Il s'agit d'un problème de perception de la vitesse par l'œil ou l'oreille interne, qui envoient une mauvaise information au cerveau et engendre, notamment lors d'un virage ou d'un dépassement, une sensation d'aspiration ou de bascule.
Plusieurs solutions pour travailler sa phobie de l'autoroute : La technique des TCC, Thérapies Cognitives et Comportementales, permet d'annuler les divers traumatismes vécus par le sujet pour lui permettre de reprendre la conduite.
Il existe plusieurs causes. Tout d'abord un manque de confiance en soi et/ou en ses capacités à conduire peut entraîner la peur de faire une erreur de conduite, d'avoir ou de créer un accident de la route. Autre cause possible : la personne a vécu un événement traumatisant lié à la voiture ou à la conduite.
L'amaxophobie est la peur de conduire une voiture. Elle se manifeste par une grande anxiété au moment de prendre le volant, seul ou accompagné, la nuit, le jour, sur l'autoroute, après un accident... Quelles sont les causes ?
des anxiolytiques (benzodiazépines et buspirone) : ces médicaments ont une action rapide contre le stress et l'anxiété. Ils sont en général prescrits sur de courtes durées et à de faibles doses, par exemple avant que les antidépresseurs ne fassent effet. Ils doivent également être arrêtés de manière progressive.
- Lorsque vous êtes à l'arrêt, placez vos mains à 9H15 sur le volant. Calez-vous bien au fond de votre siège. - Inspirez, en contractant les épaules et en serrant le volant. - Expirez en vidant totalement l'air de vos poumons relâchez-les !
Le moment le plus important de votre formation à la conduite est bien évidemment le jour où vous passez l'examen. Vous devez vous présenter en sachant ce que l'on attend de vous, et en connaissant les erreurs qui peuvent être éliminatoires. Cela vous enlèvera peur, stress et anxiété, croyez-nous!
Une seconde solution possible est de pratiquer un sport ou des techniques de relaxation avant de prendre le volant. Le conducteur, reposé et libéré de ses soucis, pourra alors prendre la route bien plus en confiance.
Moins de stress = moins de fatigue. 3/ Des pauses toutes les deux heures minimum : au-delà de la classique pause-pipi, rien ne vaut le bon air frais (celui de l'aire d'autoroute fera l'affaire). Quelques pas pour se dégourdir les jambes, s'étirer, passer un coup de fil...
« L'amaxophobie est la peur irrationnelle de conduire ou prendre la voiture », nous indique Alexandra Lecart. Ce mot est composé du terme grec « amaxo » qui signifie « chariot » et de « phobia » qui signifie peur.
Une maladie du tronc cérébral ou du cervelet
Très rarement, des vertiges sont présents en cas d'accident vasculaire cérébral (AVC) touchant le tronc cérébral ou le cervelet, de tumeur ou de maladie neurologique comme une sclérose en plaques.
Le médecin traitant ou le médecin spécialiste (médecin ORL, neurologue) interroge d'abord son patient sur les caractéristiques de ses vertiges, puis il l'examine.
Autres causes possibles : Les troubles de l'équilibre et les vertiges peuvent être dus à une migraine, une hypotension, la compression de nerf, des troubles musculaires, à la consommation d'alcool et de drogues, au mal des transports ou à certains médicaments (neuroleptiques, antidépresseurs, antiépileptiques…)
Pour les passagers, la peur en voiture vient souvent d'un manque de maîtrise de la situation (sensation de faiblesse) mais aussi, parfois, d'un manque de confiance en la personne qui conduit. Ces pics d'anxiété peuvent être apprivoisés grâce à une gestion du stress optimisée et à un travail sur soi.
Il n'existe pas de médicaments spécifiques pour traiter l'amaxophobie, on parle plutôt de traitement par psychothérapie. Comme pour une grande partie des phobies, la thérapie cognitive et comportementale (TCC) a largement démontré son efficacité pour en soulager les symptômes.
Premier examen de France en nombre de candidats, le permis B est aussi l'un des plus difficiles et 16 % des jeunes de 18 à 24 ans ne le tentent pas «par peur d'échouer». Facultatif en ville. Le permis n'a également pas le même intérêt selon l'endroit où l'on réside.
Cela peut être dû à un stress post-traumatique suite à un accident violent, un manque de confiance en soi, une peur terrifiante de conduire après un permis récent… Quoi qu'il en soit, il s'agit bien d'une phobie de la conduite, car les sujets concernés reconnaissent l'incohérence et la démesure de leur crainte.
Même si certains usagers de la route ont passé leur permis il y a des années, voire des dizaines d'années, et n'ont que très rarement touché à la conduite, cela ne s'oublie pas totalement. En effet, lors de leur formation au permis de conduire, tous les automobilistes mettent en place des automatismes.
L'attaque de panique ou crise d'angoisse aiguë se définit par : l'apparition soudaine d'une crainte, d'une angoisse ou appréhension intense, d'une peur ou terreur ; une sensation de catastrophe imminente, souvent associée à la peur.
Sur quelle voie circuler ? Comme pour les autres axes routiers, les automobilistes doivent rouler sur la voie la plus à droite, sans empiéter sur la bande d'arrêt d'urgence. Les autres voies sont destinées au dépassement. Veillez à bien vous rabattre sur votre voie une fois que vous avez terminé de dépasser.
En particulier sur autoroute, lorsque la circulation est fluide et que les conditions atmosphériques permettent une visibilité et une adhérence suffisantes, les conducteurs utilisant la voie la plus à gauche ne peuvent circuler à une vitesse inférieure à 80 km/h.”
Respectez les limitations de vitesse.
(130km/h par beau temps ou 110km/h par temps de pluie – code de la route). Vitesse minimum sur autoroute : 80km/h sur voie de gauche, voie du milieu et droite pas de vitesse minimum, mais il semble qu'en dessous de 50km/h vous seriez verbalisé (même sur voie pour véhicule lent).