Personne appartenant à un mouvement politique qui prône l'égalité réelle entre les hommes et les femmes dans la vie privée et dans la vie publique. Au sens large, le féminisme inclut l'ensemble argumentaire qui dénonce les inégalités faites aux femmes et qui énonce des modalités de transformation de ces conditions.
D'une manière générale, le féminisme peut être considéré comme un mouvement visant à mettre fin au sexisme, à l'exploitation et à l'oppression sexistes et à réaliser la pleine égalité de genre en droit et en pratique.
Le féminisme n'est ni un discours qui vise à dépeindre les femmes en victimes ni un combat contre les hommes. Son objectif est plutôt l'atteinte de l'égalité de fait entre les femmes et les hommes. – Bon, y'a encore beaucoup à faire, mais… on peut être fières du chemin parcouru.
Ainsi, être un homme féministe, c'est aussi bien lutter contre les violences perpétrées à l'encontre des femmes, contre la précarité de certaines mères en situation monoparentale, que de lutter pour favoriser un partage équitable des tâches ménagères, pour imposer un congé de pa- ternité, pour que la table à langer ne ...
Olympe de Gouges, née à Montauban le 7 mai 1748, est une femme de lettres française, devenue femme politique. Elle est considérée comme une des pionnières du féminisme français notamment après la publication en 1791 de la Déclaration des droits de la femme et de la citoyenne.
Simone de Beauvoir
Elle dénonce la société française qui maintient la femme dans une situation d'infériorité. Simone de Beauvoir use de sa grande influence pour faire reconnaître les actes des tortures infligées aux femmes lors de la Guerre d'Algérie et le droit à l'avortement.
Ces droits comprennent le droit de vivre libre de toute violence et discrimination, le droit au meilleur état de santé physique et mentale susceptible d'être atteint, le droit à l'éducation, le droit à la propriété, le droit de voter et le droit à un salaire égal.
Le féminisme n'est pas inscrit dans les gènes des femmes (et encore moins dans ceux des hommes). L'origine sociale, l'éducation, les études, le vécu personnel peuvent conduire à l'activisme féministe ou, plus simplement, à se dire féministe.
Il est d'usage d'attribuer le mot « féminisme » à Charles Fourier (1772-1837), ce penseur audacieux qui forgea tant de néologismes et qui comprit si bien que l'essence de l'émancipation des femmes fut leur subordination légale aux hommes, en même temps que leur dépendance économique.
Les féministes luttent contre les inégalités entre les hommes et les femmes. Par exemple, c'est grâce aux féministes que les femmes ont eu le droit de vote. Leur combat n'est pas terminé, car même en France, les femmes ne sont pas toujours traitées à égalité avec les hommes.
Le principal acquis du féminisme c'est d'avoir sorti les femmes de leur position dépendante, pour les rendre conscientes et actrices de leur destin, même si les structures sociales et symboliques résistent.
L'apparition du néologisme « féminisme » coïncide avec l'avènement de la IIIe République et l'on imagine comment l'apparition de l'individu citoyen peut impliquer l'identité, voire l'égalité, de l'homme et de la femme, ce qui évoque une apparente neutralisation de la différence sexuelle.
Il existe mille et une façon de se sentir féminine mais l'essentiel est selon moi de s'écouter, d'apprendre à s'aimer, bref de retrouver une certaine sérénité intérieure. La féminité est avant tout un bien être au quotidien, un état d'esprit, une façon de se découvrir aussi.
L'inclusion de l'environnement dans un combat qu'est le féminisme est largement convaincant et sensé. Elle nous invite à changer notre regard, à le faire basculer de l'autre côté des normes dictées par notre société. Entrevoir les bornes invisibles tant elles ont été martelées, se libérer des codes sociaux.
En France, en 1791, Olympe de Gouges rédige la Déclaration des droits de la femme et de la citoyenne et demande que l'on rende à la femme les droits naturels que les préjugés lui ont retirés (« la femme a le droit de monter sur l'échafaud ; elle doit également avoir celui de monter à la Tribune »).
– Les féministes en font « trop » : 70 % des hommes et 58 % des femmes le pensent. – Les féministes nient les différences entre les hommes et les femmes : 58 % des hommes et 49 % des femmes l'estiment. – Les féministes nuisent à l'image des femmes : 57 % des hommes et 42 % des femmes le pensent.
masculinisme n. m. On ne peut considérer le terme masculinisme comme étant l'antonyme de féminisme.
Les Origines du féminisme contemporain. Trois femmes de la Révolution : Olympe de Gouges, Théroigne de Méricourt, Rose Lac... Olympe de Gouges, de son vrai nom Marie Gouze, est une romancière et autrice de pièces de théâtre engagée politiquement en faveur des Noirs et de l'égalité des sexes.
En 1882, sous la plume d'Hubertine Auclert, le terme féminisme est défini explicitement comme la lutte pour améliorer la condition féminine. Le terme est popularisé par la presse à l'occasion d'un congrès « féministe » organisé à Paris en mai 1892 par Eugénie Potonié-Pierre.
Des décennies de mobilisation
Depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale, la Journée internationale des femmes est célébrée dans de nombreux pays à travers le monde à la date du 8 mars.
Quels sont les devoirs de la femme envers son mari ? - Quora. Les mêmes que ceux du mari envers sa femme et qui sont inscrit dans le code Civil: respect, fidélité, secours, assistance.
En France, la réponse est oui ! Car, aujourd'hui, la loi accorde les mêmes droits aux femmes et aux hommes.
Cette année, l'ancienne first lady Michelle Obama arrive en tête du classement et détrône ainsi Angelina Jolie, qui occupait cette place depuis 3 ans. L'actrice est également doublée par la présentatrice américaine Oprah Winfrey, sur la deuxième marche du podium.