Verbe. (Argot) (Familier) Aimer, apprécier franchement. (Argot) Aimer quelqu'un d'amour. (Argot) Fumer du haschisch.
kiffer v.t. Apprécier, aimer ; prendre du plaisir à.
Kiffer vient sans surprise de "kiff", un mot d'arabe maghrébin qui signifie "amusement" et "plaisir". Jusqu'au 17e siècle, il est directement associé à l'alcool. 100 ans plus tard il fait référence à tout ce qui provoque une félicité factice.
État de béatitude totale, de bonheur parfait : Les vacances à la mer, c'est le kif ! ; ce qu'on apprécie particulièrement, qu'on adore : La musique, c'est vraiment son grand kif ! (Dans ce sens, on écrit aussi kiff.)
Le sens a évolué et dans son acception actuelle, kiffer signifie simplement prendre beaucoup de plaisir, aimer, être fou de quelque chose ou de quelqu'un. Un kif ou kiff est alors une passion, un hobby, un plaisir particulier et personnel, ou simplement un moment de bonheur.
Tu me plais, tu sais. Je ne te trouve pas mal. Je tiens à toi. Je m'intéresse à toi.
Kiffer est un terme argotique pour exprimer l'idée selon laquelle on apprécierait une chose ou une personne. Le mot aurait pour origine une expression signifiant son plaisir lors de la consommation de haschich.
Étymologie. (1617) Emprunté à l'arabe طَبِیب , ṭabīb (« médecin »), via le maghrébin ṭbib. Terme d'argot militaire au XIX e siècle.
Le verbe kiffer est du premier groupe.
Enfin, les jeunes peuvent régulièrement se plaindre d''avoir le seum', ce qui est une expression pour dire que l'on est horripilé au plus haut point. Le terme 'seum' vient du mot arabe 'sèmm' qui signifie 'venin'. Autrement dit, quand on a le seum, on a la rage.
Depuis sa première attestation au XVIIe siècle en France, le «kif», «kiffe», «keif» ou «kaif» n'a rien perdu de sa superbe. Il fait d'ailleurs office de verbe depuis plusieurs années maintenant.
"Au cas où" sert à exprimer une éventualité. Cette locution soulève une hypothèse. Elle peut être employée seule ou introduire une proposition au conditionnel ou au subjonctif. Exemple : Prends ton sac, au cas où.
Etre humain de sexe féminin, personne féminine. Fille, par extension. Jeune femme. Epouse, partenaire, conjointe, concubine, petite amie.
ou adv.] Pronom, adverbe relatif désignant le lieu au propre ou au figuré et secondairement le temps.
Étymologie. (1840) Probable dérivé, d'après le modèle de carriole, de banne, du bas latin benna, mot gaulois « sorte de chariot à quatre roues » → voir benne. Le mot s'est écrit banniole ou bagniole, avant d'être fixé en bagnole.
1. Assemblée de prélats qui n'avait pas autorité pour délibérer. 2. Entretiens à voix basse, plus ou moins suspect.
À partir des années 1920, le «toubib» désigne plus largement un «médecin de manière familière». Le Petit Larousse fait entrer ce mot dans son dictionnaire dans le millésime 1845 «sans commentaire autre que celui du registre argotique: ''Toubib, n.m Arg. Médecin''».
« Je m'affolamoure », « je t'extraime » ou encore « j'ai le boum boum ».
Quand il dit « je t'aime », c'est un peu à lui qu'il parle. Et s'il nous le dit aussi souvent, c'est qu'il attend qu'on lui réponde « moi aussi ». Car, il n'est pas aussi sûr de lui qu'il en a l'air. Et au lit.
Je t'aime follement, vraiment, profondément. Je te kiffe grave !! Tu es superbe, comme toujours ! Je t'ai-meuuuh !
Le commanditaire paye un exécuteur pour effectuer sa commande. Synonymes : client, maître d'ouvrage (en architecture) ; mécénat, parrain, bailleur de fonds, soutien, sponsor (anglicisme).
Le sens actuel de l'expression date du début du XVIIIe siècle. Elle fait référence à la chasse au loup, qui est une pratique dangereuse, et donc qui nécessite une certaine expérience. Ainsi, quand la jeune fille a des relations sexuelles, cela a une connotation dangereuse.
Littéraire.
à la lisière, en bordure d'un lieu, en particulier d'un bois, d'une forêt.