Le carburant non-brûlé peut également provoquer des fumées blanchâtres à l'échappement. Les injecteurs (encrassés), la pompe à injection (mal réglée), ou encore les bougies d'allumage (qui déclenchent la combustion du mélange air-essence) sur les moteurs à essence peuvent être en cause.
Le meilleur moyen d'éviter les fumées blanches est d'assurer une révision régulière de son automobile. Sur une voiture âgée, il faudra effectuer un contrôle récurent du joint de culasse et de la culasse, des injecteurs, des bougies d'échappement, des pièces moteur comme le vilebrequin ou encore la bielle.
Un rejet de fumée blanche peut être le symptôme de nombreux dysfonctionnements (fuite sur échangeur eau / huile, joint de culasse, injecteur défectueux, problème de filtre à particule ou du catalyseur, bougies de chauffe défectueuses…). Seul un expert en mécanique automobile pourra diagnostiquer la panne.
La fumée, ou boucane au Québec et en Acadie, est un nuage de gaz, de vapeurs (plus ou moins chaudes) et de particules solides émis par un feu, certaines réactions chimiques ou un échauffement mécanique.
Quand votre moteur est froid, le carburant — l'essence comme le gasoil — ne brûle pas complètement et rejette de l'eau. À moins de 10 °C, le mélange d'eau et de gaz non brûlé se condense et crée un nuage blanc. Pas de panique, une fois le moteur chaud après quelques kilomètres, tout devrait revenir à la normale.
Le carburant non-brûlé peut également provoquer des fumées blanchâtres à l'échappement. Les injecteurs (encrassés), la pompe à injection (mal réglée), ou encore les bougies d'allumage (qui déclenchent la combustion du mélange air-essence) sur les moteurs à essence peuvent être en cause.
L'exposition à la fumée peut provoquer une irritation des yeux, des larmes, de la toux et un écoulement nasal (nez qui coule). Si la fumée dure de plusieurs jours à plusieurs semaines ou si elle est vraiment épaisse, elle peut causer des problèmes pulmonaires et une toux plus persistante.
Fumée, gris fumée et bleu fumée sont des noms de couleur en usage dans la mode et la décoration pour désigner des couleurs claires, en référence à la fumée. La fumée bleue est souvent associée au cigare et à la cigarette.
Le tabac améliore les performances dans des sports où l'adresse, la vitesse de réaction, l'acuité visuelle, la maîtrise de soi, la précision et l'orientation spatiale sont essentielles. Il n'est pas pour autant considéré comme une substance dopante.
Normale à froid, si cette fumée blanche se produit lorsque le moteur est chaud, cela signifie que le joint de culasse est détérioré. C'est lui qui assure l'étanchéité entre le bloc-moteur et les cylindres, empêchant ainsi le liquide de refroidissement qui circule autour du moteur de pénétrer dans les cylindres.
Voiture qui fume : fumée blanche
Il faut alors changer le joint de culasse. Une pompe à injection mal réglée : sur un moteur diesel, l'injection doit être calée. Si elle se fait trop tôt ou trop tard, le moteur claque et la voiture dégage une fumée blanche. Seul un spécialiste peut régler la pompe à injection.
Lorsque le véhicule fonctionne au ralenti et qu'à l'accélération des fumées noires s'échappent, cela est dû à un filtre à air bouché. Le rôle de ce dernier est de contenir les particules contenues dans l'air. Encrassé, il entraîne une surconsommation de carburant.
Lorsque les segments ne jouent plus leur rôle, l'huile se répand dans la chambre de combustion et y est donc brûlée. C'est ce phénomène qui produit cette fumée bleue. Pour y remédier on pourra envisager le remplacement du système de segmentation mais bien souvent, un remplacement standard moteur sera conseillé.
Si de la fumée blanche à l'échappement peut être le résultat de dysfonctionnement divers et variés, sachez que le joint de culasse HS ou défectueux en fait partie. Plus caractéristique encore, cette fumée peut être légèrement bleu clair, signe que l'huile moteur et le liquide de refroidissement se mélangent.
Si votre joint de culasse est endommagé, votre moteur va surchauffer c'est-à-dire que sa température va excéder les 95°C. Cela va entraîner une baisse importante du niveau de liquide de refroidissement et une surconsommation d'huile moteur.
Des effets rapides
24 heures après la dernière cigarette : le corps ne contient plus de nicotine. 48 heures après la dernière cigarette : le goût et l'odorat s'améliorent. 72 heures après la dernière cigarette : respirer devient plus facile.
Il n'existe pas de moment précis pour arrêter de fumer. C'est une décision totalement personnelle qui doit être prise en fonction d'un certains nombre de contraintes personnelles : périodes de travail, soucis, vacances ou autres situations. Le meilleur moment est celui décidé par le fumeur.
2 semaines à 3 mois après la dernière cigarette, on récupère du souffle et on marche plus facilement. 1 à 9 mois après la dernière cigarette, les cils bronchiques repoussent et on est de moins en moins essoufflé. 5 ans après la dernière cigarette, le risque de cancer du poumon diminue presque de moitié.
La fumée blanche est normale lorsque les voitures sont froides car le moteur est prévu pour fonctionner à chaud : les pièces se dilatent et se calent comme il le faut, ce qui accroît donc la compression et le bon rendement du moteur (pas d'imbrûlé).
fumées jaunes (ex. : pyrolyse de certains polymères (plastiques, résines, colles, peintures etc..) : traduisent une élévation de température importante. fumées blanches et froides (ex. : pyrolyse de la mousse de latex) : non neutres, peuvent présenter certains dangers (combustibilité, toxicité) ; • etc.
Sur un moteur diesel, une fumée noire peut se produire lorsque le carburant est injecté trop vite, lorsqu'il y a un problème de mélange ou d'admission d'air.
L'inhalation de fumée toxique cause davantage de décès liés aux incendies que les incendies eux-mêmes. Tous les matériaux combustibles produisent une certaine quantité de fumée toxique lorsqu'ils brûlent.
Le monoxyde de carbone, reconnu comme le toxique majeur car toujours présent dans les incendies, est mortel en moins de cinq minutes à 1 % de présence dans l'air (cf.
80% des décès lors d'incendies sont en relation avec l'inhalation des fumées. Les incendies entraînent trois grands types de pathologies, les brûlures, les traumatismes liées à la chute de matériaux et à la fuite des victimes et les intoxications aux fumées.