la dimension affective (les 5 sens, les émotions et sentiments) la dimension intellectuelle (la faculté de compréhension, la mémoire, le raisonnement, la volonté et la capacité de faire des choix etc.) la dimension sociale (la relation avec les autres par la communication, le service, la collaboration etc.)
Les hommes ont en moyenne une taille, une masse et une puissance musculaire supérieures à celle des femmes. Leur système pileux est en général plus développé : leur caractère sexuel secondaire le plus visible est d'ailleurs souvent la barbe.
Dans la définition métaphysique traditionnelle, « l'homme est présenté d'emblée comme un certain être qui, à la différence des autres animaux, serait doué d'une faculté qui lui assure un certain rayonnement, la faculté de raisonner ».
être conscient et doué de raison. L'animal est privé de raison et de conscience ; c'est pourquoi, l'homme peut en disposer à sa guise. L'homme, à la différence du vivant, possède une dignité. La dignité définit la valeur intrinsèque d'une personne.
Pour l'être humain primitif, toute forme perçue possède une âme qui lui est propre. Il vit ainsi dans un monde dont il est très solidaire et y participe au même titre que l'animal, l'arbre ou la pierre. À l'opposé, dans une société traditionnelle, l'humain est unique et séparé du reste du vivant.
La nature de l'homme est son état parfait, elle se montre dans l'homme qui suit sa raison ; par ce biais, l'homme parfait s'avère totalement ordonné ou juste. De ce fait, le propre de l'homme est sa justice (et non pas son intelligence).
L'humain fait un usage très peu spécialisé de son corps : il sait faire beaucoup de choses, mais rien mieux que tous les autres animaux. Le guépard court bien plus vite, l'aigle a une vue plus aiguisée, le dauphin nage mieux, les oiseaux savent voler, le chien a un odorat hors pair, le gorille est plus fort, etc.
L'homme est cet être vivant qui se distingue à la fois par sa capacité à vivre en groupe, mais aussi par le fait qu'il sache raisonner, réfléchir et qu'il puisse parler, dans le sens d'avoir un langage articulé, doué de sens.
INTRODUCTION D'après la philosophie classique, l'homme se définit par la pensée, la conscience. Il est maître de ses pensées ainsi que les actes qu'il pose. C'est pourquoi René Descartes déclare : « je pense dont je suis ». Autrement dit, c'est la pensée qui définit l'homme.
“L'homme se distingue de l'animal en ceci qu'il est doué d'arrière-pensées.” “Nous sommes le seul animal qui soit surpris de l'univers, et qui s'étonne tous les jours de n'en être pas plus étonné.”
C'est un humanisme de l'indignation, de la fraternité, qui combat toutes les atteintes à l'humanité, l'exploitation de l'homme par l'homme, l'intolérance, l'esclavage, et la liste hélas interminable de toutes les violences et souffrances que des humains infligent à d'autres humains.
Les pythagoriciens croyaient dans la transmigration (réincarnation, pour faire simple) de l'âme : l'âme, après la mort, migrera vers un autre corps. Cette transmigration est très complexe, parce qu'il ne s'agit pas de l'âme entière ; autrement, tout être humain aurait mémoire de ses vies antérieures.
Définie comme la représentation des idées et de leurs liaisons par l'esprit, la pensée apparaît comme le propre de l'homme – selon la formule célèbre de Pascal : « L'homme est un roseau pensant. » Elle est donc absolument essentielle, et, pour cette raison, elle fait l'objet de nombreuses analyses et critiques.
Ce n'est pas de vaine gloire, et de condition que les hommes doivent disputer entre eux ; et ce qui nous distingue parfaitement les uns des autres, c'est la sagesse, et la vertu."
L'Homme est composé de quatre dimensions : physique, psychique, intellectuelle, spirituelle. Peut-on mieux les définir ?
Selon ce modèle en cinq facteurs (modèle dit des Big Five), les différences de personnalité entre individus correspondraient à diverses combinaisons des cinq dimensions fondamentales. Quelles sont-elles ? L'extraversion, l'agréabilité, la conscience, le névrosisme et l'ouverture.
La conscience est la présence constante et immédiate de soi à soi. C'est la faculté réflexive de l'esprit humain, c'est-à-dire sa capacité à faire retour sur soi-même. C'est la conscience qui permet à l'homme de se prendre lui-même comme objet de pensée, au même titre que les objets extérieurs.
Ainsi, lorsque l'on dit de l'homme qu'il est conscient, cela signifie deux choses : Qu'il se sait en relation avec une réalité extérieure : par l'intermédiaire du corps, des sens, sa conscience lui permet de saisir les objets qui l'entourent.
La notion de conscience recouvre trois cas de figures différents : la conscience de soi désigne la capacité de réflexion qui caractérise la subjectivité ; la conscience d'objet signifie la faculté du sujet à se représenter les choses extérieures ; la conscience morale enfin désigne une capacité non plus théorétique ...
→ L'homme remet de l'ordre dans le monde et le maîtrise par la réflexion et l'action. L'homme transforme la nature. Il a une rationalité économique : il modèle l'environnement pour satisfaire ses besoins dans un contexte de rareté des ressources.
Il est en permanence sous la menace des prédateurs et aussi de ses propres congénères. Il est dépendant des lois de la nature. Pouvoir choisir, ne pas être soumis à ses instincts, sont les signes les plus évidents de la liberté humaine.
L'homme fait partie de l'embranchement des vertébrés. Il est doté d'un squelette interne, avec une colonne vertébrale et des vertèbres. Tous les vertébrés possèdent cette caractéristique. Les autres animaux sont qualifiés d'invertébrés.
Un homme revient à dire un Monsieur, ex: un homme brun de 30 ans. Avec la femme (et les LGBT+, s'il faut être inclusifs), ils composent l'humain. L'Homme (avec un H majuscule, même en milieu de phrase) revient à dire l'humanité, l'espèce humaine, l'humain… L'Homme et l'humain sont synonymes.
Il est fondé sur la reconnaissance de l'unité de diversités humaines, des diversités de l'unité humaine. L'éthique planétaire est une éthique de l'universel concret.
« L'homme est un loup pour l'homme. » Chaque homme représenterait potentiellement un danger mortel pour les autres. Cet état permanent de menace découle du fait que tous les hommes sont égaux et que chacun peut désirer ce que l'autre a.