À partir de la puberté, l'hypothalamus stimule l'hypophyse, une petite glande située à la base du cerveau. Les sécrétions de FSH, une hormone folliculo-stimulante, et de LH, une hormone lutéinisante, augmentent, ce qui accélère la maturation des follicules ovariens, et avec, la production d'œstrogène.
L'excès d'œstrogènes peut être causé par la pilule contraceptive (contraception hormonale) ou un fibrome utérin. La dominance oestrogénique est souvent liée à de l'inconfort mammaire, à une prise de poids inexpliquée ou de maux de tête lors du cycle menstruel.
Ainsi, les fruits, les légumes, les céréales, les noix, les graines (ex. graines de lin,..) et les légumineuses en contiennent en quantité variable. La source la plus concentrée de phytoestrogènes est le soya. Un niveau élevé d'oestrogènes dans le sang augmente le risque de cancer du sein.
Une dépression, une irritabilité, une angoisse, une nervosité, des troubles du sommeil (allant jusqu'à l'insomnie), des difficultés de concentration, des céphalées et une fatigue peuvent également survenir. De nombreuses femmes ressentent ces symptômes pendant la périménopause.
On distingue différentes classes de substances parmi les oestrogènes, les isoflavones et les lignanes constituant les deux groupes principaux. Les isoflavones se trouvent principalement dans le soja et les autres légumineuses. Les lignanes sont présents essentiellement dans les graines riches en huiles, par ex.
Les traitements locaux de la sécheresse vaginale
Les estrogènes sous forme de crème vaginale, d'ovules ou d'anneau vaginal peuvent également être prescrits par le médecin en cas de sécheresse vaginale due à la carence en estrogènes lors de la ménopause.
Les trois œstrogènes naturels sont l'estradiol, l'estriol et l'estrone. Dans le corps, ils sont tous produits au départ d'androgènes sous l'effet d'enzymes. L'estradiol est produit à partir de la testostérone et l'estrone à partir de l'androstènedione.
Ménopause et baisse d'œstrogènes
La quantité d'œstrogène devient alors de plus en plus faible au fur et à mesure du temps puisque les ovaires arrêtent d'en produire. A l'arrivée de la ménopause, généralement vers 50 ans, cela se répercute par différents changements corporels : bouffées de chaleur. insomnies.
Aliments riches en zinc : dans ce groupe, on peut trouver des graines, des noix, des légumineuses ou des champignons. Vitamine B : aliments comme les bananes, l'avocat, le maïs ou les flocons d'avoine. Oméga 3 : poissons gras, crustacés, huile d'olive, avocat, entre autres.
S'offrir des massages régulièrement. En plus de l'effet anti-stress, un massage va favoriser les échanges entre les tissus et drainer les toxines qui "encrassent” l'organisme. Ils sont très intéressants s'il y a un excès d'œstrogènes, comme ça peut arriver avec certaines pilules.
Les œstrogènes sont sécrétés surtout par l'ovaire (isolément dans la première moitié de chaque cycle menstruel, en association avec la progestérone dans la seconde moitié) et par le placenta au cours de la grossesse. Les glandes surrénales et les testicules en produisent de faibles quantités.
Comment savoir si j'ai un manque de progestérone ? Certains symptômes comme un cycle court, des spottings réguliers, des épisodes depressifs fréquents, de la fatigue chronique, les insomnies... sont des indicateurs assez fiables d'un manque de progestérone.
La sauge sclarée (Salvia sclarea) et la sauge officinale (Salvia officinalis) ont toutes les deux des propriétés oestrogène-like.
Les trois phyto-oestrogènes les plus importants sont les isoflavones (qu'on trouve dans plus de 70 plantes), les coumestanes (jeunes légumineuses comme les pousses de soja, de trèfle, d'alfafa) et les lignanes (présents dans le lin).
Manger des fibres solubles qui régulent les hormones et la concentration d'œstrogènes dans le sang (avoine, légumineuses, fruits secs, algues).
Si la ménopause n'est pas une maladie, la carence en œstrogènes qui lui est associée peut se manifester par des symptômes qui affectent parfois la qualité de vie des femmes. C'est aussi une période où des pathologies potentiellement graves (fractures ostéoporotiques, maladies cardiovasculaires...)
Le THS (oestrogène avec ou sans progestatif) est efficace pour atténuer les bouffées de chaleur, les sueurs nocturnes et la sécheresse vaginale, mais que l'utilisation du THS , même à court terme, est liée à l'accroissement des risques de caillots de sang, d'accidents cérébrovasculaires et des maladies coronariennes.
La leptine
En effet, en retour, cela permet d'avancer un métabolisme qui brûle une quantité de graisse. Afin d'optimiser la perte de graisse, une bonne concentration de leptine dans le sang est utile pour que le cerveau réactive au bon moment pour détruire la masse grasse indésirable.
Quel complément alimentaire pour réguler les hormones ? Les vitamines B6 et B9 permettent la régulation hormonale.
Œstrogène végétal: le soja, les graines de lin et le trèfle rouge contiennent des substances analogues aux œstrogènes, qui atténuent les bouffées de chaleur. Le millepertuis: des études établissent l'effet antidépresseur du millepertuis, surtout sous forme d'extrait concentré.
Mangez bien et insistez sur les acides gras de qualité (petits poissons gras, huiles oméga 3, oléagineux, ghee..). Notre corps en a besoin pour synthétiser nos hormones (notamment les hormones sexuelles). Évitez les aliments raffinés, industrialisés qui regorgent de perturbateurs endocriniens.