La rétractibilité est le phénomène de variation dimensionnelle du bois, quel qu'en soit le sens : rétrécissement ou gonflement. 2) Causes : Perte ou reprise d'humidité en dessous du point de saturation. Quand le bois sèche, il perd en premier son eau libre, il n'y a pas de variations dimensionnelles.
En séchant à l'air ambiant, le bois se rétracte. Le bois vert est en effet très humide. Une fois scié, une bonne partie de l'eau qu'il contient peut s'évaporer. Cette perte d'eau entraine un rétrécissement du bois : la matière qui le constitue se rétracte.
Le bois est hygroscopique c'est-à dire qu'il gagne ou perd de l'humidité en fonction des conditions du milieu environnant; en gagnant ou perdant de l'humidité, le bois se dilate ou se contracte, ce qu'on appelle aussi le « travail du bois », qui intéresse les métiers du bois d'œuvre.
Dès le stockage du bois utilisé comme matière première pour la fabrication du placage, il faut l'humidifier pour éviter la formation de fissures. L'humidité joue également un rôle important pendant le traitement du produit naturel.
On dit du bois que c'est un matériau hygroscopique, c'est-à-dire qu'il peut absorber et rejeter de l'eau dans son environnement. Il n'y a rien de surprenant à cela! Les arbres ont besoin d'eau pour survivre.
Le bois du chêne blanc est caractérisé par le fait qu'il ne pourrit pas, c'est aussi la raison qui l'a rendu rare et menacé d'extinction aujourd'hui, car il était autrefois utilisé pour la production de barils, de navires et de planchers.
Le cèdre est reconnu pour avoir aussi cette qualité. La Pruche, le Pin, l'Épinette etc... sont aussi résistants.
Un bois trop humide
Au-delà, une partie de l'énergie thermique sera utilisée pour évaporer l'eau que contient le bois, sans produire de chaleur. Un bois complètement humide ne « brûlera » donc pas réellement. Il se consumera et se transformera en une sorte de charbon, sans vous fournir beaucoup de chaleur.
On considère le bois de chauffage comme sec et propre à consommer lorsque son taux d'humidité est égal ou inférieur à 20 %. L'humidité sur masse sèche est utilisée par les menuisiers et charpentiers.
Selon les professionnels dans le milieu de la menuiserie toutefois, on peut qualifier le peuplier, le sapin, le frêne, le hêtre, le chêne, le châtaigner de bois faciles à travailler par rapport à d'autres.
Imperméabiliser doit permettre les échanges
Imperméabiliser un bois pour le protéger consiste donc à lui appliquer un produit hydrofuge de façon à éviter que l'eau ou tout autre fluide puisse le pénétrer, s'imprégner.
Le taux d'humidité idéal se situe entre 40% et 70% Un air vicié et humide entraînera des moisissures et de la condensation pouvant endommager les parois de votre bâtiment. Le renforcement de l'isolation et une bonne ventilation sont la meilleure réponse à un taux d'humidité trop élevé
Eviter à un bois de se fendre avec le saturateur bardage, reste une excellente solution préventive afin d'empêcher au bois de se déformer. Le bois lorsqu'il sèche fini par perdre petit à petit une grande quantité d'eau qui s'évapore dans l'atmosphère.
Test d'impact – en frappant deux bûches l'une contre l'autre. Ce test permet d'évaluer plus ou moins si son bois est assez sec ou non, en frappant deux bûches l'une contre l'autre. Si le bois est dur et a un bruit qui résonne alors il est sec ; dans le cas contraire, si le bois est mouillé, il est très peu sonore.
Plusieurs facteurs peuvent être à l'origine de ces fissures. Parmi les plus courants, on retrouve l'essence du bois en question, la méthode d'entreposage, l'exposition au soleil, la teneur en humidité, la température et également les procédés de séchage du bois.
Bien au au contraire : il est impératif d'éviter que le bois soit constamment mouillé par la pluie. Le risque est alors non seulement de rallonger la durée de séchage, mais aussi de voir de la moisissure apparaître sur les bûches, rendant leur combustion quasiment impossible.
Celles-ci sont classées en trois groupes, du plus fort pouvoir calorifique au plus faible : Le chêne, le charme, le hêtre, le frêne, l'orme et l'érable offrent le meilleur rendement : 2 000 kWh par mètre cube apparent.
chauffer le four à une température de 85 ° C (2 à 3 jours), reposer le bois hors du four. Ce repos est essentiel pour le bois sèche complètement. En effet, après le passage des bûches dans le four, seul l'extérieur de ces dernières est sec.
Les bois de chauffage humides : non seulement, il a un pouvoir calorifique faible, mais en plus, il encrasse énormément votre installation ; Les résineux : dans cette catégorie, on peut citer le peuplier, le bouleau, le platane, l'épicéa, le sapin, le pin, le mélèze.
Le bois de chêne produit des braises qui durent longtemps, mais il demande un gros apport de température pour éviter la production d'acide tannique qui pourrait noyer le bois. Le bouleau est un bon bois : il se distingue par une belle flamme bleue mais brûle plus vite que le bois de hêtre.
Bois de chauffage qui ne chauffe pas
Si votre bois brûle et ne chauffe pas, c'est qu'il est encore une fois trop humide. Certaines essences de bois tendre, ne dégagent pas de chaleur à la combustion, ll faudra, la prochaine fois veillez à vous faire livrer des buches de feuillus durs.
Les différentes essences de bois
représente les bois les plus solides, les bois classiques tels que le chêne, le frêne, l'orme et l'acacia. reprend les bois les plus durables, on y trouve l'acacia foncé, le wengé et le azobé.
Les bois naturellement imputrescibles sont les bois exotiques d'Asie ou d'Amazonie comme le teck ou l'ipé par exemple. Ce sont des bois onéreux, rares, et la forte demande européenne en menace les forêts. L'alternative durable est le traitement des bois européens avec un procédé naturel comme le frêne thermo-chauffé.
Classe 4 : Les bois classe 4, sont des bois qui peuvent être en contact permanent avec l'eau douce, ces bois sont davantage stabilisés, ils sont imputrescibles.