Le pain aux raisins, également appelé escargot, brioche aux raisins dans le sud de la France, couque aux raisins, couque escargot ou couque suisse en Belgique, pain russe à Lyon, escargot aux raisins ...
C'est le 1er août 1959 que l'association suisse des maîtres boulangers-confiseurs a lancé cette viennoiserie au beurre surmontée d'un petit fanion. D'après l'association, le petit pain du 1er août doit sa naissance à la semaine suisse.
La viennoiserie a apparu en France pour la première fois entre 1837 et 1839, quand un officier autrichien a ouvert une boulangerie viennoise à Paris (située dans rue de Richelieu). Le savoir-faire de la viennoiserie a été transmis des ouvriers viennois à leurs élèves français.
À Marseille, comme dans une grande partie du pays, le pain au chocolat est roi. Mais attention, dans le sud-ouest, si vous vous y rendez, notre meilleur ami du petit déjeuner se dit "chocolatine".
Pourquoi dit-on chocolatine alors ? Ces pâtisseries viennoises sont à l'époque faites à base de pâte à brioche et de chocolat.
selon les recommandations des projets correspondants. Un suisse, pavé suisse, pain suisse, pepito, brioche suisse, drop, cravate ou aussi une couque suisse en Belgique est une viennoiserie formée d'un rectangle ou d'une spirale de pâte briochée garnie d'une crème pâtissière à la vanille et de pépites de chocolat.
Le « pain au chocolat » ou « chocolatine » est une viennoiserie imaginée par les Autrichiens August Zang et Ernest Schwarzer. C'est en fait une version au chocolat du croissant issue des premiers croissants qu'ils vendaient entre 1837 et 1839 dans leur Boulangerie viennoise à Paris.
Croûton, quignon, chrochon ou trognon
La plupart de ces termes commencent par la lettre « C », probablement en référence à la croûte. Ainsi, selon les régions, on parle de croûton, de chrochon, de croûtion, de chrotchon ou de cujignon. Mais il y a aussi d'autres noms, comme trognon, quignon, gousignon ou entamon.
« Désignation péjorative du "Français" en Suisse romande [...] "Frouze" et "Frouzien" sont récents, "Françouze" est un calque de l'allemand, "Francillon" est plus ancien. »
La langue possède nombre de mots coquets pour décrire ce petit coup de bec qu'est donc le «bisou». «Bécots», «papouilles», «poutous»... À chacun sa façon d'embrasser. Il y a même une journée, le 6 juillet, pour fêter le «baiser».
quignon n.m. Morceau de gros pain contenant beaucoup de croûte.
Une tradition fait de Marie-Antoinette d'Autriche, originaire de Vienne, celle qui aurait officiellement introduit et popularisé en France le croissant à partir de 1770, d'où le nom de viennoiserie.
Contrairement aux idées reçues, le croissant n'est pas une pâtisserie qui a été créée en France, mais en Autriche. Plus particulièrement dans la ville de Vienne. Selon une des légendes racontées sur le sujet, ce produit du petit-déjeuner est né lors du siège de la ville par les Turcs, en 1683.
L'histoire du chocolat remonte à 4 000 ans, dans l'antique Méso-Amérique qui incluait entre autres le Mexique d'aujourd'hui, où les premiers cacaoyers ont été trouvés. La civilisation Olmèque, l'une des plus anciennes d'Amérique latine, a été la première à transformer le cacao en chocolat.
Il s'est développé dans le pays au début du XIXe siècle, lorsque la Suisse représentait une destination touristique réservée à la haute société. Or le chocolat était un mets raffiné très cher – l'importation du cacao coûtant une fortune – que seul l'élite pouvait s'offrir.
La texture du chocolat suisse est un autre élément qui a garanti son succès. Fruit de l'innovation, sa finesse et son onctuosité sont obtenues grâce à une technique appelée conchage. Cette opération permet une homogénéisation du produit, et un développement des arômes.
Ce pain brioché est souvent associé aux petits déjeuners dominicaux pris en famille. Les archives fédérales attestent de son existence à partir du XVe siècle et du fait qu'il s'agirait selon toute probabilité d'une invention des boulangers helvètes, mais la tradition populaire rapporte la légende suivante...
“Les boulangers qui vendaient cette viennoiserie l'ont rebaptisée pain au chocolat pour qu'un lien soit fait avec leur métier. Ils ont également décidé de la renommer ainsi car elle se consommait au goûter et à cette heure-là, les gens mangeaient du pain avec un bout de chocolat”, dit le boulanger toulousain.
Le croissant désigne un petit pain en pâte levée ou feuilletée, abaissée en triangle, roulée et incurvée en forme de croissant de lune. L'origine de cet article de viennoiserie remonte à l'époque où les Turcs assiégeaient la capitale de l'Autriche Vienne en 1683.
Étymologie. (Adjectif) Participe présent de croître. (Nom 1) De la phase dans laquelle la lune est en train de croître. (Nom 2) Du breton kroashent .
"En France, explique Marcel Derrien, le croissant avait la forme d'un pain au lait et était essentiellement produit par les boulangers. Ce sont les pâtissiers qui lui ont donné sa forme si particulière pour justement se démarquer des boulangers."
Le mot dérivé « viennoiserie » est issu de l'adjonction du suffixe « -erie » à l'onomastisme « viennois », lui-même dérivé du nom de Vienne. En français, une viennoiserie, de même qu'une chinoiserie, peut faire référence à une activité ou un « objet dans le goût viennois ».
A l'odeur, votre croissant ou votre pain au chocolat doit dégager des arômes de crème et de beurre fin. La mie doit être légère, irrégulièrement alvéolée et, lorsque l'on détache les cornes, on doit sentir une petite résistance: elles doivent s'étirer en douceur.
Croûton, quignon, crotchon ou encore croustet... L'extrémité d'un bout de pain n'a pas fini de diviser les Français.
Extrémité d'un pain présentant plus de croûte que de mie.