Distinguons donc trois grands registres de la reconnaissance : celui de la compétence, celui de l'appartenance et celui de l'amour.
Sentiment qui incite à se considérer comme redevable envers la personne de qui on a reçu un bienfait : Témoigner sa reconnaissance à quelqu'un.
La "reconnaissance juridique" qui repose sur la garantie des droits fondamentaux entre les individus permettant le "respect de soi". La "reconnaissance culturelle" qui est le fait d'apporter une contribution sociale à la société permettant l' "estime de soi".
La notion de reconnaissance sociale correspond à « un processus d'identification où chaque membre du groupe pose un regard sur l'autre membre.
La reconnaissance dépend ainsi d'une sorte de décision inaugurale susceptible de définir ce qui doit être considéré comme important. C'est cette décision qui confère à la reconnaissance sa valeur éthique et qui la transforme en moyen éthique.
La reconnaissance est indispensable à notre survie, sans elle nous flétrissons, nous déprimons. On le voit dans l'exemple de l'instituteur, la reconnaissance nous confirme notre valeur, notre appartenance au groupe, nous nous sentons digne d'intérêt, cela influe sur la confiance en soi.
La reconnaissance positive et personnalisée permet aux employés de valider que leurs attitudes et méthodes de travail sont bonnes, de reconnaître leurs forces afin qu'ils les utilisent davantage et augmente leur estime de soi.
La reconnaissance de l'autre est liée au principe selon lequel chacun d'entre nous est égal, que ce soit en valeur ou en dignité. Cette reconnaissance permet ainsi la liberté d'expression de nos valeurs et convictions personnelles.
Solution N°1 : Prendre conscience de ce besoin de reconnaissance. Pour trouver la solution à n'importe quel « problème », il est important de l'identifier. De la même façon, pour se libérer de ce besoin de reconnaissance, nous devons en prendre conscience.
Contraire : contestation, dénégation, désaveu, négation. 2.
Selon la définition du Larousse, la gratitude est "une reconnaissance pour un service, pour un bienfait reçu". Reconnaissance étant le maître-mot : dire merci, c'est reconnaître, et donc accepter le fait que l'on a besoin des autres. Ce qui est la base d'une société !
C'est l'action de reconnaître, d'admettre et d'accepter quelqu'un ou quelque chose comme vrai ou réel. La reconnaissance suppose donc un sentiment légitime de gratitude et de respect envers le collaborateur, pour qui vous êtes reconnaissant.
Le langage utilisé par les coachs pour donner de la reconnaissance à une personne est simple : « Je veux vous remercier pour …. » Si vous n'êtes pas encore à l'aise avec ce langage, vous pouvez dire : « J'ai remarqué que vous avez fait … et cela signifie [un attribut positif de la personne] ».
La non-reconnaissance constante est souvent liée à l'égoïsme. Le monde tourne autour d'eux, et ils pensent qu'il est naturel que d'autres fassent des choses pour eux. Donc, ils n'ont pas tendance à sympathiser avec les souffrances ou les besoins des autres. Ce n'est tout simplement pas leur problème.
Le Seigneur veut que nous soyons reconnaissants dans tout ce que nous faisons et disons. Lorsque nous sommes reconnaissants, nous ressentons un plus grand bonheur et une plus grande satisfaction. Nous reconnaissons l'influence et les bénédictions du Seigneur.
Reconnaissance pour un service, pour un bienfait reçu ; sentiment affectueux envers un bienfaiteur : Manifester sa gratitude à quelqu'un.
La reconnaissance au travail peut être : Informelle, par exemple, des remerciements entre collègues ou de la part du manager ; Formalisée par l'entreprise, via un système de récompenses.
La reconnaissance favorise la satisfaction des besoins psychologiques des travailleurs et constitue un facteur de résistance au stress (élément clé permettant aux travailleurs de faire face aux situations professionnelles complexes et difficiles).
Les manifestations du manque de reconnaissance sont variées : jamais un merci ou un compliment sur le travail effectué, aucun contact humain, du mépris voire de l'agressivité.
L'incessant besoin de reconnaissance
Elles chercheront l'aval de l'être aimé et, si elles ne l'obtiennent pas, elles abandonneront immédiatement ce qu'elles ont entrepris, créant ainsi une dépendance dangereuse. Elles ont aussi sans cesse besoin de savoir qu'elles sont aimées et valorisées pour se sentir bien.
Être reconnu par ces derniers, c'est dans une certaine mesure être aimé et apprécié d'eux." Sous entendu, "si ces personnes reconnaissent ce que je suis, (ou mon travail) cela veut dire que j'ai une certaine "valeur" et que j'existe à leurs yeux." A ce titre, ajoute la thérapeute, le perfectionnisme est souvent ...