Pour prendre l'exemple du Beau en soi (déjà exposé dans le Banquet ), il s'agit de la Beauté éternelle et absolue, à laquelle participent les multiples choses belles, ces dernières n'ayant accès qu'à un beau relatif et particulier.
Opposé au laid, le beau est une catégorie esthétique fondamentale. À côté du bien et du vrai, il constitue l'un des trois concepts normatifs auxquels peuvent se ramener les jugements d'appréciation.
Le critère du beau, c'est l'apparaître perceptif de la vérité comme déformation cohérente du réel humain. La vérité esthétique, comme toute vérité, n'est jamais simplement particulière et locale : elle se veut universelle ou, du moins, potentiellement universelle.
Le beau est du côté de l'utilité et de la rectitude, et non du plaisir. Ce dernier n'est donc pas le critère du jugement esthétique, du jugement de goût. Ainsi et bien que Platon établisse la spécificité du plaisir esthétique, il n'en fait pas un critère de jugement ultime.
Le beau est communément défini comme la caractéristique d'une chose qui au travers d'une expérience sensorielle (perception) ou intellectuelle procure une sensation de plaisir ou un sentiment de satisfaction ; en ce sens, la beauté provient par exemple de manifestations telles que la forme, l'aspect visuel, le ...
Le beau est un concept esthétique et parfois moral. Il est le résultat d'un jugement subjectif en adéquation avec un idéal défini. Il fait naître ce que les philosophes appellent le sentiment esthétique (sentiment de plaisir, de satisfaction lié à la contemplation de cet idéal).
La beauté est fondamentalement liée aux particularités d'une personne. Il s'agit d'une sorte d'harmonie entre l'intérieur et l'extérieur : l'harmonie entre la personnalité et le physique.
Selon la première définition de Socrate, le beau serait donc l'éclat d'une splendeur exubérante ; et cette traduction, voire cette interprétation, change le sens du Hippias majeur du tout au tout.
Le beau, objet d'une satisfaction désintéressée
On comprend dès lors pourquoi Kant, au § 5 de la Critique de la faculté de juger, affirme que le beau est l'objet d'un plaisir désintéressé.
A travers le beau, l'homme fait son propre éloge et se glorifie. Pour Nietzsche, la première vérité esthétique (pour lui, les valeurs sont les seuls vraies valeurs esthétiques) est la suivante : « Rien n'est beau, il n'y a que l'homme qui soit beau : sur cette naïveté repose toute esthétique, c'est sa première vérité.
Le beau est un sentiment de satisfaction; il ne se confond pourtant pas avec l'agréable. Ce qui est agréable plaît aux sens (odeur de rose); ce qui est beau s'adresse à l'esprit (poème).
La beauté réunifie le corps et l'esprit…
Grâce à lui, nous réapprenons à nous fier à nos sensations. Dans le plaisir esthétique, le corps et l'esprit se réunifient : pris entièrement par l'émotion qui nous traverse, nous oublions le paraître qu'exige de nous la vie en société. Nous sommes, tout simplement.
Le Beau, à la différence du bon ou de l'agréable, est un sentiment dont j'estime qu'il devrait être partagé par tous. C'est pourquoi selon Kant le beau est ce qui plaît universellement. C'est donc une contradiction dans la mesure où ce qui est beau est ce qui plaît et est subjectif, mais sans être pour autant relatif.
La beauté d'une femme n'est pas dans son maquillage, mais dans la vraie beauté de son âme. C'est la tendresse qu'elle donne, l'amour, la passion qu'elle exprime. Mais c'est avant tout la cohérence et l'authenticité qui priment. Ces conseils perdent tout leur sens si vous oubliez d'être sincère et vraie.
La beauté, c'est se sentir à l'aise dans son corps, quelle que soit sa morphologie, avoir confiance en soi et en ce que l'on peut accomplir, et avoir du charme.” La beauté, c'est la force. Et la force est la beauté. C'est la confiance intérieure, l'assurance.
L'astuce qui fait la différence : hydrater les zones que l'on a tendance à oublier : cou, contour des lèvres et des yeux qui ont en plus, tendance à se dessécher plus rapidement. Adopter une routine quotidienne permet de révéler son plus beau visage avec une peau souple, rebondie et éclatante de santé.
Ce sont les maximes suivantes : 1. Penser par soi- même ; 2. Penser en se mettant à la place de tout autre ; 3. Toujours penser en accord avec soi-même.
“La nature agit, l'homme fait.” “Dans les ténèbres, l'imagination travaille plus activement qu'en pleine lumière.” “Deux choses remplissent mon esprit d'une admiration et d'un respect incessants : le ciel étoilé au dessus de moi et la loi morale en moi.”
Aujourd'hui, d'autres valeurs priment. Serge : Pour être beau, il faut se sentir bien dans sa peau, avoir la santé et le moral. Mikaëla : Être toujours présentable et coquette est une question de respect de soi et des autres. Cela fait partie des choses importantes au quotidien.
Les gens qu'on interroge, pourvu qu'on les interroge bien, trouvent d'eux-mêmes les bonnes réponses. La chute n'est pas un échec. L'échec, c'est de rester là où on est tombé. Si un âne te donne un coup de pied, ne lui rends pas.
Au sens restreint, le beau est à peu près synonyme d'harmonie et il n'est qu'une valeur esthétique parmi d'autres, qu'on distinguera de valeurs concurrentes comme le gracieux, le sublime, l'émouvant, le troublant, le comique, etc.
Toutes les cultures n'ont pas les mêmes critères de beauté. Dans certaines cultures, avoir une peau très pâle est valorisé alors que pour d'autres, ce sont les courbes qui ont la cote. Et au-delà des standards culturels, chaque personne a ses propres goûts qui influencent sa définition de la beauté.
Le relativisme esthétique est l'idée que les points de vue vis-à-vis de la beauté sont relatifs aux différences de perception et de considération, et n'ont intrinsèquement aucune vérité ou validité absolue.
La beauté d'une femme n'est pas dans les vêtements qu'elle porte, son visage ou sa façon d'arranger ses cheveux. La beauté d'une femme se voit dans ses yeux, car c'est la porte ouverte sur son coeur, la source de son amour. La beauté d'une femme n'est pas dans son maquillage, mais dans la vraie beauté de son âme.