« La liberté consiste à pouvoir faire tout ce qui ne nuit pas à autrui » (article4 de la DDHC de 1789). C'est parce que tout le monde a un droit égal à la liberté que ma liberté est limitée par celle des autres et la leur par la mienne. Notre liberté n'est donc pas absolue.
C'est la possibilité par une personne de faire tout ce qui n'est pas interdit par la loi et qui ne gêne pas les autres. C'est aussi le pouvoir de choisir son comportement selon son libre arbitre (ex : un ou prisonnier ou un esclave n'est pas libre de choisir).
La Convention protège :
le droit à la vie, à la liberté et à la sécurité d'une personne. le droit au respect de la vie privée et familiale. la liberté d'expression. la liberté de pensée, de conscience et de religion.
La liberté est le pouvoir qui appartient à l'homme de faire tout ce qui ne nuit pas aux droits d'autrui; elle a pour principe la nature, pour règle la justice, pour sauvegarde la loi; sa limite morale est dans cette maxime : Ne fais pas à autrui ce que tu ne veux pas qu'il te soit fait.
1. État de quelqu'un qui n'est pas soumis à un maître : Donner sa liberté à un esclave. 2. Condition d'un peuple qui se gouverne en pleine souveraineté : Liberté politique.
Définition de la liberté
La liberté est l'état d'une personne ou d'un peuple qui ne subit pas de contraintes, de soumissions, de servitudes exercées par une autre personne, par un pouvoir tyrannique ou par une puissance étrangère.
La liberté vous donne l'occasion de ressembler à ce que vous voulez être. Ou faire ce que vous voulez faire - comme le modèle David. Parfois, vous vous sentez obligé de faire des choses ou d'adopter une apparence que vous n'aimez pas, mais la liberté signifie aussi la liberté de choisir et la liberté de dire non!
« La liberté des uns s'arrête là où commence celle des autres » est un célèbre adage qui signifie, en général, qu'un individu doit pouvoir faire l'exercice de sa liberté sans que celui-ci limite la liberté des autres ou soit nuisible aux autres.
L'incitation à la discrimination, à la haine, à la violence ou à la ségrégation* à l'égard d'autrui, en public, intentionnellement et pour une raison précise.
Il existe trois types de liberté. Le premier type de liberté est la “liberté par rapport à”, une liberté par rapport aux contraintes de la société. La deuxième est la “liberté de (faire)”, une liberté de faire ce que nous voulons faire.
L'homme libre, c'est celui qui dispose librement de sa personne et de ses biens. Il faut distinguer différents niveaux pour penser la liberté : Le niveau physique : c'est la liberté comprise comme absence de contrainte physique. Le niveau moral : c'est la liberté comprise dans un contexte politique et social.
Rousseau : « La liberté consiste moins à faire sa volonté qu'à n'être soumis à celle d'autrui ; elle consiste encore à ne pas soumettre la volonté d'autrui à la nôtre ». La notion de liberté peut être comprise comme synonyme d'une absence totale de contraintes, d'entraves quant aux désirs de chacun et leur réalisation.
Les libertés individuelles sont des libertés que l'individu exerce seul (Liberté d'aller et venir, liberté d'opinion, le droit de disposer de son corps, le droit à la vie privée, à la sureté), les libertés collectives sont celles que l'individu exerce en groupe (Liberté de réunion, d'association, liberté de la presse, ...
L'évolution des droits et libertés depuis 1789 s'est faite en fonction des mutations de la société. Ainsi La DDHC est le texte qui marque l'apogée de l'idéologie de la Révolution française et représente le fruit de la contestation d'un peuple soumis à une monarchie absolue.
Selon l'article 4 de la Déclaration de 1789, « la liberté consiste à pouvoir faire tout ce qui ne nuit pas à autrui ».
Cette expression est à la fois un précepte et un proverbe : il apprend à restreindre ses libertés en communauté, mais il est aussi utilisé pour mettre en garde contre tout abus de pouvoir. Si tu veux qu'on t'épargne, épargne aussi les autres.
Si la liberté de chacun est sans limite, une personne ne tardera pas, au nom de sa propre liberté, à empiéter sur celle des autres. Pour chaque liberté fondamentale, le législateur précise quelles en sont les limites, de manière à ménager les droits de chaque citoyen. La liberté d'expression peut constituer un exemple.
Intuitivement, la liberté s'expérimente comme absence de contraintes : on se sent libre quand on ne subit ni contrainte physique, ni interdiction morale, ni pression psychologique. Le sentiment de liberté naît alors du fait que le principe de l'action est en nous et n'est pas déterminé par un principe extérieur.
La liberté, le plus simplement possible peut-être définie par l'absence de chaînes. Un esclave par exemple est un homme qui n'est pas libre. L'homme libre ne peut être soumis, c'est celui qui fait ce qu'il veut, qui ne souffre d'aucune contrainte.
La liberté est la valeur première et le corollaire absolu de l'être humain. Elle a donc, comme lui, un passé, un présent et un avenir, même si, selon les époques et les géographies, elle connaît des sorts divers.
Il semble posséder une liberté qui lui permet d'être responsable de sa personne ainsi que de ses actes de manière rationnelle. Or, l'Homme est aussi un individu complexe qui finalement se révèle être contrôler par des entités qui sont supérieures à sa propre volonté rationnelle et qui la contrôle.
Marianne est le visage choisi pendant la Révolution française pour représenter la Liberté et la République. Son bonnet est appelé "bonnet phrygien".
La liberté est un droit sacré et imprescriptible que possèdent tous les êtres humains. C'est la faculté d'agir selon sa volonté, tout en respectant la loi et les droits d'autrui.
La liberté est une capacité à atteindre notre puissance d'être ou d'action, sans pour autant en être prisonnier ou pré-déterminé être libre, c'est accomplir ce que notre désir nous suggère, et non ce que l'on nous impose.