Le parent pervers. Le parent pervers, justifiera ses actes par des phrases comme "... c'est pour ton bien...", se targuant de faire tout cela pour l'intérêt de l'enfant, il met en avant les règles de l'éducation, mais il n'a pour seul objectif que celui de détruire l'enfant, en faire sa chose.
Les parents narcissiques aiment se vanter des bons résultats de leurs enfants. Mais en dehors du cadre des performances, ils se désintéressent d'eux et peuvent même susciter la honte chez un enfant qui aurait besoin d'aide.
Le parent PN considère son enfant comme un objet qui peut servir ses intérêts et son image sociale. Il est incapable de considérer que son enfant a des désirs, des émotions et des besoins qui lui sont propres. Tout comme il est incapable de considérer son/sa partenair(e) comme ayant également des désirs propres.
Le PN lorsqu'il est démasqué tente donc toujours de ramener sa proie sous emprise, même s'il ne réussit pas toujours ce tour de force. Lorsqu'il échoue, c'est tout « l'empire narcissique » qu'il avait bâti sur cette proie qui s'effondre. Il ressent alors un cuisant sentiment d'échec qui le confronte à son impuissance.
Il aime sentir qu'il a de l'ascendant sur sa/son partenaire, et a la volonté délibérée de la/le voir souffrir. Son assurance et sa maîtrise de la manipulation lui permettent de dicter à sa/son partenaire ce qu'elle/il doit faire et penser. Pour augmenter son emprise, cet individu l'éloigne généralement de ses proches.
Les mères narcissiques qui se sentent accablées par la maternité négligent leurs enfants, elles leur mettent la honte et les critiquent, parfois parce qu'elles sont trop nécessiteuses ou enfantines. Elles sont elles-mêmes dans le besoin et ne peuvent pas subvenir aux besoins de leur enfant.
La confrontation avec le réel. Être confronté à la réalité fait aussi partie de ce qu'un manipulateur pervers déteste le plus. Pour comprendre pourquoi, il faut se pencher encore sur le monde intérieur du narcissique. Ici, la seule vérité qui soit est celle qui sert son intérêt.
Il fuit et n'assume pas ses responsabilités mais fait comme s'il en avait beaucoup et comme s'il était tout le temps débordé ; Il prétend être mieux que tout le monde, connaître tout sur tout et avoir la solution à tout problème ; Il projette ses propres comportements sur vous.
La personne sait se placer en victime pour qu'on le plaigne. La personne ignore les demandes même s'il dit s'en occuper. La personne utilise les principes moraux des autres pour assouvir ses besoins. La personne menace de façon déguisée, ou pratique un chantage ouvert.
Le manipulateur pervers narcissique
Il rend par ces agressions l'autre en colère, puis le culpabilise de cela. A l'extérieur, il paraît sympathique, moral, mais seul face à sa victime, il est violent et cherche à la détruire, d'où son aspect pervers.
Être en état de frustration
Comme le ferait un enfant en colère, le manipulateur déteste la frustration. Le « non » est inaudible pour lui, et il se débrouillera pour vous faire changer d'avis, de gré ou de force…
La confrontation avec le réel. Être confronté à la réalité fait aussi partie de ce qu'un manipulateur pervers déteste le plus. Pour comprendre pourquoi, il faut se pencher encore sur le monde intérieur du narcissique. Ici, la seule vérité qui soit est celle qui sert son intérêt.
Le PN lorsqu'il est démasqué tente donc toujours de ramener sa proie sous emprise, même s'il ne réussit pas toujours ce tour de force. Lorsqu'il échoue, c'est tout « l'empire narcissique » qu'il avait bâti sur cette proie qui s'effondre. Il ressent alors un cuisant sentiment d'échec qui le confronte à son impuissance.
Le pervers souhaite isoler son ou sa compagne de ses autres proches, pour l'avoir pour lui tout seul. Sa victime n'appartient qu'à lui, il la vide de ses émotions pour se nourrir lui-même. Il prône la jalousie pour faire culpabiliser sa victime, afin de la gaslight et la faire douter de ses propres actions.
« Une personne peut être considérée comme sous l'emprise d'un manipulateur lorsque son esprit critique et son libre-arbitre ne lui permettent plus de voir les mécanismes d'assujettissement », poursuit la psychologue. L'emprise s'installe souvent insidieusement, sans que la victime ne puisse l'anticiper.
La sexualité du pervers narcissique implique la dépersonnalisation de l'autre. Pour ce faire, il a recours à la manipulation psychologique en donnant dans un premier temps satisfaction sur le plan sexuel à sa proie, pour mieux la contrôler par la suite et obtenir ce qu'il souhaite d'elle.
Tout simplement parce qu'ils sont incapables d'être seuls (es) face à eux mêmes et cela même s'ils se glorifient de n'avoir besoin de personne et d'être forts et de pouvoir tout gérer.
En réalité, le pervers narcissique induit chez sa victime une emprise et une dépendance totale, voilée de culpabilité et de vulnérabilité. C'est par le biais du mensonge, de la confusion, de commentaires opposés qu'il agit. Progressivement, ces techniques montent en puissance jusqu'à contrôler totalement la victime.
Il n'entend pas vos arguments et n'entend pas que vous osiez le quitter. Le PN est en colère. Il n'est pas à la prise de décision, il perd le contrôle. Il peut taper dans des objets pour tenter de vous intimider, crier …
Qu'est-ce que l'emprise familiale ? L'emprise familiale n'est pas un phénomène anodin. Elle révèle souvent un dysfonctionnement profond au sein de la famille, lié à des problèmes non résolus, à des secrets inavoués ou à des traumatismes non guéris.
Le pervers narcissique est un manipulateur qui se valorise en rabaissant les autres. « Doté d'une très haute estime de lui-même, il n'aime personne et se sert de ses victimes pour pouvoir exercer une forme d'ascendance et ainsi entretenir cette haute estime qu'il a de lui-même.
Personnalité séductrice et charismatique : le pervers narcissique est un grand séducteur et utilise le langage avec une grande habileté pour confondre les autres. Il fait souvent des allusions et joue avec les mots pour laisser la victime dans l'insécurité et la culpabiliser.