condé n.m. Autorisation exceptionnelle accordée par la police en contrepartie d'informations.
Nom 1 : Emprunt supposé au vocabulaire des colonies africaines, du portugais conde (gouverneur), du latin comes, comitis. Selon cette hypothèse, il s'agit d'un mot apparenté à comte. Désigne à l'origine (argot du XIX e siècle) une autorisation, puis celui qui la donne ou la reçoit, enfin un policier.
Schmitt est un terme argotique employé pour désigner un policier, un gendarme. Il provient de l'allemand "Schmitt" qui signifie "forgeron".
Synonyme : agent, agent de police, gardien de la paix, gendarme, îlotier.
Tous s'accordent en tout cas à dire que le terme vient du Maghreb: francisé en hendek (ou handek), il s'utilise pour dire «attention», ou «fais gaffe». «Hendek, c'est chaud, ça sort du four», par exemple.
Keuf est un terme péjoratif désignant un homme ou une femme remplissant la fonction de policier.
Définition "poulaga"
Membre d'un service de police. Policier.
Flic est un terme d'argot pour désigner un policier, un agent de Police et par extension tout membre des services de la Police et assimilés. Ce terme est également utilisé pour désigner les gendarmes, même s'ils sont des militaires et non des policiers.
« Vingt-deux » signifie couteau dans l'argot français du XIX e siècle. L'expression signifierait donc « tous à vos armes ». L'arme favorite des voyous du temps était le « couteau d'arsouille » avec sa lame de 22 centimètres ; Un homme normalement constitué a deux jambes, qui forment le nombre 11.
L'origine de cette appellation vient de la Préfecture de Police de Paris, qui prit effectivement ses quartiers sur l'île de la Cité en 1871, en lieu et place de l'ancien marché aux poulets de la capitale. Et, comme bien souvent, les nouveaux occupants du lieu prirent le nom de celui-ci.
Poulets, keufs, flics, condés…
Les forces de l'ordre ont, depuis toujours, eu droit à de nombreux surnoms plus ou moins affectueux. Mais saviez-vous que le sobriquet « poulet » ne désignait, à l'origine, que les policiers parisiens ?
Le mot " police " appelle quelques précisions terminologiques. Il vient du latin politia qui, lui-même, trouve son origine dans le grec politeia (art de gouverner la cité), lequel dérive du mot polis (cité, ville). En vieux français, pollice signifiait " gouvernement ".
L'attrait pour le service public, qui représente le désir de participer pleinement à un service public porteur de sens. L'engagement envers les valeurs publiques, qui représente l'idée de devoir civique et de justice sociale. La compassion qui fait référence à l'empathie et le désir de protéger les concitoyens.
(Sorte de cithare) Du latin pandura emprunté au grec ancien πανδοῦρα , pandoûra. (Gendarme) (1853) Variante de pandour . Le mot semble plutôt avoir été créé par le chansonnier Gustave Nadaud qui dans une chanson (Pandore, ou les Deux Gendarmes) créa un gendarme nommé Pandore, modèle type de l'obéissance passive.
EXPRESSION POPULAIRE - Le terme s'emploie fréquemment en argot et dans les usages populaires pour qualifier les fonctionnaires de police.
béton, croûter (se), gaufrer (se), prendre une gamelle, ramasser (se), ramasser une gaufre, se casser la gueule, se gaméler, se paner, se planter, se rétamer, vautrer (se).
Cette caserne a été bâtie sur l'emplacement de l'ancien marché aux volailles de Paris. Rapidement, le sobriquet de « poulets » est donné aux policiers. On dit aussi « poulaga » (« la maison poulaga » désigne la police au sens large), « poulard », voire « perdreau ».
Policier et gendarme : un statut différent
Leur mission principale est le maintien de l'ordre sur le territoire français. Ils diffèrent au niveau de leur statut. En effet, le policier est un fonctionnaire de l'Etat, alors que le gendarme est un militaire.
Pour une femme, on peut dire « le policier » (surtout dans un sens générique), « la policière », « la femme policier » ou « la femme policière ».
(Date à préciser) De l'arabe بالك , belec (« fais attention ») composé de بال bel (« pensée ») et ك ec possessif 2 e personne du singulier ; littéralement « ta pensée ! ».
"Au cas où" sert à exprimer une éventualité. Cette locution soulève une hypothèse. Elle peut être employée seule ou introduire une proposition au conditionnel ou au subjonctif. Exemple : Prends ton sac, au cas où.
ou adv.] Pronom, adverbe relatif désignant le lieu au propre ou au figuré et secondairement le temps.