Premier exemple : «Sah». «Cela veut dire t'es sérieux, sérieusement ou encore, en vrai » traduit Bakoclaye, l'un des élèves. «Cela ressemble beaucoup à une interjection, analyse Julien Barret. Le mot vient de l'arabe.» Comme souvent, ce sont les réseaux sociaux qui font le succès de cet argot.
Le mot sah , qui appartient à l'argot des adolescents et des jeunes adultes, signifie « sérieux, sérieusement ».
Liasse de billets, tas de billets ; kichta est un terme argotique apparu dans l'univers des dealers de drogue.
(Argot) Banlieue ; taudis.
Viendrait du mot gamelle, désignant les cylindres du moteur de la voiture, terme d'origine populaire utilisé par des rappeurs français pour désigner des grosses cylindrées.
Miskine, miskina au féminin, est une interjection qui s'insère dans une phrase ou vient la ponctuer en bout de ligne. C'est une exclamation de pitié empreinte de compassion qui semble dire « Oh ! le pauvre ! ».
Nom commun
(Argot) Frère ; ami.
Un mème autour du café créé en France : “Je vais me faire un café allongé, sah quel plaisir !” Une expression qui a bien fait rire la toile et qui est souvent reprise par le twittos RebeuDeter. Certains sites marchands sur Internet ont décidé de surfer sur la tendance.
Le mot bsahtek , qui s'écrit aussi bsartek et sartek , signifie « bravo, félicitations, bien joué ». On l'emploie pour féliciter quelqu'un qui a réussi quelque chose. Il sert aussi à complimenter quelqu'un qui a fait une bonne action, avec le sens de « c'est bien, respect pour ce que tu as fait ».
Au Moyen-âge, l'oseille était une plante prisée et reconnue pour ses vertus culinaires et médicinales. L'oseille était associée à la prospérité. Il semblerait que l'utilisation du mot oseille pour parler d'argent vienne de cette plante.
"Au cas où" sert à exprimer une éventualité. Cette locution soulève une hypothèse. Elle peut être employée seule ou introduire une proposition au conditionnel ou au subjonctif. Exemple : Prends ton sac, au cas où.
Khouya : prononcez « rouilla », frère en arabe, par extension, pote. Variante : khey. Exemple : « Eh, khouya, faut que je prenne le rereu » (« Eh, mon ami, il faut que je prenne le RER).
Le mot vient de l'arabe et signifie « pet ». Mais comment une flatulence a-t-elle pu devenir un mot d'argot ? A l'instar du vent, le toz est un refus lorsque quelqu'un vous fait une proposition. Par dérivation, toz peut également signifier une forme d'indifférence.
Interjection. (Familier) Exclamation typique du sociolecte des banlieues versant beur qui est une prononciation dérivée du mot arabe « zerma », souvent utilisée pour marquer l'ironie ou le cynisme, voire le ridicule.
Étymologie. De l'arabe بِسْمِ اللّٰه , Bismillāh (« au nom de Dieu »).
auto, automobile. – Familier : bagnole, clou, guimbarde, pot de yaourt, tacot, tape-cul, teuf-teuf, trottinette, veau. – Populaire : bahut, caisse, chignole, chiotte, poubelle, tas de boue, tire.
Enquête | Le mot arabe "Akhi" signifie "mon frère".
ou kha (khut) selon les régions.
indulgent, indulgente
Qui pardonne aisément les fautes, qui n'est pas sévère, dur : Être indulgent à l'égard des élèves. 2. Qui manifeste l'indulgence : Appréciation indulgente.
Le commanditaire paye un exécuteur pour effectuer sa commande. Synonymes : client, maître d'ouvrage (en architecture) ; mécénat, parrain, bailleur de fonds, soutien, sponsor (anglicisme).
Depuis le XVIème siècle, le “blé” est une expression utilisée pour parler de l'argent, mais c'est réellement dans les années 50 qu'elle devient populaire… jusqu'à détrôner le “fric” quelques décennies plus tard.
Difficile à dire mais ce proverbe signifie que le blé n'a de valeur que lorsqu'il est arrivé à maturité et que l'on peut le récolter. Un peu plus tard, au 19e siècle, là encore, le blé serait bel et bien devenu synonyme d'argent dans l'argot populaire.