On observe deux grands types d'appartenance : - ceux qui s'identifient à un lieu et à une classe sociale, - ceux qui s'identifient au monde et à un groupe social défini par l'aisance.
Un groupe d'appartenance est un groupe social auquel un individu appartient et dont il partage les codes (groupe des ouvriers, des cadres, des enseignants, des Parisiens, des Marseillais, etc.).
Un groupe d'appartenance est, pour un individu, un groupe social dans lequel vit l'individu. Cela signifie que l'individu a des relations avec les membres de ce groupe et qu'il se reconnait comme membre de ce groupe et qu'on le reconnaît membre de ce groupe.
Le besoin d'appartenance correspond à la nécessité de se sentir intégré à un groupe social. Le besoin d'appartenance peut être satisfait par un processus d'adhésion (association), une activité (activité professionnelle) ou par des symboles d'appartenance (téléphone mobile, vacances,...).
Fait d'appartenir à un groupe, à un ensemble : L'appartenance à un parti. 2. En logique, rapport de l'individu à la classe dont il fait partie.
C'est quoi le sentiment d'appartenance? Il se construit peu à peu, par le partage avec d'autres d'une même réalité, de mêmes valeurs ou de mêmes objectifs. Il aide à forger son identité, il donne envie de donner le meilleur de soi-même et de se sentir fier de faire partie d'un groupe.
L'appartenance culturelle a historiquement servi là de critère à la distinction des groupes et à la stratification sociale. Elle a servi de fondement aux stratégies des groupes visant la préservation et l'augmentation du contrôle des ressources, la définition du statut social et l'édification de bien d'autres valeurs.
Concrètement, le sentiment d'appartenance peut être évalué de deux manières : à partir de faits résultant des comportements des salariés (évaluation comportementale), à partir de la façon dont les salariés pensent leur sentiment d'appartenance (évaluation cognitive).
Recherchant ce qui se cache derrière ces motivations, il met au jour cinq (groupes de) besoins fondamentaux : les besoins physiologiques, les besoins de sécurité, les besoins d'appartenance et d'amour, les besoins d'estime et le besoin d'accomplissement de soi.
Les groupes primaires sont des groupes sociaux de taille restreinte, avec des relations de face à face, directes entre personnes qui se connaissent ; les groupes secondaires sont de plus grande taille avec des relations de nature plus fonctionnelles entre les personnes du groupe qui peuvent, d'ailleurs, ne pas se ...
Le groupe de référence est celui auquel l'individu veut appartenir. C'est donc le groupe sur lequel l'individu cherche à « calquer » son rôle. en règle générale, le groupe de référence est un groupe dont le statut est plus élevé que celui du groupe d'appartenance.
L'identité est ce qui permet de différencier, sans confusion possible, une personne, un animal ou une chose des autres. Ex : carte d'identité, photo d'identité. Ces informations permettent d'individualiser quelqu'un : nom, prénom, filiation, date et lieu de naissance, empreinte digitale, empreinte génétique, etc.
La classe sociale est une notion sociologique qui permet de déterminer un ensemble vaste d'individus partageant certains critères liés à la position sociale, comme les revenus et la profession, et hiérarchisés. Exemple : La noblesse est une classe sociale.
Groupe dont l'organisation est généralement moins rigoureuse que celle d'un groupe primaire, notamment en raison du nombre plus important d'individus qu'il comporte. Sa pérennité est parfois plus aléatoire et l'influence sociale réciproque exercée sur chacun de ses membres est plus faible.
Le rôle du groupe
Par l'appartenance à un groupe, l'adolescent se construit parmi ses semblables et s'attribue un nouveau statut. Le groupe devient la référence et aide le jeune dans sa construction identitaire par le vécu des mêmes choses, le dialogue, la compréhension.
Nous pouvons identifier des besoins dans 3 domaines : physiques, psychologiques et existentiels.
Les besoins d'actualisation de soi se trouvent au sommet de la hiérarchie des besoins humains de Maslow. Lorsqu'une personne a satisfait tous les besoins des niveaux précédents, c'est dans l'actualisation de soi qu'elle parvient à réaliser pleinement son potentiel (Maslow, 1970).
Le développement des besoins selon Maslow apparaît pour la première fois dans son ouvrage « Motivation et personnalité ». Abraham Maslow explique que l'individu doit satisfaire le besoin de niveau 1 avant d'acquérir la motivation nécessaire à l'accomplissement du besoin de second niveau.
Les piliers de la fierté d'appartenance en entreprise
La confiance, la reconnaissance, le respect et le partage sont également très importants. Humainement, chaque collaborateur en a besoin pour se sentir vraiment à l'aise au sein d'un groupe social comme celui de l'entreprise.
En résumé, le sentiment d'appartenance est essentiellement porté par la direction et les managers. Il est motivée par le partage, la confiance et la sincérité insufflées au sein des équipes. De plus, il ne dépend ni d'un niveau de rémunération ni d'un plan de communication-remède inefficace.
Confiance, plaisir, reconnaissance, autonomie, sens du travail, alignement des valeurs sont autant d'éléments qui participent au sentiment de fierté. « En s'appuyant sur eux, le manager contribue à développer la fierté dans toutes ses dimensions », conclut Isabelle Rey-Millet.
L'identité définit ce qu'est un individu en particulier, ce qui le rend singulier, ce qui le caractérise. Elle permet entre autres de distinguer deux voire plusieurs individus entre eux.
L'identité collective est un sentiment commun d'appartenance à un groupe. Selon des modèles en psychologie sociale, trois ingrédients clés sont importants pour la formation d'une identité collective : une cause commune, un sentiment d'efficacité collective et des émotions collectives.