Le syndrome de Claude Bernard-Horner affecte une partie du visage, provoquant une chute de la paupière, une constriction de la pupille et une augmentation de la transpiration. Il est causé par une perturbation des fibres nerveuses qui relient le cerveau à l'œil.
Le syndrome de Bernard-Soulier est une maladie des plaquettes sanguines qui les empêche d'adhérer au site d'une lésion vasculaire à l'origine d'un saignement.
Le syndrome de Claude-Bernard Horner provoque une ptose, un myosis et une anhidrose. Il résulte d'une lésion centrale ou périphérique (préganglionnaire ou post-ganglionnaire) qui perturbe la voie sympathique cervicale, qui va de l'hypothalamus à l'œil.
Si elle est identifiée, la cause du syndrome de Claude Bernard-Horner est traitée. Cependant, il n'existe pas de traitement spécifique pour le syndrome de Claude Bernard-Horner. Souvent, aucun traitement n'est nécessaire, car en général la chute de la paupière n'est que légère.
Le principal symptôme est la fermeture partielle de la paupière, amenant une perte du champ visuel plus ou moins importante. Il peut également être responsable d'une gêne à la lecture liée à l'aggravation du ptosis dans le regard vers le bas. Il peut toucher un oeil ou les deux, une seule paupière ou les deux.
Il existe à l'heure actuelle un grand nombre de pathologies plaquettaires héréditaires différentes. Certaines s'accompagnent d'une baisse du taux de plaquettes, on parle alors de thrombopénie, alors que d'autres ne sont caractérisées que par un défaut de fonction des plaquettes, et on parle alors de thrombopathie.
Les thrombopathies sont des pathologies liées à des anomalies de fonctionnement des plaquettes. Celles-ci ne peuvent donc remplir leur rôle d'arrêter le saignement en comblant une brèche vasculaire (hémostase primaire) et de permettre à la coagulation plasmatique de se mettre en place rapidement et efficacement.
Une thrombopénie correspond à une baisse des plaquettes dans le sang (moins de 150 G/l) avec un risque d'hémorragie grave et imprévisible lorsque le taux est inférieur à 50 G/l.
Les principaux symptômes de la thrombopénie sont des hémorragies, visibles sous forme de pétéchies ou purpura, soit des taches rouges ou violacées sur la peau. Des saignements anormaux au niveau du nez et de la bouche, des règles abondantes chez les femmes, et des hématomes peuvent également survenir.
Une thrombopénie ou thrombocytopénie est une diminution pathologique du nombre de plaquettes contenues dans le sang. Cette anomalie expose à un risque d'hémorragie. La prise en charge vise à traiter le trouble sous-jacent à l'origine de la thrombopénie.
La thrombocytopénie est un trouble causé par une baisse du nombre de plaquettes dans le sang. Les plaquettes sont aussi appelées thrombocytes. Elles sont fabriquées dans la moelle osseuse et aident le sang à coaguler.
La thrombocytémie essentielle est une maladie rare qui touche entre 2.000 et 5.000 personnes en France. Cette maladie de sang est caractérisée par une élévation durable du nombre de plaquettes.
Le faible nombre de plaquettes, ou thrombocytopénie, est un effet secondaire courant des cancers du sang (leucémie) et de leur traitement. Ils peuvent également être causés par des maladies auto-immunes, une grossesse, une forte consommation d'alcool ou certains médicaments.
La maladie d'Alzheimer.
La maladie d'Alzheimer et autres démences sont les plus fréquentes des maladies neurodégénératives. Elles représentent une cause majeure de perte d'autonomie.
Faiblesse musculaire, maux de tête, troubles du sommeil, dérèglement des sens, tremblements, mauvaise coordination… Dès l'apparition des premiers symptômes, prenez rendez-vous chez votre médecin traitant qui saura interpréter les signaux d'alerte et vous orienter vers un neurologue si votre état le nécessite.
La thrombocytémie essentielle, qui correspond à une prolifération de plaquettes, est ce que l'on appelle un syndrome myéloprolifératif. Considérés comme des cancers du sang, les syndromes myéloprolifératifs se caractérisent par une hyper-production de cellules sanguines et tout particulièrement de l'une d'entre elles.
Une baisse des plaquettes, appelée thrombopénie, entraîne un risque hémorragique. Les plaquettes sont basses, lorsque leur nombre est inférieur à 100 000/mm³. Le risque hémorragique est majeur en dessous de 30 000/mm³.
La leucémie s'accompagne, dans sa première phase, de fièvre, d'infections à répétition (pneumonies, bronchites, angines persistantes malgré les antibiotiques…), de fatigue liée à une anémie, de perte de poids. La coagulation du sang se faisant mal, des ecchymoses ou des saignements anormaux peuvent apparaître.
Même si les plaquettes restent basses, le PTI n'empêche pas de vivre normalement. Il est tout à fait possible de marcher, courir, partir en voyage, faire du sport (voir ci-après) ou conduire une voiture comme tout le monde.
Le purpura thrombopénique immunologique ou « PTI » une maladie bénigne du sang, ce n'est donc ni une leucémie ni un cancer. Il se traduit par une baisse anormale du taux de plaquettes. Il s'agit d'une maladie auto-immune au cours de laquelle le système immunitaire du patient fonctionne de manière trop importante.
Traitement de la thrombocytopénie
) est traitée par prednisone (médicament qui inhibe le système immunitaire pour réduire la destruction plaquettaire), des médicaments qui stimulent la moelle osseuse pour augmenter la production de plaquettes, et parfois l'ablation de la rate (splénectomie).
Les corticoïdes augmentent le taux des éléments figurés, normaux, du sang périphérique. Ceci se traduit par : Une augmentation du taux des globules rouges, des plaquettes et des polynucléaires neutrophiles. Dans une moindre mesure, une élévation du nombre de lymphocytes, de polynucléaires basophiles et éosinophiles.
Causes de la thrombocytose
La myélofibrose primitive, les syndromes myélodysplasiques myéloprolifératifs (dont certaines leucémies ou anémie) et le syndrome 5q-, des maladies chroniques qui se caractérisent par une production excessive d'un ou de plusieurs types de cellules sanguines par la moelle osseuse.