La maladie de Bowen est le terme clinique pour une lésion cutanée précancéreuse particulière. Ces lésions provoquent rarement des symptômes chez les patients, mais apparaissent sous la forme de plaques squameuses bien définies sur la peau exposée au soleil, généralement chez les personnes de plus de 60 ans.
Facteurs de risque de la maladie de Bowen
l'irradiation solaire due à une exposition excessive au soleil ; l'intoxication aux composés de l'arsenic ; les infections aux papillomavirus humains (HPV) ; l'immunodépression.
Favorisé par l'exposition au soleil, le carcinome épidermoïde cutané peut se traduire par une plaie, un bouton ou une croûte qui ne guérit pas. Ces cancers de la peau ne deviennent invasifs que très rarement, dans moins de 1 % des cas.
Le mélanome est le cancer de la peau le plus dangereux. Il se développe à partir des cellules pigmentées de l'épiderme et peut envahir très rapidement d'autres organes (métastases). Chaque année, en Belgique, environ 300 personnes décèdent suite à un mélanome.
Le traitement de la maladie de Bowen repose en premier lieu sur la chirurgie avec une exérèse des lésions. Plus la chirurgie est effectuée tôt, plus la prise en charge est meilleure. La chirurgie est essentiellement indiquée en cas de petites lésions.
Les carcinomes représentent 90 % des cancers de la peau. Ils sont beaucoup moins graves que le mélanome, mais nécessitent une surveillance attentive.
La kératose actinique (KA) est la lésion précancéreuse la plus courante qui se forme sur la peau endommagée par une exposition chronique aux rayons ultraviolets (UV) du soleil et/ou d'un bronzage artificiel.
L'incidence du mélanome, forme de cancer de la peau la plus sévère, croît depuis plusieurs décennies et double tous les 10 ans depuis 1945 dans tous les pays du monde.
Ils peut se développer sur des zones préalablement sans taches, mais dans environ 30 % des cas il se développe sur une zone où il y a des nævi (grains de beauté). Les symptômes comme des démangeaisons ou un saignement de la lésion peuvent être des signes de mélanome malin.
C'est la forme la plus fréquente de cancers de la peau. Les carcinomes basocellulaires n'évoluent que localement et ne forment jamais de métastases, c'est-à-dire qu'ils ne s'étendent pas à d'autres organes. Ils se situent généralement sur le visage, au niveau du cou ou encore sur le haut du tronc.
Le cancer responsable du plus grand nombre de décès par cancer chez l'homme reste le cancer du poumon (23 000). Viennent ensuite les cancers colorectal et de la prostate (respectivement 9 000 et 8 000).
Les différents types d'éruptions cutanées dues au stress
Une poussée d'acné, qui donne des boutons sur le visage ; Une poussée de psoriasis ; Un accès d'eczéma atopique ; Une éruption d'urticaire.
Parmi les plus fréquentes, la sécheresse de la peau, l'urticaire, certaines formes d'eczéma, les piqûres d'insecte, la gale, les mycoses, le psoriasis, certaines maladies du foie ou des reins, etc. De nombreuses femmes se plaignent de démangeaisons pendant la grossesse, en particulier la nuit.
Ce sont les cancers de la peau les plus fréquents. Ils se divisent en carcinome basocellulaire et carcinome spinocellulaire ou épidermoïde. Le carcinome basocellulaire est le plus fréquent des cancers.
Le carcinome basocellulaire (CBC) est la forme la plus courante de cancer de la peau et la forme la plus fréquente de tous les cancers. Rien qu'aux États-Unis, plus de 4 millions de cas sont diagnostiqués chaque année. Les CBC résultent d'une croissance anormale et incontrôlée des cellules basales.
Le carcinome épidermoïde (CE) de la peau, également appelé carcinome spinocellulaire, est la deuxième forme la plus courante de cancer de la peau, caractérisée par une croissance anormale et accélérée des cellules squameuses.
LE PRURIT : les causes hépatiques d'ictères, qu'il s'agisse d'une insuffisance de fonctionnement hépatique (hépatite aigué grave ou cirrhose), d'un défaut d'évacuation de la bile (obstacle sur les voies biliaires, calcul ou autre), peuvent s'accompagner de démangeaisons, parfois très sévères, sans lésions visibles sur ...
Si les démangeaisons ont déjà été évoquées comme symptôme possible d'un lymphome de Hodgkin, le cas de Jade Baldwin montre toutefois qu'un patient qui souffre de démangeaisons, notamment au niveau des jambes, peut être atteint de ce cancer, et ce même si ses ganglions présentent une taille normale.
Typiquement le cancer du poumon, du pancréas ou encore du foie.
Survie relative
La survie à la plupart des cancers de la peau autres que le mélanome est excellente. La survie relative après 5 ans pour le CBC est de 100 %.
Les vertus purifiantes et réparatrices de l'huile essentielle de romarin en font aussi une bonne alliée pour atténuer la kératose pilaire. Se masser avec cette huile sous la douche, 2 à 3 fois par semaine vous aidera à l'atténuer.
Il n'y a pas de remède pour la kératose pilaire, mais elle disparaît spontanément avec le temps. Prenez des bains et des douches rapides : passer trop de temps dans l'eau peut assécher votre peau et provoquer une poussée de kératose pilaire. Limitez les bains et les douches à 5-10 minutes, et utilisez de l'eau tiède.
Les traitements disponibles sont la cryothérapie, la photothérapie dynamique, le 5-Fluorouracil topique, l'Imiquimod, l'Ingenol mébutate et diclofénac. Une protection solaire efficace prévient la survenue de kératoses actiniques, les récidives et la progression vers un carcinome épidermoïde cutané.