Le cerveau humain peut enregistrer environ un million de milliards de bits, soit infiniment plus que n'importe quel ordinateur. Mais à la différence de ce dernier, la mémoire humaine est sélective : elle ne garde que les informations potentiellement utiles.
La mémorisation est le résultat d'un processus biochimique dans lequel les neurones jouent un rôle essentiel. Lorsqu'une information arrive à un neurone, des protéines sont produites et permettent de créer un réseau spécifique de neurones associé au souvenir.
Autre point : on sait que le cerveau retient mieux lorsqu'il est bien reposé, mais aussi qu'il “révise” ses informations pendant la nuit. Une bonne façon de mémoriser une leçon consiste donc à la lire le soir avant de se coucher.
Mémoire sémantique, mémoire procédurale et mémoire perceptive.
Le chef d'orchestre de cette communication est l'hippocampe. Il participe à la mémorisation durable des faits et des événements depuis la mémoire à court terme vers la mémoire à long terme2-3.
Il est constitué de trois parties principales: Le cerveau proprement dit remplit une très grande partie de la boîte crânienne. Il contrôle la mémoire, la résolution de problèmes, la pensée, les sensations ainsi que les mouvements.
Le cortex moteur est loin d'être la seule région du cerveau impliquée dans la commande et le contrôle des mouvements. Il faut également mentionner le rôle important des ganglions de la base et du cervelet. Les ganglions de la base interviennent dans une boucle complexe reliant différentes aires corticales.
L'hypermnésie est un syndrome caractérisé par une mémoire exceptionnelle. L'hypermnésie autobiographique ou hyperthymésie, rare, engendre la capacité de se souvenir très précisément et sans effort de chaque jour de sa vie à partir d'un moment spécifique de son enfance.
Rechercher la nouveauté : lire régulièrement de nouveaux livres, apprendre de nouvelles disciplines : instrument de musique, langues étrangères, bricolage… choisissez une activité qui vous plait. Jouer est aussi un moyen très efficace : jeux de société, jeux de cartes, mots croisés, et même les jeux vidéo….
Comment “sauver” notre propre cerveau ? : en le reprogrammant de manière durable pour orienter nos pensées vers du positif. Pour en finir avec ses propres émotions erronées, la solution consiste à adopter un système de pensées, d'émotions et d'expressions “positives”.
Lancez-vous dans de nouveaux projets, acceptez de nouvelles responsabilités, et placez votre cerveau en mode action ! Ensuite, faites attention à votre environnement direct et à votre entourage. Ces derniers influencent énormément votre capacité à programmer votre mental.
Le lobe frontal est celui qui contrôle l'ensemble du cerveau. Le lobe temporal : Il sert à entreposer l'information qui est conservée en mémoire à long terme. Contrairement au lobe frontal qui joue le rôle de moteur de recherche, le lobe temporal est comparable à une banque de données.
Les médicaments qui agissent sur le cerveau, comme les anxiolytiques, les antidépresseurs, mais aussi les somnifères. En modifiant la manière dont les neurones communiquent, ils perturbent la mémoire et la concentration. Le stress.
Le fruit le plus riche en antioxydant est le bleuet, suivi par la canneberge, la mûre, la framboise et la fraise. Des études menées avec des animaux de laboratoire ont démontré que la consommation de bleuets pouvait aider à freiner la perte de mémoire et même renverser le processus.
Ces troubles peuvent survenir à cause d'une maladie affectant la mémoire. Ils peuvent également être d'origine émotionnelle. Stress, fatigue, anxiété peuvent altérer la capacité à mémoriser, de même qu'une alimentation carencée, un problème d'alcoolisme, un excès de médicaments ou une fatigue excessive.
La logique et l'intelligence reposent en partie sur la mémoire, car il faut avoir acquis des connaissances pour résoudre des problèmes ou créer. Comme le disait Picasso, la peinture c'est comme le chinois, ça s'apprend.
C'est un phénomène connu : la fatigue, les apnées du sommeil ou le manque chronique de sommeil peuvent entraîner une baisse de la concentration et des pertes de mémoire. le stress et la dépression, les événements traumatisants. certaines carences alimentaires, notamment en vitamine B1 ou B12.
Les causes des oublis fréquents
Si l'attention peut être mise en cause, le tempérament d'une personne étourdie est une autre cause possible. Ce n'est pas tout : le stress des vies surchargées et trépidantes est souvent à la base de ces trous de mémoire.
Le cerveau a besoin de vitamines C et B (B1, B3, B9, B12), de protéines, d'oxygène, des acides gras, de fer et d'eau. La mauvaise qualité nutritionnelle du petit déjeuner réduit les performances de 10%, selon Jean-Marie Bourre (membre de l'Académie nationale de médecine).
La dépression se manifeste par un déréglement chimique à l'intérieur du cerveau. Il s'agit d'une faille de neurotransmission lors de laquelle le bon fonctionnement de certains neurotransmetteurs comme la dopamine, l'ocytocine et la sérotonine est entravé.