On peut aussi citer la société politique. En effet, afin de mener, diriger ce groupe de manière équitable, l'homme a besoin de règles de base, d'où la création de lois et de règles politiques. L'homme a besoin d'être dicté, pour que cette union ne devienne pas une anarchie. L'intérêt général dépend aussi de l'état.
Du latin “humanitas”, le terme se traduit par nature humaine, culture générale de l'esprit. L'Humanitas est le caractère de ce qui est humain. Elle désigne aussi « les hommes » en général, le genre humain considéré dans son unité. La plupart des philosophes définissent comme humain tout être doué de raison.
Car le travail engage une coopération entre les hommes : selon Platon, c'est à l'occasion du travail qu'ils entrent en relation et commencent à organiser la Cité. C'est donc une activité qui les regroupe, contrairement par exemple à la chasse ou à la cueillette qui peuvent être solitaires.
La société est le moteur de la culture humaine
La société a donc pour fonction de socialiser et d'éveiller l'esprit de l'Homme. Mais elle est aussi un cadre, qui permet à l'Homme de transmettre sa culture ainsi que les pratiques matérielles et spirituelles qui la caractérisent.
Pour vivre l'homme doit avant tous respirer et s'alimenter mais il doit aussi ce poser des questions et réfléchir pour avancé dans la vie. Dans la société actuelle si l'homme ne se pose pas de question et ne fais pas de réflexions sur lui-même il ne vit pas vraiment.
Ce qui unit les hommes, c'est l'amour du métier. Cette phrase de Antoine de Saint-Exupéry contient 10 mots.
Le but de la société, si elle veut survivre selon sa structure particulière, est que chacun veuille bien faire ce qu'il doit faire. Le rôle social et le comportement qui lui sont assignés ne dépendent pas à chaque fois de sa décision mais relèvent de son caractère.
Rousseau : L'homme naît bon, c'est la société qui le corrompt.
L'homme n'est rien d'autre que ce qu'il se fait. Tel est le premier principe de l'existentialisme. L'homme est non seulement tel qu'il se conçoit, mais tel qu'il se veut, et comme il se conçoit après l'existence, comme il se veut après cet élan vers l'existence, l'homme n'est rien d'autre que ce qu'il se fait.
Essence et existence
Chez Heidegger, l'essence de l'homme consiste à se comprendre en tant qu'être-là, i.e. en tant qu'existence. Dans le premier cas, dont Descartes est un représentant, l'abstraction essentielle de l'existence donne l'essence, et inversement dans le second, comme chez Sartre.
Hommes et femmes y sont confrontés sans distinction, et font face à d'autres conséquences que l'augmentation du risque d'AVC : dépression, hypertension et difficultés relationnelles sont régulièrement observées auprès des salariés qui travaillent le plus.
a) Le travail a pour but de satisfaire les besoins vitaux des hommes. L'homme est tel qu'il ne peut pas les satisfaire seul et qu'il a besoin des autres. Une division du travail = répartition des tâches est donc introduite, pour augmenter l'efficacité de chacun et permettre à l'ensemble de survivre.
La connaissance rend meilleur l'homme : en effet sur le plan de l'efficacité c'est le cas mais l'homme accompli doit-être Kalos Kagathos et donc être vertueux, ce que prouve Platon qui affirme que la connaissance rend l'homme meilleur.
Qu'il se questionne ou non, l'homme cherche à procréer, travaille à la protection et l'éducation de sa descendance, veut se sentir utile, cherche à repousser la souffrance et la mort, et à accéder à une existence supérieure (sociale ou religieuse).
Être fort, musclé, sexuellement performant, parler avec assurance et autorité, rapporter de l'argent à la maison, être courageux et ne montrer ni sa peur, ni ses émotions, ni ses faiblesses, ni sa douleur, conduire vite, prendre des risques, savoir se battre…
La société européenne (ou toute société organisée, moderne), ses règles, ses institutions et ses lois. La société (ses lois, ses institutions) corrompt l'homme. Selon le philosophe genevois Jean-Jacques Rousseau : « l'homme naît bon, la société le corrompt ».
Pour le philosophe anglais du 17e siècle Thomas Hobbes, l'homme est un loup pour l'homme et naît mauvais.
« L'homme est un loup pour l'homme. » Chaque homme représenterait potentiellement un danger mortel pour les autres. Cet état permanent de menace découle du fait que tous les hommes sont égaux et que chacun peut désirer ce que l'autre a.
BESOIN D'ACTUALISATION DE SOI
Les besoins d'actualisation de soi se trouvent au sommet de la hiérarchie des besoins humains de Maslow. Lorsqu'une personne a satisfait tous les besoins des niveaux précédents, c'est dans l'actualisation de soi qu'elle parvient à réaliser pleinement son potentiel (Maslow, 1970).
L'homme a besoin de comprendre pour gérer efficacement la demande. Il a besoin de se sentir utile et compétent. Un mode de communication clair permet à l'homme de bien nous comprendre et de ne pas se sentir impuissant face à nos remarques ou nos questions qu'il va forcément mal interpréter.
Ils incluent les éléments indispensables à la survie : respirer, boire, manger, éliminer, se protéger du froid et de la chaleur, être en sécurité, dormir. Plus généralement, on parle de besoins vitaux.
Mais aussi " grand, fit, doux, présent et aidant au quotidien, intelligent, fidèle, aimant les enfants, entreprenant. " Juriste de 35 ans et mariée, Alice décrit l'homme idéal comme " gentil, attentif, sensible, décidé, entreprenant, intelligent, fidèle, drôle, dynamique et un minimum sportif, charmant. "
L'attention
La recherche a montré que les hommes trouvent que l'attention est une qualité importante chez une femme. Les hommes sont attirés par une femme qui est capable de prendre soin d'eux et de s'occuper d'eux quand les problèmes surviennent dans leur vie, même quand ils sont émotionnellements indisponibles.
I - Un homme physiquement attirant
Ces dernières ont tendance à être attirées par les hommes : Plus grands qu'elles. Qu'il soit « grand » en soit n'a pas vraiment d'importance, il faut juste qu'il le soit… un peu plus qu'elle ! Avec une « voix ».