaire car une partie du liquide reste dans les poumons. On parle alors de pneumopathie". La radiographie confirme le diagnostic. Le traitement nécessite de l'oxygène, des antibiotiques et, parfois, une aspiration trachéo-bronchique.
Par détresse respiratoire, on entend une sensation d'étouffement ou des difficultés à respirer. Il existe différents types de détresse respiratoire et les causes sous-jacentes sont également multiples.
Comment évaluer l'état de conscience ? Une personne est inconsciente si elle n'ouvre pas les yeux à la demande ou sous l'effet d'un pincement de la peau, ou encore si elle ne répond pas aux questions. Une personne qui donne des réponses incohérentes ou incompréhensibles peut être à demi consciente.
L'obstruction grave des voies aériennes est l'arrêt brutal du passage de l'air dans les voies respiratoires entre l'extérieur et les poumons par la présence d'un corps étranger. La victime est le plus souvent en train de manger ou, s'il s'agit d'un enfant, en train de jouer avec un objet porté à sa bouche.
L'apnée dite « obstructive » du sommeil cause la fermeture partielle ou totale des voies respiratoires pendant le sommeil. Une personne qui souffre de ce type d'apnée pourrait donc se réveiller en sursaut avec la sensation d'étouffement.
2. Symptômes et signes de la fausse-route alimentaire. La fausse-route se manifeste par une gêne respiratoire et des accès de toux, voire par une syncope (→ respiration). L'évolution est en général bénigne, mais peut se compliquer de pneumopathie ou d'un abcès du poumon.
La fausse route se traduit lors de la phase œsophagienne. En effet, l'aliment ou le liquide avalé passe dans les voies respiratoires (trachée), au lieu de se diriger dans le tube digestif (œsophage).
En effet, utiliser des boissons gazéifiées ou gélifiées stimule l'épiglotte. Cette dernière participe au réflexe de déglutition, sa stimulation permet donc d'éviter les fausses routes.
Toux violente, essoufflement, poumons qui crépitent (bronchite chronique obstructive) ou qui sifflent (asthme) à l'auscultation, bronchite qui s'aggrave alors qu'elle aurait dû être complètement guérie en dix jours: face à de tels symptômes, il ne faut pas laisser traîner la situation, surtout s'il s'agit d'une ...
Radiographie des poumons
Lorsque le corps étranger est radio-opaque, c'est-à-dire visible sur une radiographie (objets métalliques etc..), le diagnostic est évident.
Pour vérifier la respiration d'une victime inconsciente, approchez votre joue de la bouche de la victime en regardant vers sa poitrine (sentez son souffle, écoutez sa respiration et regardez le mouvement de sa poitrine).
La femme enceinte doit être installée sur son côté gauche, pour éviter la compression de certains vaisseaux.
Les corticoïdes (en comprimés ou sous forme liquide), pour des crises plus sévères en intensité ou en durée, pour lesquelles il est impératif de calmer l'état inflammatoire, afin que les bronches retrouvent leur fonctionnement normal.
Pour diagnostiquer une insuffisance respiratoire, deux examens sont indispensables : la mesure des gaz du sang artériel (ou gazométrie) et l'exploration fonctionnelle respiratoire (EFR).
Quels sont les symptômes ? L'insuffisance respiratoire chronique se manifeste par une augmentation progressive des difficultés à respirer avec l'apparition d'une cyanose, coloration bleutée des téguments révélant une augmentation de la proportion de sang désoxygéné.
Le blocage peut être attribuable au relâchement des muscles de la gorge ou de la langue, à une mauvaise posture, à des voies aériennes étroites, à une déviation du septum nasal, à une langue de grande taille, à une respiration diaphragmatique inadéquate ou à un excès de tissus graisseux dans la gorge.
Dans le cas le plus fréquent, le laryngospasme est une conséquence du syndrome du reflux gastro-oesophagien ou RGO. En cas de reflux gastro-œsophagien, des sucs gastriques fortement acides vont refluer et provoquer une irritation chronique de l'œsophage et du larynx.
Mal de dents, mauvais état bucco-dentaire, dentier de la personne âgée mal ajusté Difficultés à avaler, gêne à la déglutition, déglutition difficile, bouche très rouge ou au contraire très blanche.